Gestion des finances publiques : Le socle de la nouvelle gouvernance

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Communiqué du conseil des ministres du mercredi 14 janvier 2015
Premier conseil des ministres du gouvernement Modibo KEITA

Le budget 2015 confirme les ambitions de relance économique : il divorce d’avec les précédents par son orientation de développement. Instrument de la relance économique, il est soutenu par une politique d’optimisation des finances publiques, notamment avec un accroissement des recettes, l’assainissement  et la rationalisation des dépenses publiques pour créer les conditions d’un rythme de croissance soutenue.

Comme l’a soutenu à plusieurs reprises le ministre de l’Economie et des finances, Mamadou Igor Diarra, le budget de l’exercice 2015 est un budget de relance économique, élaboré «sur la base d’hypothèses macroéconomiques optimistes et il va permettre la mise en œuvre des objectifs et des actions énumérées dans le Programme d’actions gouvernementales 2013-2018 ». C’est pourquoi, voté en décembre 2014, le budget 2015 a fait l’objet d’une loi de finances rectificative afin d’accroître son efficacité et surtout pour prendre en compte de nouvelles exigences de développement, en conformité avec les orientations données par le chef de l’Etat.

C’est ainsi que les recettes ont été portées à 1757, 296 milliards de FCFA contre 1714,532 milliards de FCFA dans le budget initial, soit une augmentation de 42,764 milliards de FCFA. Cette augmentation des recettes de 2,49% se fonde sur une hausse des recettes fiscales nettes de 57,296 milliards de FCFA, soutenue par des mesures d’amélioration du recouvrement des recettes, en plus des appuis budgétaires généraux de 54,955 milliards de FCFA, des appuis sectoriels de 4 milliards de FCFA et des comptes d’affectation spéciale de 11,2 milliards de nos francs.

Mesures énergiques d’accroissement des ressources financières                    

En réalité, pour faire face aux dépenses liées au traitement des situations héritées du passé et aux nouvelles dépenses nées de la crise et des différents accords, le ministère de l’Economie et des finances a pris des mesures énergiques d’accroissement des ressources internes à travers l’élargissement de l’assiette fiscale et le renforcement du contrôle fiscal et douanier.  A cet égard, on peut citer, entre autres : l’institution d’un système déclaratif et d’un taux proportionnel unique de 3% applicable au chiffre d’affaires réalisé par les contribuables relevant de l’impôt synthétique conformément à l’annexe fiscale 2015 (Etat O de la Loi N°2014 – 056 du 26 décembre 2014 portant loi de finances pour l’exercice 2015) ; l’augmentation des taux de l’Impôt Spécial sur Certains Produits (ISCP),  de la Taxe sur les Activités Financières (TAF)  et la Taxe sur l’Accès aux Réseaux de Télécommunications Ouverts au Public (TARTOP) ; l’instauration d’un taux unique pour l’enregistrement des transferts ; la modernisation du système de gestion du contentieux fiscal à travers, notamment, la réduction du délai de traitement des dossiers de réclamation (9 à 4 mois pour la phase administrative).

Bonnes performances au premier semestre                        

Les bonnes performances ont été rapidement au rendez-vous, malgré une révision à la hausse des objectifs. Ainsi, durant le premier semestre 2015, les recettes globales (fiscales et non fiscales) ont atteint 584,874 milliards FCFA au terme du premier semestre, dont 296,3 milliards pour la Direction Générale des Impôts et 224,7 milliards de FCFA pour la Direction Générale des Douanes.

S’agissant spécifiquement des recettes douanières, les recouvrements mensuels, après s’être établis à 29,792 milliards en janvier 2015, ont régulièrement atteint les 40 milliards FCFA à partir d’avril 2015. Ce rythme devrait être maintenu jusqu’à la fin de l’année grâce aux efforts déployés en matière de lutte contre la fraude et de maîtrise des exonérations.

Rétablissement de la confiance des acteurs du marché financier envers le Mali

L’effort de mobilisation de ressources internes fiscales et non fiscales s’est accompagné d’un programme ambitieux de mobilisation des ressources sur le marché financier régional qui  prévoit pour l’année 2015 treize (13) émissions, dont cinq (05) émissions de Bons du Trésor et huit (8) émissions d’Obligations du Trésor pour un montant global de 453 milliards de FCFA.

La mise en œuvre adéquate de ce programme supposait cependant le rétablissement de la confiance des acteurs du marché, notamment les banques, vis-à-vis de la signature de l’Etat. Pour y parvenir, le Ministre s’est donné pour objectif d’apurer la totalité des créances que les banques détenaient sur l’Etat. Ce message a été transmis au cours de rencontres que le Ministère de l’Economie et des Finances a organisées avec les acteurs du secteur bancaire pour solliciter leur accompagnement dans le financement de l’économie et de l’Etat. Ces rencontres furent des cadres d’échanges francs entre les banques et le département de tutelle au cours desquels, le Ministre s’est montré à l’écoute de la corporation pour l’aider à relever certains défis liés au financement de l’économie.

