IBK à la Journée de l’industrialisation de l’Afrique : «Nous avons l’ambition d’offrir de l’emploi aux jeunes»

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Ibrahim Boubacar Keïta, président du Mali depuis le 4 septembre 2013 ©

En présidant la journée de l’industrialisation de l’Afrique, le Président de la République, Ibrahim Boubacar Kéïta, a réaffirmé son ambition d’offrir de l’emploi aux jeunes du Mali.

Le Président de la République, Ibrahim Boubacar Kéïta, a présidé le 28 novembre dernier, au Centre International des Conférences de Bamako (CICB), la cérémonie de célébration de la Journée de l’industrialisation de l’Afrique. On notait la présence du Premier ministre, chef du gouvernement, Modibo Kéïta, du Président de l’Assemblée Nationale, l’honorable Issaka Sidibé, du Ministre du Commerce et de l’Industrie, Abdel Karim Konaté, plusieurs membres du gouvernement, des membres du corps diplomatique, du Président de l’Organisation patronale des industriels (OPI), Cyril Achkar et de plusieurs industriels. Organisée par l’OPI en partenariat avec le Ministère du Commerce et de l’Industrie et l’ONUDI, la Journée de l’Industrialisation de l’Afrique avait pour thème cette année : « Des PME pour l’éradication de la Pauvreté et la Création d’Emplois pour les femmes et les jeunes ».

Au début de la cérémonie, le Président de la République, Ibrahim Boubacar Kéïta, a fait observer une minute de silence en la mémoire des victimes de l’attaque terroriste perpétrée le 20 novembre dernier contre l’hôtel Radisson Blu de Bamako. L’exécution de l’hymne national du Mali a été suivie par la projection d’un film documentaire sur l’état des industries au Mali et le discours de bienvenue du 1er adjoint au Maire de la Commune III du District de Bamako, Monsieur Djibril Séméga.

 Des préoccupations des industriels !

Pour le Président de l’OPI, « le livre blanc de l’industrie est un recueil synthétisant la situation industrielle de notre pays ». A ses dires, le PIB de la manufacture tourne autour de 4 à 5% contre 11% pour la moyenne de l’UEMOA, 15% pour le Sénégal, 19% pour la Côte d’Ivoire et 24% pour le Maroc. Le Mali, a-t-il affirmé, compte quelques centaines d’unités industrielles contre plusieurs milliers pour le Sénégal et la Côte d’Ivoire alors que notre pays est le 1er importateur net de produits industriels dans l’espace UEMOA.

A en croire Cyril Achkar, le déficit de la balance commerciale du Mali, près de 400 milliards de FCFA par an, est l’équivalent du montant de l’aide publique au développement. Jusqu’ici, a regretté le patron des patrons des industriels, des politiques industrielles théoriques sont menées sans réelles convictions. Cyril Achkar a ajouté que l’industrialisation de notre pays est la voie obligée de son développement. « Vingt et une solutions de relance de l’industrie sont proposées dans le livre blanc nourri par les difficultés rencontrées à l’occasion de 40 ans de pratique de la transformation industrielle d’investisseurs nationaux et internationaux regroupés au sein de l’OPI », a-t-il souligné. Les vingt et une solutions  du livre blanc sont une réponse intuitive aux maux de l’industrie actuelle.

Monsieur Achkar souligne que « l’ouverture des marchés exigent de nos entreprises la qualité et la compétitivité. Toutefois ce marché de 300 millions de consommateurs ne nous sera pas accessible si nous ne parvenons pas à être leaders sur notre propre marché de 17 millions de consommateurs. », a-t-il ajouté. « Ne soyons pas naïfs sur l’ouverture de nos marchés. Car, les alliances ‘’contre-nature’’ comme celle du tarif extérieur commun (TEC) en vigueur actuellement au sein de l’UEMOA et de la CEDEAO mettent à égalité des pays enclavés comme le nôtre et des pays côtiers ! Cela est aussi inégal qu’un match entre un boxeur de 50 kg et un autre de 100 kg », a-t-il affirmé.

Juste après son discours, le Président de l’OPI a donné au Ministre Abdel Karim Konaté une copie du rapport de l’atelier de validation  des études du Livre blanc. Par la suite, le Ministre Konaté a remis ce document au Premier ministre, Modibo Kéïta qui, à son tour, l’a transmis au chef de l’Etat. Un film a présenté les inaugurations de quelques unités industrielles.

En prenant la parole, le Ministre du Commerce et de l’Industrie, Abdel Karim Konaté, a remercié le Président IBK dont la présence à cette cérémonie constitue une première et le témoignage de son engagement pour l’industrialisation du Mali. Selon lui, cette journée célébrée depuis 1989, est destinée à mobiliser l’engagement de la communauté internationale en faveur de l’industrialisation de l’Afrique.

Des efforts du gouvernement !

A en croire le Ministre, le thème cadre parfaitement avec la vision du Président de la République. La grande famille du secteur industriel, a déclaré Abdel Karim Konaté, reste mobilisée aux côtés du Président IBK pour bâtir « Le Mali rayonnant, le Mali créateur de richesses et de valeurs au service de tous ses fils ». « Oui, Excellence, Monsieur le Président de la République, l’Organisation Professionnelle des Industriels, les syndicats des boulangers, les maîtres imprimeurs et les huiliers s’engagent avec vous pour honorer votre engagement de créer deux cent mille emplois durables au profit notamment des femmes et des jeunes d’ici 2018, Inchalla. Oui, Monsieur le Président de la République, avec le secteur industriel, notamment la branche BTP, vous réussirez le pari de la réalisation de 50 000 logements sociaux au bénéfice des populations les plus défavorisées, à l’horizon 2018, Inchalla. Oui, Monsieur le Président de la République, avec le secteur industriel, l’objectif affiché des politiques économiques et financières mises en œuvre dans notre pays pour parvenir à un taux de croissance économique d’au moins 7% par an, jugé nécessaire pour réduire significativement la pauvreté, sera atteint, Inchalla », a espéré  le ministre Konaté.

