Dans le cadre de la mise en œuvre du programme présidentiel d’Ibrahim Boubacar Kéïta, le ministère de l’Industrie et de la Promotion des Investissements ne manque pas d’ambitions.
Face à la presse, le samedi 16 août 2014, le chef du département, Moustapha Ben Barka, a levé un coin du voile sur les grandes orientations de son ministère. C’était au cours d’un débat mensuel, initié par les professionnels de l’information du Mali, tenu à la Chambre de Commerce et d’Industrie.
Parmi les grands axes développés par le ministre Ben Barka, figurent entre autres, la stratégie nationale de promotion industrielle, le renforcement des capacités des acteurs du secteur privé, l’approfondissement du dialogue avec le secteur privé, la problématique de l’accès à l’électricité et la création de zones industrielles.
Sur ce dernier point, le ministre Moustapha Ben Barka a souligné que le Mali était entré en coopération avec le Maroc pour accélérer la mise en place de ces zones. Faisant l’état des lieux de l’économie et des investissements dans notre pays, le ministre Ben Barka a expliqué que son département avait une vision sectorielle d’ici 2017, avant d’ajouter que le niveau des investissements au Mali était acceptable, sinon bon.
Fraichement revenu de Washington, où il a participé aux côtés du Président IBK au sommet Afrique – Etats Unis, Moustapha Ben Barka a souligné devant la presse que le Mali était éligible à l’Agoa. Mais, a-t-il regretté, nous ne tirons pas assez de profits.
Yaya Samaké
À Moro Mara et à Luis Camara de FUNÈS:
Il est clair que Mara, IBK, Oumar Mariko, Amion Guindo, Bouaré, Younousse Ahmed Dicko, Mountaga Tall, Blaise Mogotigui Sangaré, Cheick Modibo Diarra, sont entre autres politiciens et opportunistes qui ont, soit applaudi les voyous et délinquants du Kati, soit collaboré avec eux quand ils ont eu le toupet de s’attaquer à la constitution du 25 février 1992 et des institutions qui y sont issues conformément à la loi en vigueur au Mali.
Cette attaque contre la république et son système politique démocratique a été faite le 22 mars 2012 et n’a pas, à ce jour, été punie.
Ces opportunistes politiciens ou associatifs ont certainement oublié que c’est la révolution populaire de janvier et mars 1991 qui nous a permis d’avoir le multipartisme intégral au Mali et de mettre sur place un régime politique pluraliste et un état de droit garantissant les libertés fondamentales du peuple malien parmi lesquelles la liberté d’expression, d’opinion et la liberté de presse qui y va avec.
À cette époque, ni IBK, ni Mara, ni leur ministre de la connerie numérique n’étaient présents au Mali, et n’ont jamais rien fait pour l’éclosion des libertés au Mali.
Nous l’avons fait sans eux au prix de nos martyrs couchés dignement à Niar.ela et d’autres cimetières du pays, qu’ils reposent en paix car tant que nous sommes vivants leurs sacrifices ultimes ne seraient jamais vains.
I PROMISE THEM!
Le SADI, l’UDD, puis le RPM et le parti YELEMA, respectivement les partis ou anciens partis d’Oumar Mariko, d’Younouss Ahmed Dicko, d’IBK et de Moussa Mara (c’est à dire ceux-la mêmes qui ont applaudi ou aidé les délinquants de Kati quand ils attaquaient la république et notre constitution) ont été créés parce que la constitution du 25 février 1992 le permettait.
Et ça c’est l’œuvre de nos martyrs de mars 1991.
Les maliens s’expriment librement dans les radios, les télévisions, dans la presse écrite et en ligne parce que la liberté de la presse et la liberté d’opinion sont des droits constitutionnels des maliens depuis le 25 février 1992 quoique la presse privée existe depuis 1990 au Mali.
Nous n’avons pas compris et nous ne comprenons pas que, ceux-la mêmes qui ont bénéficié de notre système démocratique pour devenir politiciens, se mettent à le bafouer au profit d’un charlatan de Kati.
Le régime ATT et le régime Alpha, n’étaient pas des saints (loin s’en faut) mais ils étaient issus des élections conformément à la loi fondamentale au Mali.
S’ils ont enfreint à cette loi, c’est à la justice du pays de sévir et non une garnison militaire remplie de soldats analphabètes et abrutis qui ne connaissent rien du fonctionnement d’un État et qui sont même incapables de diriger une armée.
LA PREUVE:
Moins de 10 jours après leurs folie du 22 mars 2012, ils ont livré nos trois régions du nord aux voyous armés du nord.