Très bons taux de souscription aux bons du Trésor                                              

L’apurement effectif des créances bancaires sur l’Etat, pour un montant d’environ 100 milliards de F CFA, a permis de renforcer la confiance des banques qui participent, dès lors, efficacement aux émissions de titres publics mais aussi d’insuffler un nouveau dynamisme à l’économie. En effet, les taux de souscription, les taux d’intérêt des bons et les prix des obligations se sont nettement améliorés. Ainsi, le taux de couverture minimum est ressorti à 151% et quatre émissions ont été souscrites à plus de 200%, la toute dernière l’ayant même été à 320% environ. Le taux moyen pondéré des bons a baissé en passant de 5,27% en mars à 4,7436% en juin 2015.

279,8 milliards de FCFA levés dans de bonnes conditions

Au cours du premier semestre, le Trésor a levé sur le marché financier régional 279,8 milliards de FCFA dans de bonnes conditions de taux et de prix et remboursé 225,439 milliards de FCFA de tombées d’échéance. Il en résulte des émissions nettes de 54,36 milliards de FCFA. Pour le reste de l’année, il est attendu 195 milliards de FCFA d’émissions de bons et d’obligations du Trésor contre un remboursement de 85,62 milliards de FCFA, soit des émissions nettes de 109,38 milliards de FCFA.

152,5 milliards de F CFA d’appui budgétaire

Pour faire face aux immenses besoins du pays, la mobilisation des ressources internes doit s’accompagner d’un effort intense de mobilisation de financements extérieurs, à la fois sous forme de dons et de prêts concessionnels. Au titre des appuis budgétaires, un montant de 67,1 milliards de F CFA a déjà été mobilisé au cours du premier semestre et des actions sont en cours pour mobiliser 152,5 milliards de F CFA d’ici la fin de l’année.

Accords de financement de projets dans des secteurs vitaux de l’économie

Par ailleurs, de nombreux accords de financements ont été signés, tout au long du semestre, avec des bailleurs importants comme la Banque Mondiale, la Banque Islamique de Développement, la Banque Africaine de Développement, la Banque Ouest Africaine de Développement pour la mise en œuvre de projets importants dans les secteurs de l‘énergie, de l’eau, du développement rural, du désenclavement, de l’enseignement. Il s’agit notamment des projets suivants : Projet d’autonomisation des femmes et dividende démographique au Sahel : signé le 3 avril 2015 avec l’Association Internationale de Développement (IDA), pour un montant de 22. 216.309.000 FCFA ; Programme de Développement de l’Irrigation dans le Bassin du Bani et à Sélingué (PDI-BS) : signé le 9 mars 2015 avec la BOAD, pour un montant de 10.000.000.000 FCFA (financement partiel) ; Programme d’aménagement des infrastructures routières structurantes : signé le 9 mars 2015 avec la BOAD, pour un montant de 20.000.000.000 FCFA ; Projet d’appui à l’enseignement supérieur :, signé le 30 mai 2015 avec l’IDA pour un montant de 19.265.065.000 FCFA ; Projet d’appui à l’éducation bilingue de base :, signé le 11 juin 2015 avec la Banque Islamique de Développement (BID) pour un montant de 5.805.400.000 FCFA ; Projet électrification rurale du système hydride dans 30 villages : signé le 11 juin 2015 avec la Fonds d’Abu Dhabi pour le Développement, pour un montant de 5.223.006.000 FCFA ; Projet Régional d’appui au Pastoralisme au Sahel : signé le 19 juin 2015 avec l’IDA pour un montant de 26.807.133.000 FCFA.

Coup de pouce à la production énergétique

En outre, pour donner un coup e pouce à la production énergétique, notamment électrique, deux conventions de concession ont été signées : Convention concession du projet de réalisation de la Centrale hydroélectrique de 42 MW à KENIE pour un montant de 72 milliards FCFA ; Convention de Concession relative au Développement d’un projet d’une Centrale Electrique photovoltaïque à Ségou pour un montant de 33,2 milliards de F CFA.

Le secteur des PME/PMI a également été fortement soutenu à travers la mise à disposition de lignes de crédit pour leur financement, notamment par la BOAD.

De nouveaux partenariats à développer avec le secteur financier local

En plus des financements extérieurs, le Ministre a favorisé un partenariat efficace entre l’Etat et le secteur financier local pour permettre la mise en place de schémas de financements intéressants en faveur de secteurs clés de l’économie comme le développement rural.

Equiper le monde rural en tracteurs

Un programme d’équipements du monde paysan en tracteurs a ainsi été financé à travers une coopération entre l’Etat et certaines banques et institutions de microfinance, avec la participation du Fonds de Garantie du secteur Privé. Cet ambitieux programme vise à faire passer le taux d’équipement des exploitations agricoles de 40 à 60%. Le financement est assuré par une subvention de l’Etat à hauteur de 50%, un crédit bancaire accordé par le pool financier aux bénéficiaires à hauteur de 30% et l’apport personnel du bénéficiaire à hauteur de 20%.

Assainissement et rationalisation de la chaîne des dépenses publiques                   

Après le vote par l’Assemblée nationale de la Loi de finances rectificative, les dépenses du budget d’Etat 2015 sont passées de 1785, 452 milliards de FCFA à 1881,168 milliards de FCFA dans le budget initial, soit une augmentation nette de 95,7 milliards de FCFA et un taux de progression de 5,36%. En même temps, le niveau du financement extérieur du Budget spécial d’investissement (BSI) a baissé de 84,747 milliards de FCFA.

