Djibril Diallo, ingénieur géologue minier : “Si l’or était raffiné au Mali, la quantité réelle est estimée à plus de 150 tonnes par an”

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Le flou qui entoure l’exploitation de nos ressources minières en particulier l’or interpelle plusieurs spécialistes du domaine. C’est ainsi que l’Ingénieur géologue minier, Djibril Diallo, nous explique, à travers une tribune, comment l’exploitation aurifère échappe au contrôle de l’Etat malien et l’immense perte que cela provoque.

Selon l’Ingénieur géologue minier, la production aurifère de notre pays avoisine les 65 tonnes par an, en tout cas celle qui est déclarée officiellement. Et de poursuivre que si nous calculons les 20% de cette production qui doivent revenir normalement à l’Etat Malin, nous aurons 13 tonnes. “Le court mondial d’une tonne d’or est estimé à 30 milliards de Fcfa. Ainsi, la manne financière engendrée par les 13 tonnes d’or est d’environ 390 milliards Fcfa par an grâce à l’exploitation de l’or industriel soit 1/3 du budget national. Quant à l’exploitation de l’or artisanal, elle échappe complètement au contrôle de l’Etat, mais que l’Etat aurait pu encadrer et avoir au moins 4 tonnes par an dans cette production”, a-t-il déploré.

A le croire, si l’or était raffiné au Mali, la quantité réelle est estimée à plus de 150 tonnes par an et si l’exploitation artisanale était mieux contrôlée par l’Etat, la quantité réellement produite est estimée à 40 tonnes. Ainsi, la production totale de notre pays est estimée à plus de 190 tonnes et le Mali dépassera largement l’Afrique du sud et le Ghana pour se classer premier producteur d’or en Afrique. “Rien que la moitié des 190 tonnes d’or soit 95 tonnes, peut rapporter au Trésor public plus 2850 milliards de Fcfa par an. Ce qui dépasse largement le budget national et en plus peut servir à doter notre armée de tous les moyens, faire des routes, des usines, etc.”, a précisé M. Diallo.

A l’entendre, le Mali ne serait pas un état mendiant si les ressources générées par l’exploitation aurifère étaient bien gérées. Aussi, précise-t-il, la bonne gestion de celles-ci permettra au Mali d’être un pays émergent et d’avoir sa souveraineté sécuritaire, économique… “Malheureusement, la vision et la volonté politique manquent à nos dirigeants.  Sinon le Mali est très riche en ressources minérales pour être un pays pauvre et mendiant”, a déploré l’Ingénieur géologue minier.                

  Boubacar PAÏTAO

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  1. LES MALADES MENTAUX DES DESERTS NOUS ETOUFFENT PAR PROXY DES IDIOTISES EUROPEENS ET DES LARBINS NOIRS

    🙂 LES MALADES MENTAUX DES DESERTS NOUS ETOUFFENT PAR PROXY DES IDIOTISES EUROPEENS ET DES LARBINS NOIRS 🙂

    🙂 ING, DIALLO UN PATRIOTE, SE FAIT ATTAQUER PAR UN COULIBALY IDIOT-CARNIVORE 🙂

    LA CHARTE DE L’IMPÉRIALISME ou “La Charte de la Servitude” :

    I. DISPOSITION GÉNÉRALE
    Article 1° :
    De la Devise : – Devise de l’impérialisme : Gouverner le monde et contrôler les richesses de la planète ; Notre politique est de diviser pour mieux régner, dominer, exploiter et piller pour remplir nos banques et faire d’elles les plus puissantes du monde.
    Article 2° :
    Aucun pays du tiers-monde ne constitue un Etat souverain et indépendant.
    Article 3° :
    Tout pouvoir dans les pays du tiers-monde émane de nous, qui l’exerçons par la pression sur les dirigeants qui ne sont que nos marionnettes. Aucun organe du tiers-monde ne peut s’en attribuer l’exercice.
    Article 4° :
    Tous les pays du tiers-monde sont divisibles et leurs frontières déplaçable selon notre volonté. Le respect de l’intégrité territoriale n’existe pas pour le tiers-monde.
    Article 5° :
    Tous les dictateurs doivent mettre leurs fortunes dans nos banques pour la sécurité de nos intérêts. Cette fortune servira des dons et crédits accordés par nous comme assistance et aide au développement aux pays du tiers-monde.

    II. DU RÉGIME POLITIQUE
    Article 6° :
    Tout pouvoir et gouvernement établi par nous est légal, légitime et démocratique. Mais tout autre pouvoir ou gouvernement qui n’émane pas de nous est illégal, illégitime et dictatorial, quelle que soit sa forme et sa légitimité.

    Article 7° :
    Tout pouvoir qui oppose la moindre résistance à nos injonctions perd par le fait même sa légalité, sa légitimité et sa crédibilité. Il doit disparaître.

    III. DES TRAITES ET DES ACCORDS
    Article 8° :
    On ne négocie pas les accords et les contrats avec les pays du tiers-monde, on leur impose ce qu’on veut et ils subissent notre volonté.