Il a aussi  insisté sur le rôle des PME dans l’économie notamment la création de l’emploi pour les femmes et les jeunes. « Les PME en raison de leur grande capacité d’adaptation, de leur flexibilité et de leur  dynamisme particulier  peuvent constituer à cet égard, une base solide qui permettra d’établir durablement la croissance des emplois et d’éliminer la pauvreté », a ajouté Abdoul Karim Konaté.

Il a rappelé que la crise, d’où sort notre pays, a sérieusement affecté le tissu industriel. Le Gouvernement, a-t-il fait savoir, déploie d’énormes efforts pour accompagner le secteur industriel dans son développement, à travers la mise en œuvre de la Politique Nationale de Développement Industriel adoptée en 2010. Le ministre du commerce et de l’industrie, a rappelé plusieurs actions du gouvernement à travers son département. Il s’agit de la restructuration et le renforcement de l’efficacité des services d’appui à l’industrie avec la création, en  plus de la Direction Nationale de l’Industrie, de l’Agence Malienne de Normalisation et de Promotion de la Qualité (AMANORM), du Bureau de Restructuration et de mise à niveau des entreprises industrielles (BRMN), du Centre Malien de Promotion de la Propriété Industrielle (CEMAPI) et du Centre pour le Développement de l’Agroalimentaire (CDA) ; le démarrage effectif des activités de trente-deux (32) nouvelles unités industrielles portant l’effectif du parc industriel à 651 en 2014 ; la conclusion de nouveaux contrats de performance entre l’Etat et certaines entreprises en difficulté, dont les plus récents ont concerné la SONATAM, la COMATEX, la Société des Terres Cuites de Bamako, (EMBAL MALI et la SOMAPIL).

Engagement  du Président IBK

Outre le  renforcement des actions de lutte contre la fraude, on note avec satisfaction la poursuite des travaux d’identification, de bornage et d’aménagement des zones industrielles, notamment à Djalakorobougou, Kayes, Sanankoroba, Sikasso, Ségou et Mopti. « La conjonction de ces différentes actions a eu un impact positif sur le secteur industriel de notre pays qui a enregistré une contribution de 6,5% à la formation du PIB en 2014, contre 5,7% en 2013 », a-t-il indiqué.

Le Président de la République s’est dit conscient des difficultés du secteur industriel comme la fraude et le déficit énergétique. Sans l’énergie, a souligné le Président IBK, il est impossible d’amorcer un développement industriel. Le chef de l’Etat a évoqué les efforts en cours pour résorber ce déficit énergétique en mettant un accent particulier sur les projets d’interconnexion des réseaux énergétiques avec certains pays.

Le Président de la République a appelé les industriels à rester confiants et à faire confiance aux dirigeants du pays qui ont la ferme volonté de faire du Mali, un pays au rendez-vous du développement. « Nous avons l’ambition d’offrir de l’emploi aux jeunes », a insisté IBK. Pour cela, il est convaincu que la fonction publique ne peut pas satisfaire à tous les besoins d’emploi de la jeunesse. Pour faire face au défi de l’emploi, le Président de la République plaide pour un secteur privé dynamique et compétitif. Le Gouvernement, a-t-il fait savoir, va s’atteler à la création des conditions pouvant permettre l’émergence des unités industrielles.

C. Doumbia

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  1. Elu à 77% par le peuple malien en 2013, le Président IBK sait pertinemment ce qu’il fait. Ce climat de confiance le peuple malien a envers lui ne s’effondra jamais dans le cavité. Soyons patient et comprenons que ces deux dernières années ont été très dure compte tenu de la résolution de la crise du septentrion. N’oublions pas non plus qu’il a été élu pour cela, donnons-lui le temps d’ici la fin de son quinquennat le maximum sera fait.

  2. L’Etat malien ne peut guère donner du travail à tous les jeunes du Mali. Chose étant, il revient à la jeunesse de ne pas baisser les bras, de mettre en valeur et en pratique ses potentialités.

  3. Il n’y a pas de sous métier, tout travail qui peut apporter de l’argent même si c’est minimum, il faut s’accrocher à ce job. Malheureusement, la jeunesse malienne n’a pas eu cette conception.

  4. Et oui tout le monde n’est pas né pour travailler dans un bureau climatisé, raison pour laquelle la jeunesse malienne doit penser à s’investir dans le milieu rural ou autre que les études.

  5. A mon humble avis, la jeunesse aussi doit renoncer à ses idées luxueuses et se donner au travail quel qu’en soit la nature de ce métier. Tout le monde n’est pas né pour travailler dans un bureau climatisé.

  6. Le problème de chômage est présent partout dans le monde. Le Mali n’est pas le seul pays confronté à ce fléau. Tout ce qu’on peut faire c’est de promouvoir l’emploi dans le milieu jeune en créant.

  7. Seul le secteur privé est pourvoyeur d’emploi. En effet, l’Etat en se penchant sur une industrialisation de notre pays veut ainsi donner une réponse nette au phénomène de chômage grandissant qui mine notre pays.
    Pour cela, nous devons accompagner le président dans cette ambition pour le bonheur de tous.