Le budget 2015 est porteur de germes de la relance économique car il fonde ses espoirs sur des indicateurs économiques favorables induits par une bonne pluviométrie annonciatrice de bonnes performances agricoles à l’image de la Cmdt qui prévoit une production record de 650 000 tonnes de coton graine et sur le réveil du secteur des BTP (quand le secteur BTP va, tout va, a-t-on coutume de dire).

En 2015, la croissance économique réelle du Mali devrait atteindre au moins 5%, tandis que l’inflation devrait se situer autour de 2,5% contre 2,9% en 2014. Cela signifie que l’inflation devrait se figer bien en dessous de la norme communautaire (Uemoa) qui se situe à 3%. En Afrique subsaharienne, la croissance de l’économie est estimée en 2014 à 5,0% contre 5,2% en 2013. En 2015, elle est projetée en baisse à 4,5% à cause de la baisse des prix des produits de base et de l’épidémie de maladie à virus Ebola dans certains pays.

Une nouvelle politique de gestion des dépenses                                                  

L’originalité de ce budget d’Etat 2015 réside aussi dans la politique de dépenses. Non seulement les dépenses sont orientées vers les secteurs-clés représentant des préoccupations prioritaires des populations, mais aussi et surtout, le ministère de l’Economie et des finances s’est engagé dans une logique d’assainissement et de rationalisation des dépenses publiques. Une initiative traduite en disposant légale interdisant à tout fonctionnaire de l’Etat d’engager des dépenses en dépassement des crédits ouverts ou même d’exécuter des dépenses sans engagement préalable. Tout contrevenant sera pris pour personnellement et pécuniairement responsable de son acte et par conséquent réprimé aux plans administratif et judiciaire.

Une réforme courageuse et pertinente car une chose est de trouver des ressources financières, mais une autre est d’assurer leur utilisation rationnelle pour soutenir l’activité économique nationale. Cet effort exceptionnel d’assainissement de la situation de trésorerie a permis de relancer l’activité économique qui était totalement grippée.

Stock d’instances de paiement entièrement apuré                                                          

En effet, pour assainir la situation de trésorerie et donner un nouveau souffle à l’activité économique, le ministre de l’Economie a posé comme acte prioritaire le dégonflement du stock d’instances de paiements. A cet effet, le stock d’instances de paiements au titre de l’année 2014, qui s’élevait à 108,5 milliards de F CFA, a été entièrement apuré. En ce qui concerne l’année 2015, un montant de 234,1 milliards a été payé, seulement moins de 5,0 milliards restaient à payer à la fin du mois de juillet 2015.

Cet effet a été amplifié par la poursuite de l’apurement de la dette-fournisseurs antérieure à 2014 auditée lors de la première phase et évaluée à 20 milliards de F CFA. La situation des paiements effectués à la date d’aujourd’hui au titre de cette dette fait ressortir un montant total payé de 16,6 milliards de F CFA. Le reliquat des 3,4 milliards de FCFA est en cours de traitement dans le cadre de l’établissement des protocoles et des homologations.

Par ailleurs, un montant de  27,5 milliards a été inscrit dans le  budget rectifié 2015 pour faire face aux charges de la 2ième phase de cet audit. Ce montant sera payé aux fournisseurs de l’Etat d’ici la fin de l’année afin de favoriser davantage la relance de l’économie.

Sensibilisation des DAF et DFM sur les valeurs et normes qui sous-tendent les nouvelles règles                                              

Pour que la bonne gouvernance devienne une réalité au niveau des services publics, il faut que les agents et cadres chargés de la gestion des finances publiques s’approprient les valeurs et normes qui sous-tendent les nouvelles règles. Ce qui a certainement motivé la réunion de sensibilisation du vendredi 6 mars 2015 dans la salle de conférence du Ministère de l’Economie et des finances et au cours de laquelle, le Ministre Mamadou Igor Diarra a tenu à rappeler aux directeurs administratifs et financiers (DAF) et aux directeurs des finances et du matériel (DFM) le respect des principes de la bonne gestion des finances publiques.

Les réformes entreprises par le Gouvernement en matière de gouvernance économique et financière ont commencé à produire leurs fruits. Ce qui est reconnu et salué par les institutions financières internationales et tous les partenaires techniques et financiers.

Amadou Bamba NIANG

 

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103 COMMENTAIRES

  1. Le ministre Igore est un vrai économiste, depuis qu’il est là, il ne cesse de nous faire part des bons résultats.

  2. Pendant que le peuple malien vit les périodes les plus critiques de son histoire, le Ministre Igor Diarra ne cesse de nous impressionné par le résultat de l’économie malienne. A reconnaitre que c’est une première au Mali, depuis l’avènement de l’indépendance jusqu’à aujourd’hui. De ce fait, Le Ministre Diarra et son équipe sont à féliciter et encourager. Bravo !!!

  3. C’est une première au Mali, la hausse de l’économie malienne a atteint les attentes tant attendu par le peuple malien. Espérons que d’ici trois ans tous les attentes des maliens soient au bout du nez.

  4. De la direction générale des douanes au Trésor public en passant PMU-Mali et bien d’autres services centraux, le Ministre Igor a su relever les défis qui s’opposent quant à la relance de l’économie malienne. Les hommes du ministre sont difficilement contestables à leurs postes. Lieu de rappeler que seul le travail paye.

  5. De toute évidence les critères fondamentaux du choix des hommes aux postes et fonctions de responsabilité semblent davantage guidés par l’objectivité, la compétence, le mérite et la probité morale et intellectuelle ne cesse de valoir. Big up à vous Igor.

