Des lettres anonymes sous forme de tracts non signés circulent depuis un certain temps dans des salles de rédaction contre Aliou Boubacar Diallo et ses différentes entreprises. Comme des néocolonialistes, des prédateurs ont du mal à concevoir qu’un Malien puisse être actionnaire majoritaire d’une si importante mine. Notre compatriote Aliou Boubacar Diallo, très ingénieux et soucieux du développement de son pays, après plusieurs opérations de rachat de dettes des pays africains a massivement investi dans le secteur minier. Conscient du potentiel aurifère de notre pays, il a su le valoriser auprès de certains investisseurs étrangers, ce qui lui a valu des levées de fonds importants pour exploiter ce potentiel minier et de créer de la valeur ajoutée. La mine d’or Kodiéran connait certes des difficultés dues au départ de l’un des principaux opérateurs suite aux évènements socio-politico-militaires que nous avons connus, mais aujourd’hui tout est en passe de rentrer dans l’ordre avec la relance économique du pays. Ce n’est d’ailleurs pas la première mine au monde qui s’arrête après le démarrage pour plusieurs raisons. Les statistiques mondiales montrent que sur trois mines qui ouvrent une s’arrête et redémarre après. Le Mali ne fait pas exception à cette règle. C’est ainsi que sur neuf permis d’exploitation au Mali, cinq mines ont déjà été à l’arrêt après leur ouverture, ce qui dépasse de loin la moyenne mondiale. Syama, après son ouverture, a été fermé à plus de deux reprises et a rouvert avec succès. Tabakoto, après son inauguration, a été arrêté et a redémarré après. Kalana a été arrêté à plusieurs reprises. Robex est à l’arrêt. Le redémarrage très prochain de Wassoul’or de notre compatriote hante le sommeil de ses détracteurs. Alors, ils font feu de tous bois pour empêcher ce redémarrage. Echec et Mat, la mine de Kodiéran est malienne et elle le restera sans nul doute. Ces prédateurs de la pire espèce, dans une logique de mettre coute que coute la main sur la mine, n’ont trouvé rien de mieux que diffamer M. Diallo. Tantôt, ils évoquent une prétendue relation qu’il a avec l’ancien président déchu ATT et aussi avec la junte militaire. Pour qui connait Aliou Boubacar Diallo, il n’a jamais été un proche d’ATT, même si ce dernier a inauguré sa mine, en sa qualité de président de la République comme beaucoup d’autres mines, même celles détenues par des étrangers.
Patriote avec un sens très élevé de la solidarité, Aliou Boubacar Diallo est le premier à venir au secours des veuves et des orphelins avec un chèque de 50 millions de F Cfa, en janvier 2012, quand il y a eu les malheureux évènements de Aguel-Hoc.
En 2012 encore, il fut sollicité pour aider à soigner les blessés militaires du nord rapatriés à Kati. Il a répondu favorablement à cette sollicitation en distribuant des médicaments aux blessés militaires qui étaient à Kati et en construisant les toilettes des dispensaires où ils étaient soignés. Egalement, quand la barbarie du nord continuait avec la destruction des mausolées de Tombouctou, M. Diallo a organisé une distribution de vivres aux refugiés du Nord vivant au sud, pour prouver que le cordon ombilical liant Tombouctou au reste du Mali ne saurait être coupé par les extrémistes. Il a distribué 333 sacs de riz, 333 sacs de mil, 333 cartons d’huile, 333 sacs de sucre, 333 sacs de laits et a remis un chèque de 10 millions de francs CFA au Coren, soit 41 millions de francs Cfa, pour honorer et respecter la symbolique de Tombouctou, ville des 333 Saints.
C’est fait, la société étrangère Pearl Gold qui n’est aujourd’hui actionnaire de la mine qu’à hauteur de 25%, cherche à contrôler la mine de notre compatriote Aliou Boubacar Diallo, qui du reste a su verrouiller le capital de la mine en restant toujours actionnaire majoritaire avec 54,24%. Car il est déterminé à ce que la mine reste malienne.