  8. Je pense que ce genre de journée est la bienvenue en ce sens qu’elle permet de passer au peigne fin les difficultés qui minent notre industrie et les solutions à y apporter. Certes, elle n’est pas aussi bien portante aux dires du patron du patronat des industriels, mais il y a de l’espoir car les efforts du gouvernement en sa faveur l’illustre parfaitement. Nous ne pouvons qu’encourager les efforts du président et de son gouvernement.

  9. “Nous avons l’ambition d’offrir de l’emploi aux jeunes” dit SEM IBK. Rien qu’attendre de tels propos, je réalise que le président a en coeur de sortir la jeunesse dans cette oisiveté grandissante qui mine notre société. Car ne dit-on pas que l’oisiveté est la mère de tous les vices. Pour cela, lui trouver de l’emploi l’évitera toutes les tentations malsaines.
    VIVE IBK!!!
    VIVE LA JEUNESSE!!!
    VIVE L’INDUSTRIALISATION!!!

  10. Je pense que le livre blanc présenté par le patron du patronat des industriels trouvera une solution le plutôt possible. Parce que le vœux le plus cher de président est d’accroître le secteur industriel Malien qui connait un retard considérable par rapport aux autres Etats membres de l’UEMOA. En effet, le secteur industriel est un véritable secteur pourvoyeur d’emploi. Et cela permettra à la jeunesse de trouver de l’emploi pour qu’elle puisse se réaliser socialement et financièrement.

  11. Il faut saluer les efforts du gouvernement dans sa lutte pour le bien-être de sa population à travers les actions de développement de notre pays notamment par une industrialisation plus poussée. En effet, celle-ci va générer des emplois au profit de la jeunesse base de développement.

  12. Les intentions du président sont claires et nettes, c’est de rendre notre pays le plus industrialisé possible. Cette industrialisation générera des emplois qui aura un impact sur le chômage. Cette initiative du président est louable et salutaire car IBK a mis un accent particulier sur l’emploi en faveur de la jeunesse et la femme.

  13. La jeunesse est l’épicentre de tout développement réussi et durable. Assurément, lui accorde une place de choix dans tout régime qui passera, c’est la réussite de celui-ci et c’est ce qu’a compris le président IBK. Car une jeunesse désœuvrée est exposée à tous les vices dont qui impactent négativement sur le développement du pays. J’interpelle la jeunesse à saisir cette opportunité qu’offre le président en le soutenant de sa vision.
    VIVE UN MALI INDUSTRIALISE !!

  14. Le président IBK a montré la voix.
    Nos chefs d’entreprise doivent permettre à cet engagement d’être une réalité pour permettre à notre pays de sortir de la pauvreté et tendre vers l’émergence.
    Vive le Mali émergent.

  15. Si tous les présidents malien avaient compris comme IBK que le secteur privé doit être le premier pourvoyeur d’emploi,je suis sûr que le taux de chômage que le Mali connait en ce moment serait un lointain souvenir.
    Mais puisqu’il n’est jamais trop tard pour bien faire je pense que ce taux de va considérablement baisser avec lui.
    Merci président pour votre clairvoyance.

  16. Je pense que le président IBK fait bien de mettre un accent sur l’emploi des jeunes car la jeunesse est le socle de tout développement. Pour y parvenir, il prévoit une forte industrialisation du pays qui forcement va induire des emplois. Pour cela, j’appelle tout le peuple surtout la jeunesse à soutenir le président dans cette action en sa faveur et pour le développement de notre patrie.

  17. Nous avons toujours eu confiance en IBK et nous continuerons d’avoir confiance en lui car les actes qu’il pose prouvent une qu’il est une personne digne de confiance.
    Il ne cesse de se battre pour améliorer les conditions de vie de ses compatriotes.
    Nous pensons qu’il est vraiment l’homme qu’il faut à la tête du Mali.
    Merci président.

  18. On dit très souvent que l’oisiveté est la mère de tous les vices.
    C’est pour cette raison que le président IBK s’est donné comme mission de donner du boulot à la jeunesse malienne.Ainsi celle ci sera économiquement indépendante pour ne plus être une proie facile exposée à toutes sortes de vendeur d’illusion.
    Merci au président. 😀 😀 😀 😀

  19. La présence du chef de l’Etat à la journée de l’industrialisation est à saluer. En effet, cela démontre l’intérêt qu’à le président de rendre notre pays le mieux d’industriel possible. En plus, il ambitionne donner de l’emploi aux jeunes et aux femmes grâce à une forte industrialisation de notre pays car il faut le souligner seul le secteur privé est pourvoyeur d’emploi.

  20. La politique du président IBK pour encourager l’entrepreneuriat privé est une politique qui va permettre à notre pays d’avoir plusieurs autres industries pour diminuer considérablement le taux de chômage.
    Merci au président pour tout ce qu’il fait pour notre bien être.

  21. Toute la jeunesse malienne doit se mettre ensemble pour accompagner la politique du président IBK.
    Cet homme mène une politique dont la jeunesse constitue le pilier central.Alors,pour un avenir sûr et rayonnant,nous devons lui apporter tout notre soutien.
    Merci président pour tout ce que vous faites pour la jeunesse malienne. 😀 😀 😛 😛

  22. Les femmes et la jeunesse sont la cheville ouvrière de tout pays qui aspire à un développement durable.
    Et IBK a tellement compris cela qu’il fait tout pour créer des emplois pour l’indépendance financière de celles ci.Cette volonté du président aura pour résultat immédiat la réduction considérable du taux de chômage dans notre pays qui va se matérialiser par l’amélioration des conditions de vie de tous les maliens.
    😆 😆 😆 😆 😀 😀 😀

  23. Pour tout pays qui aspire au à un développement économique,il faut mettre l’accent sur le secteur prive et l’entrepreneuriat.
    C’est dans cette logique que s’inscrit le président IBK car il a de grandes ambitions pour son pays.
    Nous devons donc l’accompagner dans cette vision pour un Mali émergent.