  6. A l’heure où nous sommes, le Mali a véritablement besoin d’une économie convenable. Sa diplomatie et sa s’est avéré porteur. Merci à vous Mr le Ministre ainsi qu’à votre équipe. La croissance de l’économie répond favorablement au développement du pays.

  7. Depuis son entrée en fonction, rarement les choix de l’homme aux postes stratégiques à la tête des différentes structures de son département ont fait l’objet bravoure et de diplomatie. Le travail et la rigueur sont au rendez-vous. Raison pour laquelle la relance économique a connu une hausse.

  8. Voilà une preuve pour ceux qui pensent que le bien de l’Etat est en train d’être traité n’importe quoi.
    Sous IBK, le pays connaîtra des bons résultats en matière de bonne gestion sur tout le plan.
    L’économie est bien sous la main d’Igore Diarra…

  9. Igor est un patriote et un homme intègre qu’il faut aux maliens en cette période de crise. Il est parvenu à un probable relance économique. Il est à encourager et à féliciter. 😈 😈 😈 🙄 🙄

  10. Ibrahim Boubacar Keïta a fait un bon choix en nommant Mamadou Igor Diarra au ministère de l’économie. Le monsieur n’a rien fait de grave depuis son avènement au gouvernement. Il est d’ailleurs félicité par tout le peuple. 🙄 🙄 😈 😈 😈

  11. Grâce à la bonne gestion et à la confiance Igore apporte toujours des bon résultats sur l’Economie malienne.

  12. Depuis l’arrivée d’Igor au poste de ministre de l’économie et des finances de l’Etat, l’économie malienne n’a connu que du progrès dans tous les domaines concernés par son département. 💡 💡 💡

  13. Le Ministre de l’économie et des finances de l’Etat, Mamadou Igor Diarra, est à saluer du travail qu’il a fait pour avoir ce budget. C’est grâce à un déploiement d’efforts qu’il est parvenu à avoir un tel budget. C’est une chose à encourager et à accompagner. 😛 😛 😛

  14. Les mesures énergiques prises par le ministre Igor sont toutes bonnes. Raison pour laquelle, le budget de 2015 après plusieurs lois de financements rectificatives, conduira le pays vers un développement. ➡ ➡ ➡

  15. Le ministre Igore Diarra et son équipe sont à féliciter pour leurs exploit, depuis son qu’il est ministre de l’Economie et de Finance, il ne cesse de mener à bien ce département stratégique.

  16. Le budget de 2015 a fait plus de succès et continuera à le faire. C’est le ministre de l’économie et des finances de l’Etat qui s’est brouillé jours et nuits pour avoir un tel résultat. 🙁 🙁 🙁 🙁

  17. Il y a eu une augmentation de 42,764 milliards FCFA. Donc, de ce fait, le budget de 2015 sera tout à fait une occasion pour la relance de l’économie. Ce budget pourra nous permettre de réaliser certains projets. 😀 😀 😀

  18. Vu les étapes qu’il a franchi, le budget de 2015 sera sans doute la solution pour que l’économie malienne soit la solution à tous les maux qui sévissent notre Etat. Je pense aussi que le gouvernement en place ne ménage aucun effort pour satisfaire le peuple.

  19. Je pense que le gouvernement est à féliciter, en particulier le ministre de l’Economie et des Finances Mamadou Igor Diarra. Grâce à sa compétence le régime d’IBK montre aujourd’hui aux détracteurs, aux malveillants que la gouvernance du régime d’IBK est à la hauteur, car l’économie devient de plus en plus présente.

  20. Les chiffres qu’a donné le ministre de l’économie et des finances de l’Etat, Mamadou Igor Diarra sont sans doute favorable à une vraie relance économique après plus de deux ans de crise politico-sécuritaire qui n’a, d’ailleurs, jusqu’à présent connu une fin. On doit tous soutenir ce budget et faire en sorte qu’il soit à la hauteur des attentes du peuple. 😛 😛 😛 😛

  21. Les maliens peuvent songer un éventuel développement. Car le ministre de l’économie a confirmé le budget de 2015 comme une relance économique qui va permettre la mise en œuvre des objectifs et des actions énumérées dans le Programme d’actions gouvernementales 2013-2018. C’est déjà un bon bilan pour la gestion d’IBK.

  22. La compétence, la responsabilité, le sens de patriotisme, la bonne foi et la sureté du ministre de l’Economie et des Finances Mamadou Igor Diarra est salutaire, remarquable, crédible. Le Mali a besoin des leaders comme lui, il mérite vraiment une place et une considération respectable dans le gouvernement d’IBK.

  23. Le budget de 2015 confirme les ambitions de relances économiques pour notre pays. Le ministre de l’économie et des finances de l’Etat, Mamadou Igor Diarra a fait la part des choses aux peuples. Selon ses dires, il me semble que le budget national atteindra mille milliards en 2016. Le Mali n’avait jamais fait une telle réalisation. On peut d’ores et déjà affirmer une relance économique comme le fait le journaliste dans cet article. 😛 😛 😛 😛

  24. A vrai dire le Ministre Mamadou Igor Diarra est un homme stratège. Depuis sa nomination à la tête du département de l’économie, la hausse est au rendez-vous. Le Mali a eu la chance d’avoir un homme comme lui dans la gestion des finances.

