La journée des Banques et Etablissements Financiers du Mali organisée par l’Association des Professionnels des Banques et Etablissement Financiers du Mali (APBEF-Mali), s’est tenue le week-end dernier au CICB. Cette journée du Banquier avait au cœur de ses préoccupations, la «problématique du financement des entreprises par le secteur bancaire au Mali : Cas des PME/PMI.»
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rnLa cérémonie qui était coprésidée par le ministre de la Communication, Diarra Mariam Flantié Diallo et son homologue de l’Economie et des Finances, Sanoussi Touré a consacré sa première partie à la visite des Stands suivie d’une conférence-débat.
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rn«La problématique du financement des entreprises, et particulièrement celles des PME par le secteur bancaire, les contraintes et les opportunités qui y sont associées, s’analysent d’une part en fonction de l’évolution de l’environnement institutionnel et juridique des dernières années, et d’autre part, en fonction des mutations économiques, financières, commerciales et technologiques en cours, et auxquelles, le monde des affaires se trouve de plus en plus confronté», disait le Président de l’APBEF Moussa Allassane Diallo non moins PDG de la BNDA en introduction à sa communication sur le thème de la journée du Banquier.
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rnDans sa communication, le conférencier fait ressortir que les économies des pays africains, notamment ceux situés au sud du Sahara se caractérisent par une bancarisation limitée évaluée en moyenne selon certaines sources à environ 12,3 guichets bancaires pour 1 millions d’habitants. Le réseau bancaire est toutefois sensiblement plus dense en zone UEMOA qu’en zone CEMAC. Cette situation est le résultat des crises bancaires des années 80, qui ont conduit à la fermeture de nombreux établissements bancaires, mais elle s’explique aussi par la structure même des économies des pays et les stratégies de développement des grands groupes bancaires. Les premiers éléments de cette faible bancarisation sont des facteurs structurels tels que l’importance de la circulation fiduciaire et la dépression économique des années 90. Le nouveau cadre juridique mis en place par l’UEMOA a permis l’assainissement des bilans des banques –donc le retour à la croissance économique dans beaucoup de pays à partir de 1995.
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rnLa plus grande préoccupation du secteur tant au Mali que dans les autres pays de l’UEMOA reste le financement des Petites et Moyennes Entreprises. Ces difficultés de financement sont liées à plusieurs facteurs tant du côté des Etablissements Financiers que de celui des PME. Si les entreprise se plaignent du difficile accès aux sources de financement suite à la complexité des procédures bancaires et des longs délais de réponse, les banques, soutiennent elles que ces difficultés sont dues au mauvais montage financier et technique des projets et l’incohérence des états financiers lorsqu’ils sont disponibles. Toutes choses qui jouent en défaveur et des Banques et des PME tant les PME jouent un rôle crucial dans la croissance économique et la lutte contre le chômage. Le conférencier en est convaincu.
C’est pourquoi d’ailleurs il a conclu que la viabilité de toute politique de crédit est subordonnée à 5 facteurs à savoir : l’amélioration de l’environnement institutionnel fiscal et juridique, l’encadrement technique et la formation des promoteurs, l’organisation de la commercialisation et débouchés des produits, la solidité et la pérennité des structures, l’adaptation des produits et services bancaires aux besoins des PME, et enfin la mobilisation accrue de l’épargne.
rnLa Rédaction
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rnZoome sur trois Institutions Bancaires
rnLa BMS-sa :
rnLa meilleure réponse à vos besoins
rnLa Banque Malienne de Solidarité (BMS-s.a), est un établissement de crédit agrée par l’arrêté ministériel du 09 avril 2002 (n°02 – 063/MEF-SG). Elle a effectivement démarré ses activités le 16 septembre 2002 sous le RC n°2001-B.08.58. Le capital social de la banque, à ce jour est de FCFA 7 582 360 000, après plusieurs augmentations successives.