  24. Je salue le président de la république pour ses actions en vue du développement de ce pays qui nous est si chère.
    La route est encore longue mais rien n’est impossible à celui qui veut et le président IBK a l’amour du pays encré dans son coeur. J’incite donc mes concitoyens à contribuer à ce programme de par leur soutien et leurs actions chacun à son niveau dans ce combat.

  25. Je pense que la volonté du chef de l’état est claire ; c’est de créer plus d’industries pour limiter au strict minimum les importations pour que l’état n’ait pas trop de manque à gagner. Et cette volonté va avoir très certainement un impact sur la poche des populations qui auront des produits moins chers.

  26. Le chef de l’état a montré sa volonté de faire du Mali un pays un peu plus industrialisé donc il mettra les moyens pour que les réformes engagées dans ce secteur ne soient pas des lettres mortes.

  27. Les entreprises nationales doivent s’inspirer du modèle des autres pays en matière de qualité pour que les industries du pays soient plus compétitives et plus dynamique car il faut toujours s’inspirer des modèles de ceux qui ont connu du succès dans ces domaines pour pouvoir avancer.

  28. L’industrialisation permettra à l’état de faire des rentrées importantes d’argent car c’est beaucoup d’argent que l’Etat dépense en subventionnant certains produits de grandes consommations.

  29. L’inauguration des plusieurs unités industrielles démontrent que du travail est en train d’être fait pour que la volonté du président de la république soit atteinte. Et je crois réellement que ce sera concrétisé car des résultats sont déjà là.

  30. La volonté du président de créer 200.000 emplois durables pour les jeunes n’est pas du tout veine car des avancées sont déjà remarquées avec l’atteinte en deux ans de gestion de 36% de ce chiffre.
    Nous devons donc l’accompagner dans ses actions et apporter notre soutien dans le cadre de ce programme bénéfique pour tout un chacun de nous.

  31. Je pense qu’il faut que les conditions soient crées pour que les PME et soient plus dynamique afin de pouvoir offrir plus d’emplois pour la population car il faut le reconnaitre l’état quelques soit sa puissance ne peux pas employer tous les demandeurs d’emplois et c’est au secteur privé de pouvoir aider à résorber ce problème.

  32. Les structures comme l’AMANORM, le BRMN, le CEMAPI et le CDA doivent contribuer à la floraison de « vraies » PME et PMI compétitives et dynamiques pour qu’on ait un pays fort à travers ces industries.

  33. « Nous avons l’ambition d’offrir de l’emploi aux jeunes » dixit le président IBK lors de cette cérémonie».
    Je dirai que nous n’en doutons pas car les actions du président sont dans cette optique ; il a crée en termes d’emplois dans le secteur formel, 14 116 emplois du 1er janvier au 31 juillet 2015, 71 652 emplois durables ont été générés par les activités économiques sur l’étendue du territoire national, soit 36% de la promesse du Président de la République. A l’en croire, environ 5 000 jeunes ont été placés en stage de formation professionnelle dans les structures publiques et privées par l’APEJ, en vue du renforcement de leur employabilité.

  34. Le Président de la République, Chef de l’Etat, Ibrahim Boubacar Keita, dès son arrivée à la tête du pouvoir, dans un contexte difficile, a fait de la question de l’employabilité des jeunes son cheval de bataille, avec l’objectif de créer 200 000 emplois durant son premier mandat.
    Pour relever ce défi, tant attendu par la jeunesse malienne, il a pris le taureau par les cornes, en créant un ministère chargé de l’Emploi, de la Formation Professionnelle, de la Jeunesse et de la Construction Citoyenne, avec à sa tête Mahamane Baby.
    Celui-ci et ses collaborateurs sont en train de mettre les bouchées doubles pour atteindre l’objectif fixé par le programme du Président IBK.
    Ainsi, de septembre 2014 à juillet 2015, le ministère de l’Emploi, de la Formation Professionnelle, de la Jeunesse et de la Construction Citoyenne a réalisé tout un ensemble d’actions qui découlent de ses missions et l’année 2014 a également été marquée par des progrès aux niveaux juridique, institutionnel et programmatique
    Au niveau juridique, le département de l’Emploi et de la Formation Professionnelle a mis en place un cadre visant à améliorer la distribution de la formation professionnelle et l’employabilité.
    Au plan institutionnel, la mise en place de l’Institut National de Formation Professionnelle (INIFORP) et la création de l’Observatoire National de l’Emploi et de la Formation (ONEF) ont contribué à booster les actions du département dans le secteur de la formation professionnelle et de l’emploi et à assurer un meilleur suivi de la problématique.
    Au plan programmatique, les efforts fournis ont concerné la mise en place de projets et programmes, notamment le FIER et le PRODEFPE, qui ont fortement concouru à impulser l’employabilité en faveur de la jeunesse. Ces actions ont été renforcées et amplifiées au cours de l’année 2015.
    Dans le domaine de l’Emploi, de la Formation Professionnelle, de la Jeunesse et de la Construction Citoyenne, les actions menées en 2014 ont été renforcées et amplifiées au cours de l’année 2015.
    En vue de contribuer à l’accroissement des opportunités d’emploi décent, le département s’est doté d’une Politique Nationale de l’Emploi. Cette politique, assortie d’un Plan d’actions 2015 – 2018, prend en considération trois défis majeurs, liés à la problématique de l’emploi: l’insuffisance structurelle de l’offre d’emplois productifs et décents; le faible niveau du capital humain et la faible employabilité de la main-d’œuvre.
    En termes de création d’emplois dans le secteur formel, il a été créé 14 116 emplois entre le 1er janvier et le 31 juillet 2015. Pour les deux ans d’exercice, 71 652 (soit 36% de la promesse du Président de la République) emplois durables ont été générés par les activités économiques sur toute l’étendue du territoire national.
    Environ 5 000 jeunes ont également été placés dans les structures publiques et privées par l’APEJ en stage de formation professionnelle, en vue du renforcement de leur employabilité.
    Pour favoriser l’insertion socioéconomique des jeunes, deux projets d’envergure ont démarré leurs activités. Il s’agit du projet Formation professionnelle, Insertion et appui à l’Entrepreneuriat des jeunes Ruraux (FIER) et du Projet de développement des compétences et emplois des jeunes (PROCEJ).
    Le FIER a pour objectif de faciliter l’accès des jeunes ruraux aux opportunités d’insertion et d’emplois attractifs et rentables dans l’agriculture et les activités connexes. Quant au PROCEJ, il vise à améliorer l’éducation et la formation pour l’employabilité et les possibilités d’emplois créés par le secteur privé.
    Dans le domaine du renforcement de l’employabilité des jeunes, le département a procédé à la liquidation des arriérés d’allocations des stagiaires en qualification professionnelle et au placement de 5 170 jeunes diplômés en stage de formation professionnelle pour un coût de 3 milliards de FCFA
    Pour consolider cette performance, ont été menés à bien la mise en place d’un Plan de développement de l’esprit d’entreprenariat chez les jeunes et le renforcement du dispositif de financement des projets jeunes.
    Les perspectives prévoient pour très bientôt la construction et l’équipement d’infrastructures de jeunesse novatrices.
    http://www.maliweb.net/politique/deux-ans-de-parcours-dibk-71-652-emplois-durables-generes-1141412.html

