Bourakébougou, le monde change de visage. Grâce au gisement d’hydrogène naturel découvert sous les roches de ce village sorti de l’anonymat austère, les pays du Nord regardent désormais vers le Sud. Cette découverte d’hydrogène naturel, ressource naturelle renouvelable, diffuse en tant que source d’énergie de flux (à l’opposé des énergies fossiles, polluantes dites énergies de stocks) est une première dans le monde. Son promoteur, l’entrepreneur malien, Aliou Boubacar Diallo, PDG de Petroma et Wassoul ‘Or a pris le risque d’investir dans ce projet et de transformer cet hydrogène naturel pour produire de l’électricité sans émettre de CO2. Selon des informations concordantes en notre possession, le village tire profit de l’électricité fournie à partir de cet hydrogène naturel. Peu importe la quantité. L’essai de production d’électricité avec l’hydrogène naturel sans émission de CO2 réussi par Petroma au Mali augure un nouvel ordre scientifique et industriel pour l’humanité.
A priori, ce gisement de gaz qui a jailli des roches du village malien, Bourakebougou constitue une des clés de la transition énergétique que se prépare la planète à affronter. C’est le véritable enjeu de l’énergie du futur. Beaucoup d’experts émérites qui travaillent sur le secteur des énergies renouvelables ont la conviction que cette transformation de l’hydrogène naturel en électricité est une limite qui vient d’être franchie par la société Petroma et une nouvelle étape qui s’ouvre à l’humanité. En quelque sorte, Bourakebougou offre aux industriels et aux scientifiques un levier propulseur insoupçonné pour changer les paradigmes d’anticipation de l’énergie de demain, propre, durable, sans émission de CO2, à moindre coût. C’est la première fois dans le monde que l’hydrogène naturel a été utilisé pour produire de l’électricité. Ce pari réussi par l’homme d’affaires malien Aliou Boubacar DIALLO est une véritable révolution pour l’humanité et se hisse au summum des grandes inventions qui ont bouleversé la vie des humains ( de Christophe Colomb à Bertrand Picard en passant par le gourou du début de l’ère de l’industrie aéronautique contemporaine ). Son promoteur a réussi à le transformer pour produire de l’électricité écologique, créant un monde sans CO2. Ce projet historique et scientifique majeur porté par la société Petroma, interpelle l’Afrique, les décideurs politiques et institutionnels du monde qui doivent réussir ce virage révolutionnaire énergétique de demain.
Enjeu de la COP21
Décembre prochain à Paris se tiendra la grand-messe de la COP21 où le Mali a été désigné comme porte-parole du continent africain. Une occasion pour l’Afrique, les industriels et les scientifiques de défendre ce projet gigantesque du Sud et de réussir la transition pour un meilleur avenir énergétique pour l’humanité. Les spécialistes sont unanimes qu’on est déjà dans l’ère post-énergie fossile.
Ce que M. Diallo a réussi par la production de l’électricité avec l’hydrogène naturel de Bourakebougou, dans le Bloc 25 de Petroma, apporte la clé vers le chemin du nouveau Plan Marshall de l’énergie du futur de l’humanité.
PAR ISMAEL AIDARA, RÉDACTEUR EN CHEF
Les Afriques
A toutes les grandes gueules vendues ou inconscientes:
Il parait que Pearl Gold a été condamnée pour payer des milliards cfa en réparation à M. Diallo et à quelques unes de ses sociétés ….. Arrêtons ce cirque, de grâce.
Le monde est petit et la vérité elle, il faut la chercher pour la retrouver et non l’apprendre passivement de quelques envieux qui en veulent à un compatriote digne et travailleur.
Depuis le mois d’Août 2012, Petroma est la seule société qui a payé plus d’un milliard de francs cfa à l’Etat du Mali via l’AUREP, au moment où toutes les autres grandes sociétés multinationales se cachent derrière les clauses de force majeure pour abandonner ou geler leurs activités au Mali et trouver les prétexte pour ne rien payer à l’Etat du Mali……
C’est le moment pour que le Mali d’aider ses propres enfants, surtout s’ils consentent un sacrifice pour le pays même au moment où il est difficile de vendre le risque “Mali” à l’international compte tenu du risque politique.
Edgard en tant que scinetifique vous devez surement savoir que la combustion de l’hydrogen produit de la vapeur d’eau. C’est la production d’ydrogen a partir de gaz naturel, methanol ou bien de l’eau qui genere du CO2 car ce sont des procede couteux en energie.
Du moment que le gisement du Mali est de l’hydrogen pure, il suffit de le brancher a un generateur qui utilise de l’hydrogen comme carburant pour générer de l’electricite sans produire du CO2. Ces generateur son largement en vente sur le marché. C’est aussi possible de modifier un generateur a gazoil pour utiliser de l’hydrogen comme carburant. Comme je l’ai dis la technology n’a rien de revolutionaire. Pour la petite histoire Mr Diallo etait en train de faire un forage pour un puit d’eau quand soudainement un flame a jailli. C’est en ce moment qu’il on compris qu’il avais a faire a de l’hydrogen. Il existe des grand gisement d’hydrogen entre Amerique et le Canada mais il n’on pas été exploite encore. Donc comme je le disais l’impact sera local. Le Mali pourra générer de l’electricité propre quelle pourra meme exporter dans les pays voisins si le gisement est suffisament grand.