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rnLa Banque Malienne de Solidarité a pour objet la prestation de services bancaires, économiques et financiers à l’endroit de sa clientèle cible, constituée principalement de : Systèmes Financiers Décentralisés (SFD), Petites et Moyennes Entreprises et Industries (PME-PMI) et autres acteurs économiques.
rnAussi, la BMS-s.a préserve son rôle de banque universelle et est en mesure de financer toute activité commerciale et industrielle de sa clientèle sur l’étendue du territoire.
rnLa BMS-sa a un réseau fortement intégré et présent partout au Mali et dans la sous région, à travers ses 17 agences et une représentation à Abidjan, en République de la Côte d’Ivoire. Son réseau de correspondants bancaires est constitué de KBC BANK, FIM-BANK et FORTIS BANK. La BMS est également membre du GIM-UEMOA.
rnAu 31/12/2010, la BMS-s.a a atteint un niveau de dépôts de FCFA 80 747 millions et d’emplois clientèle de FCFA 74 261 millions, assorti d’un résultat bénéficiaire de FCFA 2 415 millions
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rnLa BDM-s.a :
rn25 ans d’expertise bancaire au service du Mali
rnUn réseau d’agences sur l’ensemble du territoire malien + Congo-Brazzaville, Espagne et Paris.
rnDes comptes adaptés à vos besoins : comptes chèques, comptes commerciaux, comptes d’Epargne, Comptes de dépôt à terme.
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rnDES PRETS POUR TOUS : PARTICULIERS : Crédit à la Consommation, Crédit immédiat, prêt immobilier, Prêt Acquéreur ACI/BDM-SA…
rnProfessionnels et Opérateurs Commerciaux : Crédits de fonctionnement, Crédits d’Investissement, Crédits documentaires, Cautions et avals
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rnUNE OFFRE MONETIQUE DE QUALITE :. Gamme riche de cartes bancaires : cartes Cauris (Classique, Epargne et Mansa), carte GIM, carte VISA POTIMUM, cartes VISA prépayées DOUNIA et DOUNIA Plus.
rn. E-banking : CAURISNET
rn. Des terminaux de paiement dans de nombreux commerces
rn. Des guichets automatiques partout au Mali
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rn. Un vaste choix de bureaux Western Union.
rnPRET ACQUEREUR ACI/BDM-SA :Partenaire financier de ces deux programmes, la BDM-SA accordera un prêt pouvant atteindre jusqu’à 70% de la valeur d’acquisition à toute personne physique ou morale remplissant les conditions d’éligibilité.
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rnLa BNDA:
rnUne diversification tournée principalement vers l’accompagnement des entreprises
rnLa BNDA octroie annuellement plus de 115.000 millions de F.CFA de financements au secteur privé malien.
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rnElle a en particulier mis l’accent sur les PME/PMI qui constituent un secteur vital du développement économique.
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rnLa BNDA se positionne désormais comme un partenaire privilégié, non seulement des filières agricoles, mais aussi des entreprises du commerce, de l’industrie, des services et des BTP. A titre d’exemple, elle intervient aussi bien auprès des sociétés agro-industrielles cotonnières et des entreprises d’importation du pétrole que des petites et moyennes entreprises du batiment, de l’alimentaire, du commerce, des services…
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rnLa BNDA est partenaire financier de plus de 6000 organisations paysannes et d’une vingtaine de systèmes financiers décentralisés au Mali. Ce qui lui permet de couvrir l’ensemble des zones rurales du pays.
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rnLa BNDA a considérablement élargi son domaine d’activités et s’est dotée d’outils technologiques performants pour offrir des services de qualité aux entreprises, aux particuliers, aux ONG et aux institutions.
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rnSon offre comprend plusieurs gammes de produits et services (crédits, épargne, monétique, banque en ligne…) en évolution permanente, et qui couvrent l’ensemble des besoins des différents acteurs cités ci-dessus.
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rn250 salariés ayant comme seul objectif la satisfaction de la clientèle…
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