  35. Pour favoriser l’insertion socioéconomique des jeunes, deux projets d’envergure ont démarré leurs activités. Il s’agit du projet Formation professionnelle, Insertion et appui à l’Entrepreneuriat des jeunes Ruraux (FIER) et du Projet de développement des compétences et emplois des jeunes (PROCEJ).

  36. Environ 5 000 jeunes ont également été placés dans les structures publiques et privées par l’APEJ en stage de formation professionnelle, en vue du renforcement de leur employabilité.

  37. En vue de contribuer à l’accroissement des opportunités d’emploi décent, le département s’est doté d’une Politique Nationale de l’Emploi. Cette politique, assortie d’un Plan d’actions 2015 – 2018, prend en considération trois défis majeurs, liés à la problématique de l’emploi: l’insuffisance structurelle de l’offre d’emplois productifs et décents; le faible niveau du capital humain et la faible employabilité de la main-d’œuvre.

  38. Au plan programmatique, les efforts fournis ont concerné la mise en place de projets et programmes, notamment le FIER et le PRODEFPE, qui ont fortement concouru à impulser l’employabilité en faveur de la jeunesse. Ces actions ont été renforcées et amplifiées au cours de l’année 2015.

  39. Au plan institutionnel, la mise en place de l’Institut National de Formation Professionnelle (INIFORP) et la création de l’Observatoire National de l’Emploi et de la Formation (ONEF) ont contribué à booster les actions du département dans le secteur de la formation professionnelle et de l’emploi et à assurer un meilleur suivi de la problématique.

  40. Au niveau juridique, le département de l’Emploi et de la Formation Professionnelle a mis en place un cadre visant à améliorer la distribution de la formation professionnelle et l’employabilité.

  41. Ainsi, de septembre 2014 à juillet 2015, le ministère de l’Emploi, de la Formation Professionnelle, de la Jeunesse et de la Construction Citoyenne a réalisé tout un ensemble d’actions qui découlent de ses missions et l’année 2014 a également été marquée par des progrès aux niveaux juridique, institutionnel et programmatique

  42. l’espoir est permis, parce que le Mali bouge. Malgré les difficultés conjoncturelles, le Mali progresse, avec un taux de croissance de 7,2%, contre 1,7% au moment où IBK venait aux affaires, en septembre 2013. Qui dit mieux!

  43. Nous remercions le président IBK pour sa bonne volonté envers les maliens et envers le développement du pays.

  44. Le président IBK est un homme de parole, il a dit et il le fera. IBK est un président qui se soucis e énormément de la jeunesse, tout récemment l’INPS vient de de recruter 2000 jeunes, et l’EDEM a recruté une centaine de jeunes sans compter ne nombre des recrutés à la police, à la gendarmerie, a la garde nationale, à la protection des eaux et forêts, la protection civile.
    Et maintenant c’est au tours du secteur privé.
    L’industrialisation.Le Mali pourra enfin lutter contre ce chomage

  45. Le Gouvernement du Mali qui s’est engagé à soutenir la croissance économique, a commencé à répondre aux attentes des industriels maliens, par la prise de mesures conformes au livre blanc de l’industrie.
    Le 30 septembre 2015, un atelier a validé les recommandations de six études prioritaires du livre blanc proposé par l’OPI aux candidats à la présidentielle de juillet 2013.
    Le 1er Octobre 2015, le gouvernement annonce la suspension des exonérations sur les matériaux de construction produits au Mali. Merci IBK nous croyons toujours en vous et ous savons très bien que l’espoir est permi. Vive le Mali prospère !!!

