Bamako au rythme des délestages intempestifs

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EDM Sa au rythme des délestages Nous ne sommes pas encore en avril, encore moins en mai, période de grande canicule à Bamako, mais au début du mois de mars. Et déjà, dans certains quartiers de notre capitale, les populations passent le plus clair de la journée et de la soirée  sans électricité. Les coupures d’électricité sont devenues monnaie courante.

 

Certains services, à ce rythme des coupures, sans mesures palliatives (groupes électrogènes) ne parviennent plus à travailler normalement.

Ces coupures intempestives, que les abonnés d’EDM Sa connaissent déjà, n’augurent rien de bon.  Car, d’aucuns estiment que les populations connaitront  cette année, une année noire en matière d’électricité.

 

 

Selon un abonné d’EDM Sa, au rythme des délestages, il n’est pas exclu que le Mali connaisse des scenarios à la Sénégalaise. Lasses d’attendre, des heures durant, l’électricité qui ne vient pas, les populations sont descendues dans la rue.

 

 

Ou encore en Guinée-Conakry où l’électricité est une denrée rare. Très rare.

Des mauvaises langues indiquent que l’électricité y est distribuée par secteur.

Selon lui, si les nouvelles autorités  de  notre pays ne prennent pas des mesures idoines, les Maliens vivront à coup sûr, des scenarios à la Guinéenne ou à la Sénégalaise.

Car nombreuses sont les familles à Bamako, qui passent la journée et souvent la nuit sans électricité en ce mois de mars.

D. Diama

 

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2 COMMENTAIRES

  1. Il faut reconnaître qu’au Sénégal, par la grâce de Dieu, le problème est réglé et que les délestages ne sont plus qu’un mauvais souvenir. Au Mali tout comme en Guinée aussi, il existe des solutions.

  2. “Le Mali d’abord” passe par l’audit technico-financier de la société EDM-SA. Ce audit doit faire l’objet d’une large publication pour que les Maliens sachent à quoi sert les milliards prélevés sur le budget d’état pour subventionner cette société. IBK lui même est fortement interpellé

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