«Le complexe a déjà versé près de 700 millions de dollars en taxes, redevances et dividendes à l’État et injecté 1.9 milliard dollars supplémentaires dans l’économie par le biais de paiements aux fournisseurs locaux, aux sous-traitants et aux employés. Randgold continue d’injecter des capitaux importants dans ce projet de Loulo, non seulement pour le développement des mines de Yaléa et de Gara mais aussi pour la mise en œuvre d’un large éventail de projets visant à moderniser et améliorer les opérations minières et à prolonger la durée de vie de ces mines».
«Le passage au statut d’exploitant minier direct ainsi que l’installation d’une centrale moyenne tension qui augmentera la capacité de production d’électricité de la mine de Loulo à un prix très compétitif font parties de cette stratégie. Nous nous attelons également à augmenter les réserves et les ressources à travers l’exploration continuelle dans le périmètre du permis autour des mines pour compenser l’épuisement des mines déjà exploitées. L’exploration en cours a permis de recenser une cible potentielle de haute teneur à la Crête de Yaléa Sud et des extensions vers le gisement de Yaléa, tandis que le potentiel de conversion de ressources à Gara pourrait ajouter 600 000 onces d’or aux ressources inférées», affirme-t-il.
En outre, Bristow a déclaré qu’au cours des 20 dernières années, l’industrie minière avait impulsé la transformation visible de l’économie malienne et, pour sa part, Randgold reste déterminée à travailler en partenariat avec le Gouvernement et le peuple malien pour bâtir l’industrie et en tirer les avantages durables qu’elle est capable de générer.
«Toutefois, de plus grands investissements nécessiteraient le maintien d’un code minier attractif et la création d’un environnement fiscal favorable ainsi que l’assurance que les accords et conventions conclus seront respectés», a-t-il déclaré.
Abdoul Karim KONATE avec
Randgold Ressources