ATT a été naïf et laxiste dans la gestion de l’armée et de la crise du nord, mais de janvier 2012 au 22 mars 2012, il n’a ni perdu Kidal, ni Tombouctou, ni Gao.
C’est bien Sanogo et sa soldatesque ivrogne qui les ont perdues et en moins de 10 jours s’il vous plait.
ATT a subi la défaite de Menaka, Andarraboukane, Léré, Aguelhoc, Tessalit, mais il n’a jamais perdu une grande ville face aux voyous armés du Mnla.
Moussa Mara et IBK, ceux-la mêmes qui copinaient avec les délinquants de Kati ou critiquaient les accords d’Alger de 2006 sur tous les toits, ont perdu en une matinée du 21 mai 2014, la grande ville de Kidal face aux voyous armés du Mnla.
ET IL N’ONT JAMAIS RECONNU CELA CAR VOULANT METTRE LA FAUTE SUR L’ARMÉE ALORS QU’ILS SONT RESPECTIVEMENT CHEF DU GOUVERNEMENT (donc patron du ministre de la défense) ET CHEF SUPRÊME DES ARMÉES AU MALI.
Ils ont supplié le président Mauritanien Ould Abdel Aziz, celui-la même qui hébergeait les membres du Mnla sous ATT, pour avoir un cessez-le-feu avec ce même Mnla en mai 2014.
Ils ont prié Dieu et le Mnla pour reprendre les négociations à Alger en juin 2014, alors que ce sont eux qui se plaingnaient des accords d’Alger de 2006 et fanfaronnaient en 2013 et 2014 que toute autre négociation sur la crise du nord de notre pays se tiendra au Mali désormais.
Ces menteurs professionnels d’IBK et de Mara auraient-ils oublié qu’Alger n’est pas sur le territoire malien?
Mais les esprits les plus tordus vont me dire:
“Eh Kassin, IBK est au pouvoir depuis 11 mois et il a trouvé le Mali sans armée”.
Comme disent les ados: LOL, (Mort de rire ou MDR)
C’EST FAUX ET ARCHI FAUX!
De 1991 à 2014,IBK au minimum a fait:
-1 an ambassadeur du Mali en Côte d’Ivoire (chassé par Houphët Boigny en personne).
-1 an conseiller d’Alpha Oumar Konaré à Koulouba
-1 an ministre des affaires étrangères du Mali
-6 ans (1994 à 2000) premier ministre du Mali
-5 ans (2002-2007) président de l’assemblée nationale du Mali.
-5 ans (2007-2012) député à l’assemblée nationale du Mali
-11 mois (presque 1 an) président de la république du Mali.
CELA FAIT 19 et 11 mois sur 24 ans que IBK est dans les hautes sphères du pouvoir au Mali.
Donc il est comptable et du régime de l’Alpha Oumar Konaré et du régime d’ATT à 100%.
Si l’armée malienne a été négligée ou détruite durant ces deux régimes précédents, IBK a indéniablement sa part de responsabilité la dedans et elle est énorme.
COMME SI CELA NE SUFFISAIT PAS:
En 11 mois de gestion de l’État depuis septembre 2013, il a fait pire que ces 22 dernières années en matière de gestion calamiteuse des finances publiques au Mali.
Il n’a aujourd’hui ni la confiance des partenaires financiers et techniques du Mali (FMI, banque mondiale, Union Européenne), ni la confiance des partenaires sociaux du Mali, l’UNTM a déjà annoncé une grève générale dans le pays.
MAIS QUAND NOUS DÉNONÇONS SES DÉRIVES ET SES FRASQUES AU POUVOIR IL NOUS ENVOIE UNE HORDE DE DÉLINQUANTS INTERNET POUR NOUS INSULTER JOUR ET NUIT.
Quand il a vu que cela ne marche pas et ne nous fait pas reculer, il veut par l’intermédiaire de son ministre CAMARA, de la CONNERIE NUMÉRIQUE, alias LUIS CAMARA DE FUNÈS (pour reprendre les termes de mon frère Moussa Ag, Soldat Raté de MW) pour essayer de museler la presse et la liberté d’expression au Mali.
LOL!
Mais ce guignol de Luis Camara De FUNÈS, ne sait pas comment nous avons fait la révolution de mars 1991 mais nous sommes hâtes de lui montrer comment on a fait partir le régime immobile et sanguinaire de Moussa Traoré et de ses valets sous les BRDM et par dessus bord les balles réelles sur la route de Koulouba (s’il vous plait).
Wa salam!
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