  25. L’économie malienne est en train de prendre son destin de ses propres mains. Malgré, la crise multidimensionnelle et existentielle, l’économie du Mali est en train de levé la tête haute.

  26. Si tous nos ministres étaient comme le ministre de l’économie, le Mali allait avancer rapidement

  27. IBK est un homme de parole, il l’a démontré plusieurs fois par des œuvres réalisés. Il n’y a pas plus aveugle que celui qui refuse de voir sinon le pays gouverner par IBK avance comme sur des roulettes. Les maliens sont ravis de la politique de gouvernance d’IBK.

  28. Un homme qui depuis son accès au ministère de l’Economie et de Gestion n’arrête pas de faire des ingressions. Igore est celui qu’il faut pour la gestion.

  29. Tous les maliens doivent soutenir la bonne gouvernance du président de la république et en particulier le Ministre de l’économie et des finances Mahamadou I Diarra. Ce sont des acteurs ou des leaders qui aspirent à la sortie de crise.

  30. La gouvernance d’IBK est le meilleur car en si peu de temps, il a pu relever le défi. L’économie malienne étape par étape est en train de grimper les échelles.

  31. Arrivée à la tête de la magistrature suprême, IBK a constaté que les caisses de l’Etat, l’économie tout a été pillé. IBK dans sa détermination, son n’expérience il arrive relever le défi.

  32. L’économie malienne est en train de prendre de l’échelle. Merci à toutes les équipes gouvernementales.

  33. VIVE LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE
    VIVE LA PAIX ET LA RECONCILIATION
    VIVE LE GOUVERNEMENT
    VIVE LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE DU PAYS.

  34. La gouvernance d’IBK est irréprochable et incritiquable, car il fait tout pour le bonheur des Maliens, l’exemple est devant nous actuellement, IGOR nos montre un acte de patriotisme, cela trouve que le gouvernement d’IBK est fait tout pour le bonheur des Maliens.

  35. Je pense que l’économie malienne quoi qu’on dise est en train de sortie de l’ombre, les résultats ne m’en diront pas le contraire. Depuis quel temps c’est-à-dire depuis la venue d’IBK au pouvoir et depuis la nomination du ministre Mahamadou Igor Diarra l’économie malienne est entre de bonne main.

  36. La gestion actuelle du budget de l’Etat est actuellement efficace, compte tenu de son résultat, vraiment, le ministre MAMADOUY IGOR est a salué c’est grâce à lui que le font public Malien est devenu incontournable.

  37. Les différents gouvernements successifs ont eu raison de faire confiance à I. DIARRA, le résultat montre que c’est homme capable, un homme qui a l’amour de son pays.

  38. En effet, depuis son entrée en fonction, rarement les choix de l’homme aux postes stratégiques à la tête des différentes structures de son département ont fait l’objet de réserves ou de contestations dans l’opinion.
    Se démarquant de pratiques sujettes à caution ayant cours dans beaucoup d’autres départements, au ministère de l’Economie et des Finances, les critères fondamentaux du choix des hommes aux postes et fonctions de responsabilité semblent davantage guidés par l’objectivité, la compétence, le mérite et la probité morale et intellectuelle.

  39. Nous soutenons le régime actuel, car tous les Maliens sont fiers de du président de la république, car il est la solution à nos problèmes, le médicament à notre maladie, depuis qu’il est venu au pouvoir l’économie a pris un élan efficace.

  40. Merci à IBK et à ces équipes pour le changement qu’ils sont en train de mener dans notre pays.

  41. Le Mali actuel a besoin des dirigeants comme MAMADOU IGOR DIARRA, vraiment monsieur le ministre, on vous félicite énormément et nous vous soutenons jusqu’au dernier degré, car vous êtes en train de faire un acte patriotique.

  42. Soyons optimistes et croyons toujours à notre gouvernement 😀 😀 😀 Tout ce que les médias spéculent sont des mensonges et des diffamations. Trop parler c’est la faiblesse 😀 😀 😀 Où est le troupeau d’âne qui dénonce chaque jour la corruption et l’impunité ❓ ❓ ❓ J’attends votre réactions par rapport à ces données du ministre IGOR 😀 😀 😀 pas critique négative 😀 je veux des preuves à l’appui. IGOR nous sommes fiers de vous 😀 😀 😀

  43. Je ne comprend rien dans ces énoncés, mais à travers les explications, je vois que l’économie du Mali se relève du bon côté. 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀

  44. Vivement une lutte implacable, mais sans que cela ne tourne à une chasse aux sorcières. Il ne faut pas non plus faire de la lutte contre la corruption une arme fatale d’élimination ou de dissuasion d’adversaires politiques.

  45. De toutes les façons nous encourageons le ministre IGOR DIARRA, pour tous ceux qu’il fait pour un développement économique du pays.

  46. La stratégie Igore pour la gestion de l’économie malienne est le meilleur. Igore ne cesse de faire des progrès depuis son rentrée au ministère de de Gestion.

  47. Vraiment on ne peut que remercier IBK pour ce qu’il est en train de faire pour le Mali. Grace à lui le Mali est en train d’évoluer sur le plan financière.

  48. Nous sommes tout à fait convaincus que le président de la république fait tout pour le développement économique du pays, tous les Maliens sont fiers de lui.