  46. IBK est un homme de parole, car depuis arrivé au pouvoir, le Mali a connu un avancé extraordinaire sur le plan de l’emploi et de la formation professionnelle.
    Il est arrivé au pouvoir à peine 2 ans, il a réussi a créé des emplois, il fait aussi tout de lutter contre le chômage.
    Il donne maintenant cette chance à la jeunesse

  47. Les industries nationales doivent être des priorités au sujet du marché public, ce qui confortera la production nationale engendre automatiquement des effets positifs : plus d’investissements pour l’augmentation des capacités de production ; plus attractivité du pays donc installation de nouveaux acteurs ; plus d’emplois au bénéfice de la jeunesse malienne ; fixation des populations locales dans les zones de production donc moins d’exode rural et d’immigration ; plus de recettes pour l’Etat via la fiscalité interne.

  48. J’encourage le Gouvernement à poursuivre sur ce chemin à travers deux axes : la commande publique doit bénéficier prioritairement à la production nationale ainsi que l’application de l’ensemble des mesures du Livre Blanc de l’Industrie ». Car les patrons de l’industrie malienne sont convaincus qu’un « pays qui n’a pas d’industries est un pays qui n’a pas d’avenir !!

  49. Oui, l’espoir est permis, parce que, sur le marché de l’emploi, les horizons sont prometteurs. Déjà, 36% des 200 000 emplois promis par IBK pour ce quinquennat sont pourvus. A ce rythme, il n’y aura pas de doute que l’homme de parole respectera ses engagements, mais il faut que les sociétés privées s’investir beaucoup pour lui faciliter la tâche.

  50. Il en train de réaliser les rêves des Maliens, car tous ceux qu’il dit sont en train de réaliser, depuis son arrivé, le Mali a vécu une paix durable et une atmosphère pure, mais malgré tout cela certains cherchent à rendre la situation plus difficile. Il se sacrifie pour le bonheur des Maliens.Enfin la jeunesse aura du travail

  51. Le gouvernement doit tout faire pour que la commande publique revienne « majoritairement » aux industries nationales. Celle-ci (la commande publique) est estimée à environ 500 milliards de FCFA dans la loi de finances 2016. Pour Cyril Achcar, si les industries nationales bénéficient de la commande publique, elles créeront beaucoup d’emplois au Mali. Aujourd’hui, disait-il, les industries nationales tournent avec une seule équipe qui travaille 8 heures par jour. Alors qu’elles doivent tourner 24 heures sur 24, donc avec trois équipes. « Et cela n’est possible que si elles ont de la commande », a précisé le président de l’OPI.

  52. Nous savons tous que quand IBK venait au pouvoir le Mali était dans des conditions déplorables. Aujourd’hui grâce à tous les efforts qu’il déploie avec l’aide de son gouvernement pour sauver le Mali sont énormes. Donc, patience tout ira bien.

  53. Je suis malien et je suis jeune, j’ai toujours eu espoir au président IBK et ses projets envers ma patrie.
    Je suis conscient que le président a le véritable amour pour ce pays, et si ce n’était pas les différent problèmes de conflit, je suis sûr qu’en ses deux ans seulement beaucoup des choses auront changer.

  54. les Experts maliens et étrangers, à plaider pour l’encouragement de l’entrepreneuriat privé dans les secteurs productifs tout en adaptant la politique de formation aux besoins du marché du travail. En d’autres termes, en finir avec l’investissement excessif dans le domaine des services. Mais, pour cela, faudrait-il jouer sur l’aspect managérial chez les jeunes entrepreneurs qui sont, sur un autre plan, exposés aux lenteurs bureaucratiques.

  55. Comme l’a dit Yaya Niafo, qui a demandé aux industriels de saisir cette opportunité, tout en respectant les aspects normatifs. Les produits fabriqués au Mali doivent se conformer aux normes internationales. Pour valoriser et faciliter la consommation des produits maliens, l’Amanorm a même lancé la marque nationale de conformité aux normes pour authentifier la qualité de nos produits. Cette marque dispose d’un logo que l’Amanorm met à la disposition des entreprises. Qui peuvent ainsi gagner en compétitivité et préserver l’environnement. Mieux, la marque permet aussi de rassurer les consommateurs sur les produits « made in Mali ».

  56. Tout à fait l’espoir est permis, rien n’est perdu, si nous avons perdu la bataille, la guerre non. On trois années pour que tout soit résolu. Cependant, pour l’instant nous pouvons préserver l’accord de paix et de réconciliation, en évitant bien sur tout affrontement avec les groupes armés pour le moment. Il y a mille façon de détruire un ennemi et voilà un exemple que le président IBK vient de poser à travers le retrait du Gatia dans la zone d’Anéfis. Comprenez juste que Mandé Massa n’a pas dit son dernier mot.

  57. Comme il a dit toujours que « LE MALI D’ABORD, LE BONHEUR DE MALIENS », avant son arrivé au pouvoir, le Mali était sur le point de faiblesse, le Mali était dans une situation plus pire due au régime précédent, c’est-à-dire sous ATT le pays vivait dans une situation plus difficile, mais avec l’arrivé d’IBK, le pays marche maintenant à deux pieds sur tous les plans.

  58. l’ouverture des marchés exigent de nos entreprises la qualité et la compétitivité. Toutefois ce marché de 300 millions de consommateurs ne nous sera pas accessible si nous ne parvenons pas à être leaders sur notre propre marché de 17 millions de consommateurs.

  59. La filière coton, avec une production de 580 000 tonnes en 2004, représente 15 % du Produit intérieur brut (PIB). Environ trois millions de maliens vivent directement ou indirectement de la culture du coton8.
    Le coton est, après l’or, la deuxième source d’exportation avec 187 milliards de francs CFA en 20049. Pour la campagne 2005/2006, la production de coton graine est estimé à 600 100 tonnes contre 585 000 pour la campagne précédente7. Premier pays africain producteur de coton, le Mali est vulnérable aux fluctuations des cours de l’« or blanc » et est menacé par les subventions européenne mais surtout américaine accordés aux producteurs occidentaux qui rend le coton africain non compétitif10. Le Mali, avec d’autres pays comme le Burkina Faso ou le Tchad demandent la suppression de ces subventions. La production et la transformation du Coton sont organisées par la Compagnie malienne pour le développement du textile (CMDT).