Mais de dire que la decouverte de ce gisement va changer l’humanité c’est trop dire. Ce n’est pas a cause de se gisement que l’humanite va remplacer le petrole par l’hydrogen.
Quel brillant article. J’aime ces grands journalistes des Afriques, ce journal panafricain qui fait la fierté de l’Afrique. Ces grandes plumes, Adama WADE, Ismael AIDARA. Fgaro et Le Monde n’ont rien à envier à ces styles de haute facture. Bien écrit. Que ALLAH vous protège et vous éclaire. Aminé. Lisez Les Afriques, ils sont très bons. Du courage et Chapô à Aliou Boubacar Diallo. Sachez que vous n’aurez jamais un article pétri de générosité et de profondeur chez nos médias européens. Soyez conscients. Nous avons aussi au Mali, des Saouti HAIDARA, cousin m’a ton dit de AIDARA des Afriques ( reste à vérifier ) et des Adam THIAM.
IL EST NUL DOUTE QUE APRES LES FOSSILS C’EST LE LITHIUME QUI INTERESSE LE PLUS COMME ENERGIE .QT MEME L’HYDROGENE DONT ON PARLE J’AILLISANT DE CETTE REGION OU VILLAGE DU MALI NE FIGURE DS SUR LA LISTE DE NOMBREUX MINES DU MALI .ATTENDONS VOIR
Le Diamant dont l’existence est avérée dans une vingtaine de pipes kimberlitiques dans la zone minière de Keniéba, dans la région de Kayes ;
2Le manganèse avec environ, 20 millions de tonnes de ressources prouvées auxquelles est associé à l’or ;
3Le fer estimé à 1 milliard 360 million de tonnes dans les secteurs de Kita et Narena ;
4 Le plomb dans les secteurs de Tessalit et Tamanrasset avec 1 million 700 mille tonnes ;
5 Le cuivre, le gypse, le nickel, la platine dont les indices ont étés trouvés, respectivement à Nioro, Kadiolo et au Nord de Tessalit ;
6 Le calcaire à Bafoulabe et à Hombori totalisant environs 50 million de tonnes de ressources très appropriées pour la fabrication du ciment, de la chaux vive et des carreaux. Les réserves sont évaluées à plus de 122 million de tonnes réparties dans plusieurs zones. Les potentialités existent, mais les difficultés sont liées au développement des infrastructures et aux besoins du Mali dans le secteur du bâtiment et des travaux publics;
7 Le marbre au Nord de Bafoulabe avec 10 millions 600 mille tonnes ;
8La bauxite à l’Est et au Sud-ouest avec un potentiel de plus de 1 milliard 200 millions de tonnes dont plus de 500 million de tonnes en pré-développement dans le cadre d’un partenariat entre CAMEC/MMH-SA à travers l’UNOMIN. Selon le département des Mines, « le seul qui a été suffisamment étudié, le gisement de Tamaguilelt, dispose de réserves d’environ 20 millions de tonnes. Il est exploité de façon semi-industrielle depuis 1986 et a produit en moyenne 15000 tonnes par ans. Ses activités ont étés interrompues pendant la rébellion et actuellement sont arrêtées depuis 1996 »;
9 Le phosphate, véritable engrais naturel pour l’agriculture, constitue une réserve prouvée de 20 million de tonnes à Tamaguilelt dans la préfecture de Bourem, région de Gao.Il existe d’autres collines non étudiées qui pourrait bien gonfler ces tonnages.
10L’étain, le lithium, le kaolin, les grenats, les pierres ornementales, l’argile, les sables de verrerie dans le lac Faguibine et les bassins sédimentaires, favorables pour la recherche et l’exploitation des pétroles et gaz, viennent s’ajouter à cette liste non exhaustive. Ces ressources sont reparties sans exclusive entre les différentes régions du pays.
vous n’avez pas honte, un monsieur qui mérite la prison avec sur sa tête plus de 100 milliard à rembourser aux créancier étrangers. le plus grand MADOF malien jamais égalé, même la banque B C S connait ce monsieur. Attendez vous verrez dans peu de temps il finira entre les 4 murs de la prison comme son ami SANOGO. Au lieu de parler il faut travailler Diallo a passer toute sa vie a parlé sans importance. l’histoire de BOURAKEBOUGOU devient finalement un mythe ou un moyen tout simplement d’attirer d’autre investisseurs vers un projet qui n’est pas viable. Bande de voleurs BABOYE et les filles…… 😈 😈
Ce Monsieur Diallo est un modèle à suivre. Malgré toutes les tentatives des prédateurs étrangers de s’approprier ses projets, il continue à lutter et à s’imposer et à démontrer qu’un africain peut réussir des projets de telle envergure.