  49. Il est était vraiment temps que la gestion des finances publiques change. Avec l’arrivé d’IBK on sent la progression sur tous les points.

  50. Depuis l’arrive d’IBK au pouvoir le budget du pays est devenu extraordinaire, l’économie du Mali est sur le point de prendre le relai, en deux ans le budget du pays est augmenté et il prit un élan efficace, cela montre le président de la république et le ministre charge du ministère de l’économie et des finances sont en train de réaliser le rêve des Maliens.

  51. « Je connais le ministre Igor Diarra pour avoir travaillé avec lui depuis plus de vingt ans, lorsque j’occupais le poste de chef d’exploitation à la BNDA et lui directeur d’exploitation à la BDM » a t-il expliqué. Moussa Alassane Diallo d’ajouter que Mamadou Igor Diarra est un homme de très grande expérience, qui a une expertise avérée en matière d’activité bancaire. C’est donc à la fois une opportunité pour les banques que pour le gouvernement de profiter de son talent de banquier pour engranger de bons résultats sur le front économique.

  52. Contre toute attente, les chiffres énumérés ici montrent effectivement que le Mali est sur de bons rails vers le développement. Mais les détracteurs font tout et tout pour dénigrer les actes posées par le gouvernement. Avec ce rythme, le Mali sera tôt ou tard un pays de merveille

  53. Ce jugement positif du PDG de la Banque nationale de développement agricole (BNDA) en faveur du ministre de l’Economie et des Finances, n’est pas une flatterie de circonstance. Il est partagé par beaucoup d’acteurs économiques, notamment le directeur général de la Société de gestion et d’intermédiation, Mamadou Bagayoko. Selon lui, l’économie malienne commence à respirer depuis l’apurement d’une masse importante de sa dette intérieure, soit plus de 200 milliards de Fcfa de liquidité, injectés dans le circuit financier. Cette action du banquier en chef a permis à notre économie d’avoir du souffle, qui se ressent sur le regain de dynamisme dans les activités économiques, qui a généré au premier trimestre 6065 emplois créés dans le secteur formel dont 78,24% occupés par des hommes et 21,76% par des femmes, selon le ministère de l’Emploi de la Formation Professionnelle, de la Jeunesse et de la Construction Citoyenne. La même source d’ajouter que parmi les emplois créés, 5916 postes sont occupés par des Maliens (soit 97,54%) contre seulement 149 occupés par des expatriés (soit 2,46%).
    VIVE IBK
    VIVE IGOR

  54. On ne peut pas plaire à tout le monde, donc quoi qu’on fasse 😀 😀 on trouvera quelqu’un qui dénoncera quelque chose contre nous. Mais je pense qu’avec ces données le régime d’IBK est sans reproche et au contraire à féliciter.

  55. Le Mali a besoin des gens comme le ministre Igore Diarra qui apporte des bons résultats.
    Le pays connait des bons chiffres avec ce ministre charmant.

  56. Le connaissant si travailleur et laborieux, IBK doit se débarrasser de tous ce qui essayent de ralentir son rythme de travail. Il doit tenir loin de sa gouvernance, tous ce qui cherche à le nuire.

  57. Si IBK contacte voit qu’un ministre ne se montre pas à la hauteur, il est bien normal de le remplacer. On ne doit pas fermer les yeux et continuer dans la médiocrité pour la bonne marche du travail.

  58. Certains traitres ont filtré le gouvernement pour nuire IBK. IBK doit se débarrassé de tous ces traitres, et qu’il les traduise en justice pour s’expliquer.

  59. Toutes ces données doivent nous prouver que la corruption qui est chaque jour le mot d’ordre des détracteurs d’IBK est fausse. Parce qu’avec la corruption tant dénoncée nous ne pourrions pas faire tous ces chiffres de progrès. Merci et du courage monsieur le ministre de la finance.

  60. IBK est irréprochable dans son travail. Il doit juste faire un nettoyage autour de lui. Il doit éloigner de son pouvoir tous les traitres et les incapables.

  61. Le Ministre Igore Diarra à une très bonne politique de gestion sur l’économie malienne.
    Bravo, Un pays sans une bonne économie est un arbre sans fruit. Le Mali est un pays qui prospère.

  62. S’il y des individus qui veulent freiner le rythme de travail très efficace d’IBK, qu’il s’en débarrasse, nous savons qu’il travaille dans la transparence.

  63. on doit cesser de faire semblant de lutter contre la corruption et la délinquance économique et financière, pour déclarer réellement une guerre sans merci contre ces fléaux. 😛 😆 😉 💡

  64. C’est le juste besoin du Mali, la relance de l’économie. Quand l’économie nationale va bien et que les recettes perçues sont bien reparties, le PIB augmente sur papier et aussi cela se ressentira dans le gagne-pain de chaque malien. Beau travail, monsieur Diarra.

  65. Nous avons confiance en lui, et savons qu’il ne prendra que des décisions qui visent le bonheur des maliens. Il affligera la sanction à tous les fautifs.

  66. IBK doit faire un sérieux balayage autour de lui, qu’il soit impitoyable comme il l’a su bien dit. Qu’il éloigne de son pouvoir tous les faux amis et les ennemis qui cherche à le faire plonger.

  67. Les auteurs des actes ignobles répondront de leurs actes, le MANDE MASSA a bien dit qu’il sera désormais impitoyable, donc prenez garde à vous le traitres.