    Article 9° :
    Tout accord conclu avec un autre pays ou une négociation sans notre aval est nulle et de nul effet.

    IV. DES DROITS FONDAMENTAUX
    Article 10° :
    Là où il ya nos intérêt, les pays du tiers-monde n’ont pas de droit, dans les pays du sud, nos intérêts passent avant la loi et le droit international.
    Article 11° :
    La liberté d’expression, la liberté d’associations et les droit de l’homme n’ont de sens que dans le pays où les dirigeants s’opposent à notre volonté.
    Article 12° :
    Les peuples du tiers-monde n’ont pas d’opinion ni de droit, ils subissent notre loi et notre droit.
    Article 13° :
    Les pays du tiers-monde n’ont ni culture ni civilisation sans se référer à la civilisation Occidentale.
    Article 14° :
    On ne parle pas de génocide, de massacre ni des « crimes de guerre » ou des « crimes contre l’humanité » dans les pays où nos intérêt sont garantis. Même si le nombre des victimes est très important.

    V. DES FINANCES PUBLIQUES
    Article 15° :
    Dans les pays du tiers-monde, nul n’a le droit de mettre dans leurs banques un plafond d’argent fixé par nous. Lorsque la fortune dépasse le plafond, on la dépose dans l’une de nos banques pour que les bénéfices retournent sous forme des prêts ou d’aide économique au développement en espèce ou en nature.
    Article 16° :
    N’auront droit à l’aide précitée, les pays dont les dirigeants font preuve d’une soumission totale à nous, nos marionnettes et nos valets.
    Article 17° :
    Notre aide doit-être accompagnée des recommandations fortes de nature à empêcher et briser toute action de développement des pays du tiers-monde.

    VI. DES TRAITES MILITAIRES
    Article 18° :
    Nos armées doivent être toujours plus fortes et plus puissantes que les armées des pays du tiers-monde. La limitation et l’interdiction d’arme des destructions massive ne nous concerne pas, mais les autres.
    Article 19° :
    Nos armées doivent s’entraider et s’unir dans la guerre contre l’armée d’un pays faible pour afficher notre suprématie et se faire craindre par les pays du tiers-monde.
    Article 20° :
    Toute intervention militaire a pour objectif de protéger nos intérêts et ceux de nos valets.
    Article 21° :
    Toute opération d’évacuation des ressortissants des pays Occidentaux cache notre mission réelle, celle de protéger nos intérêts et ceux de nos valets.

    VII. ACCORDS INTERNATIONAUX
    Article 22° :
    L’ONU est notre instrument, nous devons l’utiliser contre nos ennemis et les pays du tiers-monde pour protéger nos intérêts.
    Article 23° :
    Notre objectif est de déstabiliser et détruire les régimes qui nous sont hostiles et installer nos marionnettes sous la protection de nos militaires sous la couverture des mandats des forces de l’« ONU ».
    Article 24° :
    Les résolutions de l’« ONU » sont des textes qui nous donnent le droit et les moyens de frapper, de tuer et de détruire les pays dont les dirigeants et les peuples qui refusent de se soumettre à nos injonctions sous la couverture des résolutions du Conseil de Sécurité de l’« ONU ».
    Article 25° :
    Notre devoir est de maintenir l’Afrique et d’autres pays du monde dans le sous-développement, la miser, la division, les guerres, le chaos pour bien les dominer, les exploiter et les piller a travers les Missions de Nations-Unies.
    Article 26° :
    Notre règle d’or est la liquidation physique des leaders et dirigeants nationalistes du tiers-monde.
    Article 27° :
    Les lois, les résolutions, les cours et tribunaux des « Nations-Unies » sont nos instruments de pression contre les dirigeants et les leaders des pays qui défendent les intérêts de leurs peuples.
    Article 28° :
    Les dirigeants des puissances Occidentales ne peuvent être poursuivis, arrêter ni incarcérer par les cours et tribunaux de l’« ONU », même s’ils commettent des « crimes de guerre », de « génocide » ou des « crimes contre l’humanité ».

    NOTE :
    [*] À Tervuren se trouve le « Musée royal de l’Afrique centrale », Tervuren (anciennement Tervueren et également en français) est une commune néerlandophone de Belgique située en Région flamande dans la province du Brabant flamand. C’est la seule commune périphérique de la Région de Bruxelles-Capitale à être située dans l’arrondissement de Louvain (les autres sont situées dans l’arrondissement de Hal-Vilvorde). Elle compte environ 20 600 habitants.

  2. TOI ARRETES DE PARLER ET FAIT UN BUSINESS PLAN ET ENSUITE FAIT LE TOUR DES MILLIARDAIRES MALIENS ET DES BANQUES POUR FINANCER TON PROJET DE RAFFINERIE

    PARLER C EST BIEN MAIS SI TU ES CONVAINCU AGIR C EST MIEUX

    LE PLUS DIFFICILE EST LE PREMIER PAS DONC VA VOIR UN EXPERT ET FAIT LE BUSINESS PLAN ET CONTACTE INVESTISSEUR POUR TON PROJET DE RAFFINERIE

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