Les infrastructures de base d’une part et l’énergie d’autre part sont des facteurs de production incontournables pour la création durable de richesses. Les routes, les chemins de fer, les ports et aéroports, les aires de stationnement, les moyens de conditionnement de grande ampleur, les aménagements hydro- agricoles sont des infrastructures jouant un rôle important dans la satisfaction des besoins en biens et services pour différentes régions du pays. Plus les biens peuvent circuler dans de bonnes conditions, mieux ils arriveront sur les marchés dans de bonnes dispositions de qualité et de coût assurant par ricocher le bien-être des populations.
Le président de Yelema a affirmé que si des sacrifices ont été consentis par les différents gouvernements, beaucoup reste encore à faire. Selon lui, il est très difficile de relier deux villages ou villes moyennes dans un délai raisonnable, il n’est pas aisé aux produits et services d’accéder à l’ensemble des marchés potentiels à l’intérieur du pays, les insuffisances d’infrastructures de stockage, de conditionnement et de transport sont identifiables sur presque l’ensemble du territoire ; l’énergie en tant qu’élément clé de productivité des équipements n’est disponible que pour 17% de la population. “Avec nous, le Malien disposera enfin du minimum pour vivre de manière satisfaisante là où il est né grâce à des infrastructures et services répondant à l’essentiel de ses aspirations de base.
Avec nous, le Malien disposera aussi et surtout de conditions favorables pour créer de la richesse et s’épanouir grâce à des équipements et infrastructures propices pour ce faire “, a dit le candidat de Yelema. Pour ce faire, le maire de la commune IV compte mettre l’accent sur le développement des infrastructures de transports, l’énergie d’assainissement et l’hydraulique.
Dans le domaine des transports, le fils de Joseph Mara, une fois élu, va porter le ratio des routes bitumées du pays à trois km par cent kilomètres carrés du territoire, d’ici 2020 en construisant chaque année 500 km de routes bitumées pour le désenclavement intérieur et extérieur du pays. ” Nous allons soutenir une politique de limitation de l’importation des véhicules vétustes en luttant contre la circulation des véhicules vétustes tout en contrôlant les surcharges ” a assuré Moussa Mara. Elaborer des stratégies d’assainissement pour chaque ville de plus de 50 000 habitants et les mettre en œuvre sous l’égide des collectivités territoriales et avec le concours de l’Etat, qui y consacrera 20 milliards de nos francs chaque année. Etendre la couverture en eau à 90% de la population avant 2017. Le candidat de Yelema le Changement compte poursuivre le développement des infrastructures à travers les NTIC afin de faire du Mali une des plaques tournantes de l’Afrique de l’Ouest d’ici cinq ans.
Moussa SIDIBE
Monsieur Mara si tu peux le faire c’est bien mais dit nous avant que comptez vous faire pour degager les ressources nessecaires pour financer tes projets de developpement?
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