Exploitation minière au mali : La ruée des prédateurs étrangers contre Wassoul’or

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Derrière cette tempête médiatique se cachent en réalité des groupes étrangers, de vrais requins de la finance internationale, des spéculateurs de haut vol, une véritable mafia qui veut lancer une OPA sur la mine en mettant hors jeu les organes de gestion et de contrôle de Wassoul’or.  Aliou B. Diallo, après s’être fait une notoriété dans la finance internationale en menant à bien des opérations de rachat de dettes des pays africains a voulu montrer son savoir faire dans le secteur minier en y investissant massivement. Ainsi, notre potentiel minier a été valorisé de manière attrayante et vendu aux investisseurs. Dans cette bataille qu’il a osé mener réside le vrai enjeu du développement autonome du Mali.

Actuellement, il est vrai, la mine connait des difficultés depuis le départ de l’opérateur canadien, son associé, suite aux évènements socio-politico-militaires. Ce n’est pas la première fois qu’une mine démarre et s’arrête pour des raisons diverses. Mais pourquoi alors monter en épingle les difficultés naturelles de Wassoul’or ? Selon des statistiques mondiales, sur trois tiers des trois mines qui ouvrent, un tiers  s’arrête et redémarre après. Le Mali ne fait pas exception. Ainsi, sur  neuf  permis d’exploitation au Mali, cinq mines ont déjà été à l’arrêt après leur ouverture, ce qui dépasse de loin la moyenne mondiale. Il s’agit notamment de Tabakoto, Kalana, Robex, Syama.

 

Aujourd’hui Kodiéran est à l’arrêt aussi et cherche à redémarrer pour le bonheur du Mali. Mais à qui d’autres qu’à des capitalistes étrangers mal intentionnés peuvent profiter ces difficultés passagères inhérentes à l’activité minière ? La mine de Kodiéran est malienne et elle le restera.

Le PDG de Wassoul’or a été dépeint sous de noirs traits par certains, présenté come un homme sans foi ni loi. Ses détracteurs savent-ils qu’en janvier 2012, quand il y a eu les malheureux évènements de Aguel-Hoc il a manifesté sa solidarité en remettant un chèque de plusieurs dizaines de millions de FCFA pour alléger les souffrances des veuves et orphelins de la tuerie d’Aguel-Hoc ? Heureusement des Maliens le savent bien.

Par ailleurs, en pleine occupation du nord par les jihadistes et leur campagne de destruction des mausolées de Tombouctou, Diallo a organisé une distribution de vivres aux refugiés du septentrion vivant au Sud, pour prouver que le cordon ombilical  liant Tombouctou au reste du Mali et ne saurait être coupé par les extrémistes. On se le rappelle, il a fait don de 333 sacs de riz, 333 sacs de mil, 333 cartons d’huile, 333 sacs de sucre, 333 sacs de lait  et à remis un chèque de 10 millions de francs CFA au COREN, soit  41 Millions de francs CFA, pour honorer et respecter  la symbolique de Tombouctou, ville des 333 saints.

Venons-en au but de la cabale montée contre lui : La société étrangère Pearl Gold, qui n’est aujourd’hui actionnaire de la mine  qu’à  hauteur de 25%, selon nos sources, chercherait à prendre le contrôle de la mine de notre compatriote Aliou Boubacar Diallo. Malheureusement pour elle, il avait pris la précaution de verrouiller le capital de la mine avec une prise de participation majoritaire de 54,27%.

Ceux à qui profite le crime seraient des dirigeants de pearl-gold. : Reza Pacha, Robert Gonino et leur conseiller occulte Lutz Arthman, les principaux chefs d’orchestre de la cabale. Les biens personnels de Monsieur Diallo sont clean, contrairement à ce qu’ils disent dans leurs tracts mensongers et malsains. Ils ont été acquis avant Wassoul’or et majoritairement hypothéqués  auprès des banques avec qui il est en affaires. Depuis 22 ans , il s’est dévoué à Wassoul’or qui lui doit plus de 100 milliards de francs CFA non rémunérés comme l’attestent tous les comptes certifiés et corrigés de l’entreprise.

Malgré les entreprises de déstabilisation de notre compatriote, il restera le premier Malien à avoir levé autant d’argent à l’extérieur pour le secteur minier, une fierté nationale. Ses détracteurs étrangers, des néo colonisateurs, ne peuvent accepter, contre le schéma habituel, de se retrouver pour une  fois en minorité dans un projet minier au Mali contrôlé par un Malien. Contrairement aux schémas coloniaux dont ils ont l’habitude, qui laissent moins de vingt pour cent à l’Etat du Mali et aux privés maliens. La valorisation d’une mine, avant qu’elle soit une production rentable, est basée sur son potentiel, ses ressources et ses réserves en or. Certains projets miniers avant d’être en production atteignent une valorisation de milliards de dollars US. Les exemples ne manquent pas de par le monde. Nul ne peut contester le potentiel géologique de Kodiéran et de ses satellites qui rendent fous les prédateurs qui critiquent pour chercher à être propriétaires majoritaires de ce qu’ils critiquent.

Le récent communiqué de Wassoul’or, sur la base de prélèvement d’échantillons réalisé par une société étrangère sur le site de Kodiéran et analysé sous le contrôle de la SGS, révèle des teneurs en or jamais rencontrées dans une mine du Mali. Environs  600g d’or à la tonne dans une intersection de 2 mètres dans un couloir de 18m à 68g d’or à la tonne. Ces informations sont vérifiables.

Les Maliens finiront par comprendre le sens du combat du notre compatriote Aliou Boubacar Diallo. « Ces prédateurs étrangers, devenus fous, à cause de l’or, comme nous le voyons dans les films western, continuent de prêcher le faux pour atteindre leurs desseins.  Ils finiront par avaler la poussière  quand  la mine de Kodiéran va redémarrer », s’exclame le vaillant Aliou Boubacar Diallo qui est là et bien là, pour leur plus grande confusion. S’il se déplace, c’est comme dernièrement où il est allé chercher un gros financement à hauteur de plusieurs milliards de F.CFA, pour résoudre des problèmes de financement de ses entreprises !

Oumar COULIBALY 

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