Guerre de succession ouverte à la Douane du Mali : De la Direction des Enquêtes au BCI, une odeur pestilentielle.

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Moumouni Dembélé
Moumouni Dembélé, DG Douanes

Des douaniers et non des moindres, se seraient décidés de noyer d’autres douaniers, officiers supérieurs comme eux, et célèbres pour leurs faits d’armes professionnels. Intègres, compétents, travailleurs, rigoureux, assez suffisants pour se retrouver dans des viseurs immondes. Ces officiers gribouilleurs d’images et d’honneur de leurs propres collègues, se positionneraient déjà à  la seule perspective de la toute prochaine vacance à Faladiè. Fallait – il vraiment en arriver là, lorsqu’on se sait balaise et professionnellement apte à glisser à la place du titulaire qui serait perçu comme partant très bientôt?

De sources proches de l’Hôtel des finances, cette guerre qui roulerait aux allures d’une campagne présidentielle, alors que les acteurs et leurs soutiens travaillent à l’ombre, des officiers supérieurs de la Douane du Mali, travailleraient activement à la démolition de l’image de certains de leurs collègues, et les services douaniers qu’ils dirigent. Connus pour leur aptitude professionnelle respective à la succession, ils porteraient ombrages à ceux – là qui, croyant à l’arrivée de leur heure, s’amuseraient à la descente aux caniveaux.

Des attitudes qui ne font pas honneur à l’uniforme et à l’intégrité de l’officier modèle de la Douane du Mali, pas en tout cas, celle dont tous les officiers de la Douane du Mali se prévale. Cette campagne qui s’articule autour du fauteuil directorial, toujours selon nos sources de l’Hôtel des Finances, partiraient de la Direction des Enquêtes au Bureau du Contrôle Interne.

Poursuivant, nos sources estiment que ces hauts cadres dont l’un d’entre eux déjà noté comme étant notoirement incompétent, et arrivé à ce poste par le truchement de relation parentale, serait, avec un collègue malade du cœur et du pouvoir, toujours prompt à se prostituer, cela aux dires de ses très proches, à l’origine de la guerre de succession déclenchée avec en prime, la souillure de l’honneur et la dignité de certains de leurs collègues, juste pour les empêcher de continuer leurs marches vers les cimes du pouvoir du côté de Faladiè. Seulement, faudrait – il les faire croire, que les fauteuils des services des assiettes, quoique très techniques, sont et restent du domaine des politiques, et n’importe quel régime en fait sa chasse gardée. Ces officiers haut perchés aux Enquêtes Douanières et au  Bureau du Contrôle Interne, à en croire nos sources, ont grand intérêt à arrêter car, ils sont connus et pourraient faire les frais de leur immonde et bestiale attaque au  dessous des ceintures de propres collègues.

Entendraient – ils raison ? A suivre très prochainement

 

Sory de Motti

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