  68. Toutes les chances sont de notre côté si seulement si on se donne le courage de soutenir l’action gouvernementale et dans l’accompagnement des autorités. La solution se trouve seulement dans l’union et l’entente.

  69. IBK ne travaille jamais avec des traitres. Prenez le cas de Boubeye Maiga comme exemple. Il affligera la sanction nécessaire à ceux qui l’auront mérité.

  70. Rien que du progrès, toute mes félicitation à Mr. le ministre de l’Economie et des finances, Mamadou Igor Diarra.

  71. IBK est venu pour mettre fin à la corruption et éradiquer toute sorte d’impunité. Qu’on soit Ministre ou non, quand on faute, on doit punir. Nul n’est au-dessus de la loi. IBK a bel et bien dit qu’il sera désormais impitoyable. Si IBK contacte qu’un ministre ne remplit pas convenablement sa mission, il est en plein droit de le remplacer.

  72. Certains se plaisent à dire que la corruption existe sous tous les cieux, même aux Etats-Unis, censés être un modèle de bonne gouvernance économique. Oubliant de signaler, au passage, que là-bas c’est un épiphénomène, une exception qui, si elle est avérée, est punie avec la dernière rigueur.

  73. C’est sûr et certain que si le Mali continue comme ça, rien ne va nous empêcher de rentrer dans les meilleures économies qui avancent dans l’Afrique de l’Ouest. Mais il faudra reconnaitre que cela ne se fera pas sans effort physique, moral et humanitaire.

  74. Je suis émerveillé par un ministre travailleur et expérimenté comme Igor. Si tous les ministres pouvaient s’inspirer de son cas notre pays sortirait de son coma sécuritaire, alimentaire, crise, développement social.

  75. A ce rythme l’effort du gouvernement déployé dans le domaine de l’économie ne restera pas vain. Tout porte à croire que d’ici la fin du quinquennat de son Excellence Ibrahim Boubacar Keita. Les attentes du peuple malien aboutiront avec un succès parfait.

  76. Ceci montre que les maliens doivent espérer encore tout en sachant que le régime d’ibk ne fait que commencer et que le meilleur est à venir. Vraiment moi-même je suis content du travail de ce courageux ministre de l’économie et des finances.

  77. Le solde de la nouvelle gouvernance c’est la réussite et l’exploit. Le ministre de l’économie a fait un travail remarquable

  78. Oui, l’espoir est permis, 😀 😀 😀 parce que le Mali bouge. Malgré les difficultés conjoncturelles, 😀 😀 😀 le Mali progresse, avec un taux de croissance de 7,2%, contre 1,7% au moment 😀 😀 😀 où IBK venait aux affaires, en septembre 2013. Qui dit mieux!

  79. L’économie bat son plein record avec le ministre de l’Economie et des finances, Mamadou Igor Diarra.

    • Oui, l’espoir est permis, parce que le Mali est un pays où le climat des affaires est propice, un pays prisé par les investisseurs, qui se bousculent au portillon. Le Représentant de la Banque Mondiale pour les opérations au Mali vient de confirmer que les clignotants à Bamako sont au vert et son institution encourage les porteurs de projets à venir au Mali.

      • Même son de cloche chez le Représentant du FMI au Mali, qui martèle haut et fort qu’avec l’avènement d’IBK au pouvoir, «le Mali a décollé».

  80. Toutes mes félicitations à M. le ministre de l’économie malienne. Le Mali reconnait que vos efforts, c’est-à-dire du président de la république et l’ensemble de l’équipe gouvernementale, ne sont pas vains et ne risque pas de l’être si vous continuez dans cette dynamique.

  81. Même la semaine passée, le Mali a bénéficié plus de 9 MILLIARDS de FCFA de la part des saoudiens grâce aux compétences du ministre MAMADOU IGOR DIARRA Les projets qataris n’en parlons pas Il faut dire que tu n’aimes pas IBK, sinon qu’il ne s’est pas montré capable de faire débarrasser ce pays de ses calvaires c’est faux ou égoïste. Parce ce qu’en deux ans malgré les difficultés que nous savons tous son bilan est salutaire.

  82. Chapeau IGOR. Je ne suis pas un de ses fans, mais RESPECT pour le professionnalisme et le caractère battant. Mais il y a un seul point noir à son bilan: le choix des hommes. Il s’agit de ZOU au niveau de la BHM

  83. Igor a déjà montré sa preuve aux maliens. Il a permis aux gens de se redonner confiance quant au régime Ibkiste. Il faut que les maliens continuent à espérer.

  84. Avec la relance économique, le Mali est sur la voie du développement. Les stratégies appliquées par le Ministre Mamadou Igor Diarra ont porté fruit. Grace à lui l’économie malienne connaisse de plus en plus une hausse incomparable par rapport aux autres années.

  85. Tout porte à croire que le Mali va un jour, moi je dirai même bientôt, connaitre le meilleur une forte croissance surtout si on acceptait tous de se donner les mains pour construire ensemble notre pays.

  86. Le problème de la plus part de nous les maliens est qu’on parle sur des choses que nous n’avions aucune preuve la dessus et sans précision. Tous les maliens dénoncent la corruption mais personne n’apporte une preuve concrète et en tant que maliens nous pouvons tous porter plainte contre les gens que nous les traitons des voleurs de l’Etat. Monsieur le ministre de la finance bravo et du courage parce qu’on ne peut satisfaire tout le monde ni plaire à tout le monde.