  60. Oui, l’espoir est permis, parce que le Mali s’acquitte ses dettes intérieures pour relancer l’économie, avec le payement aux banques et aux particuliers de la somme de 500 milliards de nos francs en l’espace de six mois.

  61. Le recensement industriel réalisé en 2006 dénombre 406 entreprises industrielles dont 343 en activité. La plupart, 70 %, sont installées dans le district de Bamako. Les entreprises industrielles employaient 17593 personnes en 2006, contre 13127 personnes en 2002, soit une augmentation de 34 % en quatre ans. En 2005, ces entreprises ont réalisé un chiffre d’affaires de 897 milliards de francs CFA36.
    Il s’agit essentiellement d’industrie de transformation de la production agricole : biscuiterie, pâtes alimentaires, confiseries, conserverie, brasserie, boulangerie, huilerie, sucrerie, laiterie, usine textile et de tabac.

  62. L’économie du Mali est avant tout agricole. 80 % de la population active travaille dans ce secteur qui représentait 44 % du PIB en 1995 (16 % pour le secteur secondaire et 40 % pour le secteur tertiaire). Mais la production agricole est faible, souffrant à la fois d’un manque d’infrastructure en milieu rural, de rendements faibles trop liés aux variations climatiques. En dehors de la région de Sikasso, l’autosuffisance alimentaire n’est pas assurée.
    La superficie des terres effectivement cultivées est estimée à 3 millions d’hectares soit 10 % des terres arables. Le potentiel des terres irriguées est estimé à environ 1 million d’hectares. Seul 130 000 ha sont actuellement complètement exploité5.
    L’agriculture est pratiquée par 630 000 petites exploitations familiales. La superficie moyenne est de 4,5 ha mais 40 % des exploitations ont une superficie inférieure à 3 Ha5.

  63. que le Mali est un pays où le climat des affaires est propice, un pays prisé par les investisseurs, qui se bousculent au portillon. Le Représentant de la Banque Mondiale pour les opérations au Mali vient de confirmer que les clignotants à Bamako sont au vert et son institution encourage les porteurs de projets à venir au Mali.

  64. La valorisation de l’industrie malienne ouvrira plusieurs horizon à l’économie malienne. Le chômage sera combattu, la population malienne verra le pays sortie de cette crise multidimensionnelle. Je pense que nous devrions soutenir le président sur sa nouvelle perspective. 😛 😛 😛 😛

  65. Bien avant aujourd’hui nous sommes conscient que le président IBK apporte de la bonne volonté à ce pays et envers son développement.

  66. Oui, l’espoir est permis, parce que le Mali bouge. Malgré les difficultés conjoncturelles, le Mali progresse, avec un taux de croissance de 7,2%, contre 1,7% au moment où IBK venait aux affaires, en septembre 2013. Qui dit mieux!

  67. « Nous avons l’ambition d’offrir de l’emploi aux jeunes », a insisté IBK.
    Vive IBK et son engagement envers le Mali.

  68. Qu’on se dit la vérité, il ne faut pas tout mettre sous le dos de nos dirigeants. Certes, l’Etat peut faire de son mieux, mais nous savons tous qu’ils ne peuvent pas procurer du travail à tous ces jeunes. Donc, que la jeunesse se conscientise et apprenne à survoler avec ces propres créativités.

  69. Le monde doit être à coté du Président IBK pour bâtir « Le Mali rayonnant, le Mali créateur de richesses et de valeurs au service de tous ses fils ». « Oui, Excellence, Monsieur le Président de la République, l’Organisation Professionnelle des Industriels, les syndicats des boulangers, les maîtres imprimeurs et les huiliers s’engagent avec vous pour honorer votre engagement de créer deux cent mille emplois durables au profit notamment des femmes et des jeunes d’ici 2018,

  70. L’amour qu’à notre président au Mali est un amour immense, malheureusement que ce président IBK est venu trouver le pays dans des situations compliquer. Sinon IBK est vraiment l’homme qui aurait réussir d’apporter des grands changements dans ce pays.
    Nous resterons toujours avec IBK et nous sommes conscient qu’après que le Mali retrouve son calme rien ne ferra stoppé le développement de ce pays.
    Merci AU Président ibk.

  71. Pour faire face au défi de l’emploi, le Président de la République plaide pour un secteur privé dynamique et compétitif. Le Gouvernement, a-t-il fait savoir, va s’atteler à la création des conditions pouvant permettre l’émergence des unités industrielles.

  72. Il faut que le gouvernement subventionne certains produits et matières pour que l’industrialisation de notre pays soit facile, comme on le souhaite.

  73. Sans l’énergie, a souligné le Président IBK, il est impossible d’amorcer un développement industriel. Le chef de l’Etat a évoqué les efforts en cours pour résorber ce déficit énergétique en mettant un accent particulier sur les projets d’interconnexion des réseaux énergétiques avec certains pays.

  74. C’est un secteur qui demande beaucoup d’investissements sur plusieurs plans.
    Il faut mettre un point d’honneurs sur l’électricité qui est la base de l’industrie et nous savons que le président compte résoudre ce problème.

