Dans son discours liminaire, le président de la FBVIM, René Alphonse Barbier a tenu à remercier les partenaires techniques et financiers, dont l’appui a permis l’organisation de cet atelier qui s’étend sur 5 jours. Il a également remercié l’équipe de formation conduite par Zié dit Fousseyni Sanogo du cabinet Talent Plus ainsi que tous les éleveurs et autres acteurs de la filière qui participent à la formation. Selon lui, cette rencontre rentre dans le cadre du renforcement des capacités des acteurs de la filière, pour la maîtrise des textes législatifs et réglementaires du secteur. Cet atelier, poursuit-il, a pour objectif permettre aux participants : d’acquérir ou compléter leur encadrement juridique sur la filière Bétail Viande, maîtriser les instruments juridiques et les procédures de règlement des différends liés au secteur ; Identifier les risques encourus en cas de non respect des textes en vigueur ; procéder à l’application stricte des textes légaux et réglementaires. Au président de la FBVIM, René Alphonse Barbier, de dire par la suite qu’une organisation socioprofessionnelle a le devoir de renforcer les capacités de ses membres, pour qu’ils soient à même d’assumer leurs fonctions. L’atelier en plus des textes législatifs et réglementaires du Mali, abordera ceux de la communauté dans laquelle le Mali se trouve en l’occurrence la CEDEAO. La formation continue selon, René Alphonse, étant le seul garant de la performance et de l’excellence, les membres de la FBVIM, qui sont des exportateurs de bétails dans les pays de la sous région, quand on connait le potentiel du Mali en la matière, donc les acteurs de ce secteur doivent maîtriser les textes de la communauté dans laquelle ils exercent afin de pouvoir rester compétitifs et de fournir des produits de qualités et dans les normes. En plus de cet atelier, la FNVIM qui a doté ces représentations locales de matériels informatiques, va également lancé un vaste programme de formation en informatique dans les jours qui viennent afin de permettre aux commerçants de bétails de pouvoir maîtriser les nouvelles technologies pour plus de qualité et d’aisance dans la réception et le traitement des informations liées au secteur.
H.N’GATTE