Du courage Monsieur. Tous les fils du Mali vous prient de continuer votre lutte.
Je suis mort de rire..Celui qui est le fossoyeur de Wassoul’or, qui doit des milliards aux actionnaires étrangers vient se refaire une virginité en nous ressortant le gisement d’hydrogène. Du grand n’importe quoi mais rien n est étonnant au Mali. Wasoul’or est en faillite, même si la mansuétude de la cour d’appel lui donne deux ans de répits. Le juge d’appel à du toucher un peu de cash pour rendre une décision aussi contraire à la réalité de la situation des sociétés de DIALLO.
PETROMA est dans la même situation alors ne rêvons pas frères et surtout arrêtons de prendre les vessies pour des lanternes. DIALLO est un usurpateur et il sera bientôt démasqué.
Si un tel gisement était crédible et surtout d’un intérêt capital pour le continent, ne doutez pas un instant qu il ne serait pas confié à un tel personnage.
Ce Monsieur Diallo est un modèle à suivre. Malgré toutes les tentatives des prédateurs étrangers de s’approprier ses projets, il continue à lutter et à s’imposer et à démontrer qu’un africain peut réussir des projets de telle envergure.
Du courage Monsieur. Tous les fils du Mali vous prient de continuer votre lutte.
Quel modèle? Cet homme est un menteur, cet article est fait pour appâter d’éventuels naïfs qui courent derrière la facilité et le gain rapide
L’afrique qui bouge. De pareils leaders innovateurs africains sont rares de nos jours.
Ce Monsieur Diallo est un modèle à suivre. Malgré toutes les tentatives des prédateurs étrangers de s’approprier ses projets, il continue à lutter et à s’imposer et à démontrer qu’un africain peut réussir des projets de telle envergure.
Du courage Monsieur. Tous les fils du Mali vous prient de continuer votre lutte.
Le Mali, producteur “d’électricité green”. Qui l’aurait cru!!
De l’hydrogène à l’état naturel est rare à trouver, et là, au Mali, un entrepreneur malien, en découvre au sud, alors que tous les yeux sont fixés vers le nord du pays qui connait des troubles sécuritaires chaque jour.
Un potentiel énorme et un projet futuriste à soutenir impérativement.
Ecoutez, arretez de faire le griot. Mr Boubacar Diallo n’a rien inventé. Il a simplement utilisé l’hydrogen decouvert a Bourakébougou comme carburent pour le generateur d’électricité. C’est un ancient procedé rien de revolutionaire. En europe certain bus utilise l’hydrogen au lieu de l’essence. Contrairement a ce que vous avez dit, le gisement d’hydrogen decouvert n’est pas une source renouvelable quand on l’exploite, il fini par tarir comme un gisement de petrole ou gaz naturel. Cette decouverte n’aura aucun impact pour l’humanité. Son impacte sera local. La seule technologie qui aura un impact sur l’humanité est la fusion nucléaire. Des milliards on été investi dans la recherche mais les progrès sont tres lent. Donc on espère toujours.
En tant que scientifique, je peux sans aucune retenue affirmer que c’est un projet à très haute valeur ajoutée.
Les bus en Europe et ailleurs marchent avec de l’hydrogène produit par procédé chimique très dispendieux et très coûteux. Petroma a découvert un gisement naturel d’hydrogène qu’elle a réussit (et c’est la première fois au monde) à transformer in situ en électricité sans émettre du CO2, que du H2O comme émission après combustion d’hydrogène, et ça a été reconnu toute la communauté scientifique internationale.
De l’énergie verte. Le Mali pourra récupérer du crédit carbone grâce à ce projet.
Bonne initiative à encourager
J’ai parcouru plusieurs articles de presse au sujet de cette société et de son dirigeant Aliou Diallo. Il parait que c’est la seule société dans le domaine pétrolier et gazier au Mali qui a continué à travailler sur ses blocs après le coup d’état de 2012. Toutes les autres sociétés se sont retirées ou ont gelé leurs activités sous prétexte du cas de force majeure.
J’admire cette ardeur et cette persévérance du dirigeant de Petroma, qui malgré la situation militaro-politique du Mali, a continué d’investir dans ce projet.
Vivement un aboutissement de ce projet de production d’électricité par de l’hydrogène malien.
Bon courage et bon vent.
Quelle chance pour le Mali d’avoir des nationaux de ce niveau. Je me demande si ce que ce projet est épaulé par l’état du Mali???
Un tel projet, innovateur et libérateur, mérite d’être accompagné au plus haut niveau.
Un projet inédit. Une opportunité inégalée.
Ce projet est stratégique pour le Mali et pour l’Afrique. L’énergie est le point primordial pour tout développement.
Petroma détient là une opportunité d’être un leader africain, sinon mondial de l’énergie verte,écologique et durable, vu
que le rejet est purement de l’eau. Aucun déchet toxique, aucune émission de dioxyde de carbone.
Monsieur Diallo, le promoteur de Petroma doit être soutenu et encouragé par tous les fils du Mali et de l’afrique.
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