  75. le président de la république est un homme de parole, un vrai patriote, tous les promesses tenus par IBK sont entrain de réalisé, le premier objectif de président de la république était de maintenir la paix et la sécurité dans le pays.
    Le président IBK tiendra sa parole et donnera du boulot au jeune

  76. La jeunesse lui fait entièrement confiance car c’est un homme qui tient à ses promesses.
    Et avec lui, c’est tout le Mali qui gagne

  77. L’arachide a permis l’implantation de diverses industries. Ce sont les huileries et savonneries qui occupent la première place parmi les activités industrielles maliennes. Leur développement s’est considérablement accru depuis la création de la première usine en 1920. Leur capacité a permis de produire durant la campagne 1957-1958 96 000 tonnes d’huile brute, 34000 tonnes d’huile raffinée et 156 000 tonnes de tourteaux. La majeure partie de cette production a été exportée et a rapporté 25 milliards de francs C.F.A., la production de 1959 a atteint approximativement 29 milliards.

  78. le secteur industriel est le seul secteur qui peut résorber un grand nombre de jeunes chômeurs et nous saluons l’initiative du président

  79. Le président de la république est conscient des difficultés du secteurs industrielle, il est décidé de sortie le l’industrie de cette crise existentielle. Le président IBK est aussi engagé à sortie l’industrie malienne de cette crise.

  80. IBK est un grand bâtisseur et nul ne doit douter sa réelle volonté de faire du Mali un pays émergent et développé. Nous lui portons notre confiance

  81. IBK a été bien sage de primer sur l’industrie malienne, elle est l’une des piliers de l’économie malienne. L’économie joue un rôle très immense dans la politique de sortie de crise du président IBK.

  82. La jeunesse malienne pourra avoir du travail comme l’avait promis le président de la république. Le chômage au Mali perdra vraiment du poids. La lutte contre le chômage sous le régime d’IBK est en train de prendre de en plus de forme.

  83. Le Mali est un pays dont le potentiel énergétique n’est pas encore connu, mais auquel l’énergie sous ses formes classiques fait momentanément défaut. A cette première difficulté vient s’ajouter celle inhérente à la main-d’œuvre, ce qui amène à poser le problème du lieu d’implantation des industries. Toutefois le traitement des produits agricoles peut donner lieu au développement d’entreprises solides transformant sur place la production agricole.

  84. Toutes mes félicitations au président de la république et toute l’équipe gouvernementale qui était présente à cette cérémonie. Je suis convaincu que le président de la république offrira ce qu’il a promis à la jeunesse, il s’agit de l’emploi. 😀 😀 😆 😆

  85. Les industriels maliens ont besoin de l’aide et de l’accompagnement des autorités, précisément le président de la république et son gouvernement. Les 5000 emplois promis par IBK seront faits s’il s’implique d’avantage dans le domaine de l’industrie. 💡 💡 😆 😆

  86. Le Mali doit s’intéresser de plus en plus au domaine industriel. Pour exploiter les potentiels que nous avons dans ce domaine. Le développement du Mali passera par l’industrie. Il y a peu d’usine au Mali. Même Koutiala qui est la deuxième ville industrielle de notre pays ne compte pas plus d’usines. 👿 👿 💡 💡

  87. Le président IBK a été le seul chef de l’Etat parmi tous les autres à prendre part à la Journée de l’industrialisation de l’Afrique. Cela prouve son attachement à l’industrie. Le mali doit développer son industrie. 😯 😯 😛 😛

  88. Le président de la république, son excellence Ibrahim Boubacar Keïta veut sauver le domaine de l’industrie. Mais pour la faire, les industriels doivent être confiants et accompagner le président. 💡 💡 😳 😳

  89. L’industrialisation du Mali est gênée par l’insuffisance de son infrastructure. Il est certain que l’économie malienne a toujours été orientée vers la spécialisation agricole. Toutefois il ne faut pas perdre de vue que pour le développement économique harmonieux d’un pays les activités rurales et industrielles sont complémentaires, et que ce sont les secondes qui valorisent les premières. D’autre part l’industrie malienne est la plus importante de l’Ouest africain français.

  90. Je fais confiance à Ibrahim Boubacar Keïta pour offrir de l’emploi à la jeunesse malienne. Le domaine de l’industrie peut à lui seul offrir plus d’emploi aux jeunes maliens. C’est ce que le chef de l’Etat a compris. 💡 💡 😆

  91. Les autorités maliennes ont l’ambition d’offrir de l’emploi aux jeunes maliens. Le président de la république a promis 5.000 emplois d’ici 2018. Pour pouvoir arriver à cette fin il doit s’impliqué dans certains domaines comme l’industrie. 😛 😛 😀 😀 😀

  92. Le chef de l’Etat est engagé à offrir de l’emploi aux jeunes maliens. Je suis sans doute convaincu qu’il fera de son mieux pour faire du Mali un pays industrialisé parmi tant d’autres. C’est de cette manière aussi que nous pourrons devenir un pays développé. 💡 💡 😛 😛

  93. Le Mali est un pays pauvre très endetté. Nous avons peu d’industrie chez nous contrairement à certains pays de la sous-région, comme par exemple la Côte d’Ivoire, le Sénégal, j’en passe. Il faut que les autorités fassent en sorte de créer beaucoup d’usines et autres. 💡 💡 😛 😛 😛

  94. Ibrahim Boubacar Keïta a donné sa parole à la jeunesse malienne de l’offrir de l’emploi. Cela fait partie de ses priorités pendant sa gestion des deniers publics. Nous sommes l pour l’accompagner à relever ce défi. 😀 😀 💡 💡

  95. IBK a toujours tenir sa promesse cela ne sera pas la première fois. Il a besoin simplement d’être soutenir par sa population dans tous ses actes. Les maliens doivent former une barre de fer d’acier derrière IBK et son régime, car l’avenir du Mali repose dans les creux de ses mains qui ouvre les portes d’un grand destin. ➡ ➡ ➡

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