Le Mali : l’espoir est permis.

Par
L'Indépendant
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Aliou Boubacar Diallo, PDG Petroma
Aliou Boubacar Diallo,

L’Etat du Mali vient de boucler une émission d’obligations de 44 milliards de Francs CFA, alors qu’il en cherchait 40.

Cet emprunt obligataire sur le marché monétaire, d’une durée de cinq ans avec un an de différé, entièrement souscrit par des banques et autres institutionnels de la place, est complétement refinançable par la banque centrale. Ce qui nous rapproche du quantitative easing de mon article de l’Indépendant du 1er octobre 2014, qui consiste à l’achat par la banque centrale des obligations d’Etat ou des titres du secteur privé, pour susciter de la croissance.

Cet emprunt, qui n’était pas ouvert au grand public, a été sur-souscrit à 110%.

L’espoir est donc permis.

Tout pousse à croire que si le grand public avait été invité dans cette opération, le taux de sur-souscription allait nettement dépasser les 110%.

Les maliens, par leur patriotisme et leur solidarité aux grandes causes de la nation, n’attendent que de pareilles occasions pour participer à l’effort de construction et de développement de notre Maliba.

 

Aliou Boubacar DIALLO

Economiste

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8 COMMENTAIRES

  1. Bonsoir Mr Samba. je vais me permettre de vous répondre brièvement au sujet des bienfaits de cet homme au Mali puisque je l’ai connu et fréquenté pendant plus de 20 années. Tout d’abord, sans tenir compte des entreprises multifonctionnelles qu’il a créé au Mali et pour les Maliens et qui ont nourri des centaines de familles Maliennes pendant les 25 dernières années, ce patriote par son altruisme a construit des centres de soin avec maternité, des kilomètres de route et de ponts, des lacs de retenu d’eau, des écoles, des mosquées… au Mali.

  2. bonsoir, j’ai entendu le nom de ce Diallo pas une fois au Mali, je veux juste savoir ce que ce Diallo aurait édifier socialement et économiquement au Mali?

  3. Bonne réflexion économique. Avec vous Président Diallo, le Mali et l’Afrique irons loin en terme de développement économique beaucoup plus large et constructif.

  4. Avec plusieurs Diallo au Mali et en Afrique, finit l’exclusion de l’Afrique du monde du financement. Diallo nous sommes avec vous pour toujours…

  6. Vous Mr Talla je me demande si vous lisez bien ou si vous faites exprès ? Relisez l’article encore une fois, vous comprendrez mieux. Quand vous parlez de l’échec consernant les 110 pour cent, Diallo nous explique dans l’article que si le grand public avait été invité, le taux allait nettement dépassé les 110. Et consternant le rapproche du QE, Diallo dit que cet emprunt est refinançable par la BC et c’est ce qui nous rapproche du QE. Comprener l’article avant de vous attaquer à son auteur. Merci

  7. AH TALLA VOUS ETES UN INTELLECTUEL LES DIALLO LA N’ontpas bien etudié koii eux il suiventseulemt les trains etleurs direction merci pour les explicts

  8. Monsieur Diallo la moyenne de sursouscription dans la sous région est de 160%. C’est donc un échec pour le Mali qui n’ a obtenu que 110%.
    Dites nous combien l’Etat du Mali propose comme coupon et la duration de l’obligation. Enfin quel est le rating du pays.

    Par ailleurs je ne vois pas en quoi une émission obligataire d’un Etat rapproche d’une politique d’assouplissement quantitatif(QE). A mon avis vous mélanger les choses, ce qui prouve que vous n’avez pas bien compris la QE. Seule une banque centrale peut décider de la mise en oeuvre d’une QE et non un Etat.
    Avec vous observé la structure par terme des taux d’intérêt dans la sous région? qu’en pensez vous?

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