La fuite en avant
Les dirigeants de Pearl Gold : Reza Pacha et Robert Gonino et leur conseiller occulte Lutz Arthman, avec leur dessein diabolique, sont en réalité derrière cette cabale qui ne dit pas son nom.
S’agissant des biens personnels de M. Diallo auxquels ils font allusion dans leurs tracts, ils ont été majoritairement acquis avant la création de Wassoul’or et sont en grande partie hypothéqués pour garantir les engagements de Wassoul’or auprès des Banques. M. Diallo consent ce sacrifice pour Wassoul’or qu’il a toujours aidé depuis 22 ans et qui lui doit plus de 100 milliards de FCFA non rémunérés, comme l’attestent tous les comptes certifiés et corrigés de Wassoul’or.
‘’En vingt ans, disent les détracteurs dans leur cabale, la mine n’a eu qu’une production minime’’ et précisent qu’elle a été inaugurée en 2012.
Comment une mine qui n’a été inaugurée qu’en 2012 peut-elle produire pendant 20 ans ? Alors qu’elle est en arrêt depuis 2013 ! De 1992 à 2012, il y a eu des périodes d’exploration, de sondages, de développement, d’études de faisabilité, d’études environnementales, des tests métallurgiques, la construction de l’usine, de la cité minière, de la centrale électrique, de la station de pompage d’eau, et des digues de rejet.
Entre la découverte d’un gisement et son exploitation, plusieurs années s’écoulent. Loulo, par exemple, n’a commencé sa production qu’après plus de 25 ans après sa découverte. L’on se demande pourquoi tant d’agitations à vouloir déstabiliser ce digne fils de son pays. Seul à ce jour ayant pu drainer autant d’argent de l’extérieur pour le secteur minier. Ce compatriote reste et restera la fierté nationale n’en déplaise aux prédateurs étrangers qui pour une fois se trouvent en minorité dans un projet minier au Mali, contrôlé par un Malien. Contrairement aux schémas coloniaux dont ils ont l’habitude en s’implantant dans notre pays en ayant la majorité et en laissant la portion congrue de moins de 20% à l’Etat du Mali et aux privés maliens. La valorisation d’une mine avant qu’elle soit une production rentable est basée sur son potentiel, ses ressources et ses réserves en or. Certains projets miniers, avant d’être en production, atteignent une valorisation de plus de 1 milliard de dollars US. Et les exemples ne manquent pas de part le monde. Kodiéran a aujourd’hui un potentiel géologique que nul ne peut contester. C’est d’ailleurs ce qui fait courir ces prédateurs étrangers qui accablent la mine dans le seul but d’être les propriétaires majoritaires.
Ce potentiel aurifère de la mine ressort dans le récent communiqué de Wassoul’or établi sur la base de prélèvements d’échantillons réalisés par une société étrangère sur le site de Kodiéran et analysé sous le contrôle de la SGS. Ils révèlent des teneurs en or jamais rencontrées dans une mine du Mali. Environ 600g d’or à la tonne dans une intersection de 2 mètres dans un couloir de 18 m à 68g d’or à la tonne. Ces informations sont vérifiables. Le sens du combat de ce cher patriote est noble et devrait être soutenu par tout le peuple. Ces chasseurs et sangsues des temps modernes continuent leur sale besogne sur tous les toits du monde et utilisent toute sorte de subterfuges. Heureusement que notre pays n’est pas une République bananière, car les nouvelles autorités qui sont déterminées à promouvoir les investissements nationaux ont vu clair dans ce jeu en eau trouble. Elles sont décidées à soutenir notre compatriote et à lui venir en aide pour redémarrer l’usine dans les plus brefs délais. Ces prédateurs verront bientôt leur dessein macabre tombé à l’eau, car l’usine va redémarrer et de plus belle manière. Pendant qu’ils s’agitent comme des feuilles mortes, M. Diallo est plutôt en train de travailler tranquillement avec ses partenaires et l’Etat malien sur le redémarrage imminent de la mine. Il n’a pas le temps de s’occuper des ragots et des débats de rue. Il a mieux à faire. Une chose est sûre, Kodiéran restera malien, n’en déplaise aux prédateurs aurifères. Comme dit l’adage : « le chien aboie la caravane passe ».
Harber MAIGA