Au moment où les Maliens tirent le diable par la queue et où le pays se relève tout doucement de la longue crise que le Mali traverse, le Fonds monétaire international (Fmi) a décidé de geler son aide, suite à l’affaire de l’achat de l’avion présidentiel ayant coûté 20 milliards de nos francs. Une sanction qui court jusqu’en septembre, en attendant un audit des experts du Fmi sur l’achat de cet avion présidentiel.
Cette mesure du Fmi qui est une autre épine sous les pieds d’IBK, n’est pas de nature à arranger la situation socio-politique et économique de notre pays. De ce fait, il serait intéressant que l’institution monétaire mondiale revienne sur sa décision pour alléger les souffrances du peuple malien.
Rappelons que le Fonds monétaire international s’était dit mi-mai «préoccupé» par cette acquisition du président Ibrahim Boubacar Keïta et par des contrats passés sans appel d’offres entre le gouvernement et des sociétés privées. En représailles, le Fmi avait décidé de retarder le versement de son prochain prêt au Mali, qui bénéficie depuis décembre d’une ligne budgétaire de 46 millions de dollars sur trois ans auprès de l’institution.
Initialement attendues en juin, les équipes du Fonds ne se rendront finalement qu’en septembre pour mener leur audit, condition au versement d’une nouvelle tranche d’aide, a annoncé le Fmi. Avant cela, le Fonds demande toutefois aux autorités maliennes de prendre des «mesures concrètes» pour s’attaquer aux «faiblesses» dans la gestion des finances publiques. Bamako devra notamment mener un audit sur ces différentes transactions controversées et prendre de nouvelles «directives» sur les passations de marchés publics, indique le Fmi.
Certes, le Fmi est dans son plein droit, mais il ne doit pas oublié que le peuple malien souffre énormément et qu’ajouter cette lourde sanction au Mali, ne ferait qu’aggraver les conditions déjà difficiles de survie des populations.
Bruno LOMA
Les maliens deviennent insensibles, voire allergiques a la réalité… Le journaliste Daou ne donne qu’une information, qui si fondée, sonne très faux avec l’assurance encore osée de Mara PM ( Premier Menteur) devant l’assemblée. Cela est un fait…. Pourquoi le traiter de tous les noms d’oiseaux….?
On devient tellement partisan pou un president qui a montre très vite ses limites, que l’on est tente de se demander si le Mali ne mérite vraiment pas que ce qui lui arrive… et hélas qui risque de durer tant le pouvoir est frileux, amnésique, incapable et insensible a la moribonde clameur d’un peuple meurtri.
Reveille, je viens de faire un tour en ville, sur les deux rives a 2h30 du matin et ce que je viens de voir me fend le coeur, partout, je dis bien partout, des jeunes, garçons et filles presque dans tous les coins, entrain, de fumer, boire, the, alcool, certains meme excusez moi deux couples se prenaient, en pleine rue…. Seigneur est ce cela mon pays….?
Nous nous rabaissons tous les jours . Le pays est géré selon l’assentiment de la rue . Dire qu’il n’y a pas de problème c’est utiliser notre analphabétisme pour une promotion politique sans l’lendemain. Je demande au Président IBK sans démagogie de faire appel aux cadres compétents pour sortir le pays de l’ornière . Pour y parvenir , Monsieur le Président , je vous demande de mettre en place une commission d’experts composée de Zoumana Sacko , Koniba Sidibé , Bassary Touré , l’honorable Waly Diawara , Tiena Coulibaly , Ibrim Bocar Bah , Soumaila Cissé pour examiner la situation économique du pays dans ses relations avec les PTF .
Une commission composée de : Mohamed Ag Hamani , Pinoché , Tieblé Dramé , Kassim Tapo , Moutaga Tall , Oumar Mariko ( en imposant à ce dernier la sagesse ) pour examiner la situation politique du pays sous la présidence de Daba Diawara .
Une commission de la politique étrangère sous légide de Moctar Wouane sera composée de : Amadou N’diye ( Charlie)…….
On sens fou du FMI, kils aille aux diables.
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