C’est robinet bagarre à longueur de journée. «Tous les matins, toutes les nuits, nous sommes attroupés comme du bétail», déplore Mme Touré Salimata Karambé, qui martèle : «Nous habitons ce quartier depuis 2004. Il y’a toujours eu des promesses non tenues. Nous croyions avoir une adduction depuis belle lurette.
Les jeunes se sont à maintes reprises mobilisés pour notifier aux autorités municipales le calvaire dans lequel ils vivent, via les télévisions et les et radios. Rien ! Nous avons soif !». IBK, l’eau, c’est la vie !
Depuis 20 ans les dirigent malien en général prenent ces population comme moin que rien ils sans foutent de nous voté pour moi je construit ma maison d’abord ces sont de menteurs et voleur
J’espére que la prochaine fois qu’on vous demandera de voter vous eviterez d’élire un loueur de voiture et un delinquant repenti.
Best regards.
Quelle honte
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