  87. Je réitère ma confiance en la personne du président et à tous les ministres sur lesquels il a posé sa confiance.

  88. J’ai lu avec beaucoup d’intérêt cet article. Je constate avec les chiffres que la progressions est importante. De plus en plus le contribuable malien joue un rôle déterminant dans le financement du développement. L’accent mis sur la mobilisation des ressources locales demeure indispensable pour soutenir le décollage économique du pays. Il faut vraiment quitter la situation de “quasi-dépendance” au financement externe.
    La moralisation des conduites des hommes de finances est cruciale pour l’atteinte des objectifs de développement. A ce niveau, le ministère doit observer le maximum de rigueur.

  89. La relance de l’économie malienne a connu une forte croissance sous le régime d’IBK. Avec la nomination du Ministre Mamadou Igor Diarra, le régime IBK a su mettre les pieds dans le domaine de l’économie. Bravo à IBK, mercii au Ministre Igor Diarra.

    • ça!!! il faut le reconnaître, car ce phénomène de corruption à longtemps trop duré, et je soutien IBK.

  90. Où sont les détracteurs du président de la république 😀 😀 😀 est ce qu’avec la corruption nous pouvions avoir une telle donnée ❓ Bravo à IBK et bravo à monsieur le ministre de la finance MAMDOU IGOR DIARRA et ses DAF.

  91. Le destin l’a placé à la tête d’un Etat fébrile en quête d’un second souffle. Sa vision d’un Mali nouveau, n’est peut être pas encore comprise par tous.

    Le changement auquel aspirent plus de Maliens, ne peut être dans l’apparence ; mais dans les esprits. C’est dans les cœurs et dans les esprits qu’il faut cultiver ce changement. Ce que bon nombre de Maliens, font semblant de ne pas comprendre. IBK n’est pas un magicien qui, d’un coup de baguette, transformerait tous nos rêves en réalité. Ce n’est qu’un homme, un mortel comme nous. Et pourquoi le rendrait-on responsable de la noirceur de nos esprits. Le Mali compterait plus de 99% de croyants (en Dieu). Mais, combien pour cent, compterait le pays de corrompus, de corrupteurs, de malpropres qui rendraient le pays ingouvernable ? Autant ?

    Retravaillons notre foi en Dieu, notre manière de voir cette croyance ; que chacun accepte de se mettre en cause au lieu d’accuser les autres ; faisons violence sur nous-mêmes ; chacun sur son esprit, sa manière d’être, de se comporter vis-à-vis des autres et le Mali et les Maliens vivraient plus en paix. Balayons devant nos propres portes, au lieu de vouloir aller balayer devant celles des autres. C’est la vision du président IBK et elle devrait être celle de tous les Maliens.

    Tiémoko Traoré

  92. La corruption au Mali est une gangrène pour les rouages de l’administration du Mali c’est tous les maliens qui doivent la combattre.

  93. Soyons optimistes et croyons au changement. Sans le nier notre pays a bougé sincèrement parlant du progrès avec 7,2% du PIB, félicitation au gouvernement.

  94. Du n’importe quoi avec ces propagandes mensongères à la veille de chaque remaniement ministériel comme s’il n’y’à pas de vie après la fonction ministérielle. Qu’est ce qui fait courir le Ministre Igor comme ça ? On a pas besoin de trop parler si ça marche en économie ça se voit concrètement. Et aujourd’hui rien ne marche. L’endettement intérieur du pays à travers les émissions des bons du Trésor n’a jamais atteint un tel niveau aussi élevé avec des taux d’intérêts insoutenables auxquels le pays doit faire face et on dit après que le Trésor est liquide. Le Ministre Igor trompe qui ? Parce qu’il sait que cette population analphabète ne comprend rien ?
    Les instances de paiement apurés à partir de cet endettement sont composés de quelles dépenses ? Des dépenses de fonctionnement ou des dépenses d’investissement ? Allez y voir ce sont principalement les dépenses des faux contrats militaires de Guo star de l’habillement militaire de 100 milliards, des dépenses de l’avion présidentiel et autres dépenses farfelues militaires, d’engrais frelatés, de surfacturation, de marché de gré à gré et autres dépenses de corruption. Quelle est l’incidence sur l’économie réelle dont le Ministre Igor ignore totalement ? Rien, le pays ne disposant pas d’outils de production, l’argent de corruption mis à part , le reste servira à développer les économies des autres pays à travers des importations sauvages. Le chômage est à un niveau alarmant. Quel est le niveau des flux d’investissement étranger ? Rien , allez y vérifier à cause des coûts de productions élevés et de l’absence des ressources humaines de qualité. Monsieur le Ministre vous êtes ministre de l’Economie que vous sembliez oublier avant d’être celui d’un Budget corrompu que vous adoriez tant.
    Au Mali la lutte contre la corruption à travers des femmes et des hommes intègres est le seul vrai combat qui vaille pour le moment tout le reste n’est que mensonge.

    • SAM 😆 😆 😆 😆 En prenant votre plume vous n’arrivez même pas à convaincre le plus idiot de la planète, si on veut diffamer quelque chose c’est avec les preuves convaincantes. je vous invite à collaborer avec le gouvernement.

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