Le ministère des Finances et de l’Economie du Mali a rendu public son calendrier d’émissions de titres publics pour l’année 2019. C’était, au cours d’un déjeuner, à l’hôtel Sheraton. En présence de plusieurs membres du gouvernement et du Directeur de l’agence UEMOA-Titres.
– Maliweb.net -Le volume global des titres à émettre, cette année, est de 520 milliards FCFA. Ce montant sera mobilisé à travers 19 émissions de titres publicsdont six (6) en bons du trésor et treize (13) en Obligations du trésor. Une émission sera faite tous les 15 jours, les mercredi avec un montant nominal compris entre 15 et 25 milliards FCFA; une obligation sera émise par Appel Public à l’Epargne d’une valeur maturité de 10 ans. En 2019, il y aura aussi deux adjudications ciblées à l’endroit des Spécialistes en Valeur du Trésor (SVT).
Les émissions de titres publics ont un double objectif: mobiliser des ressources en vue d’assurer la couverture des besoins ponctuels de trésorerie de l’Etat et; financer les investissements nécessaires à la croissance et au développement économiques. Ainsi, les émissions de 2019 permettront de financer projets de désenclavement extérieur du pays notamment la construction et le bitumage de la bretelle à la frontière Mali/RCI ou encore la rénovation de la route Bamako-Kayes-Kidira. Aussi, des projets de désenclavement intérieur et développement socio-économique seront réalisés.
En 2018, a rappelé le ministre de l’Economie et des Finances, malgré les difficultés du marché financier régional, les émissions de titres publics du Mali ont connu un franc succès. Le Trésor Public, assure Boubou Cissé, est intervenu sur le marché avec une fréquence plus régulière. Cette approche a donné des résultats satisfaisants avec un montant mobilisé de 548 milliards FCFA.
Mamadou TOGOLA/Maliweb.net
Un pays en faillite!!!!!!!!!!!!!!!!!! Ils sont fous ceux qui acheteront ces titre émis par l’Etat!!!!!!!!!!!!!!
520 milliards…
“..mobiliser des ressources en vue d’assurer la couverture des besoins ponctuels de trésorerie de l’État et..”
c’est -a dire endetter le pays pour combler les trous creusés par le manque de gestion rigoureuse de nos revenus. Sinon pourquoi pas investir tous les 520 milliards…dans seule “la croissance et au développement économiques”. Notre probleme de trésorerie ne sera jamais resolu a travers ces renflouements sporadiques souvent venant soit de l’AMI (argent de mendicité internationale) ou de ce genre des dettes (titres). Tous diront ici qu’il faut tout faire pour soulager le trésor…on a besoin de revoir l’argent en circulation au Mali! Mais la chose sérieuse a faire sans précipitation ni confusion c’est d’impérativement reformer notre mode de gestion sur nos revenus locaux (optimisation de nos recettes, stricte contrôle de nos dépenses, élimination absolue des surfacturations et gaspillages etc.., programmes temporaires d’austérité etc..).
Quand est ce que Boubou va prendre la calculatrice et rentrer dans sa chambre …pour sortir les chiffres? Notre probleme a toujours été la façon dont on dépense nos revenus…c’est une maladie chronique qu’il faut guérir…., car une machine de production is no match to une machine de gaspillage…. les maliens donnent facilement plus de 1200 milliards (taxes+impôts) annuels a l’État …. mais où est cet argent dans leurs vies? Les mêmes maliens s’occupent de la grande partie (80%?) de l’ assistance sociale (l’ex., la diaspora malienne seule injecterait plus de 400 milliards annuels dans le pays comme assistance aux ménages, les vendeuses de banane sur plate etc.. nourrissent et soignent des milliers des familles). Oui l’État fait aussi quelque chose (des subventions et des aides de solidarités sociales etc..), mais a mon opinion il pouvait faire beaucoup plus s’il y avait une gestion saine et une canalisation ciblée des revenus.
Au finish, un pays comme le notre aura plutôt un probleme de moralité administrative-financière et non un problème de mobilisation des ressources! Ce probleme d’injustice financière est en train de plus en plus nous engloutir…il faut vite s y ressaisir et c’est bien possible. Il n y pas d’autres formules: il faut simplement confronter les pourvoyeurs de l’intérêt personnel et penser au pays….
Bonsoir
L’€mprunt sera t-il remboursé un jour?
520 milliards…
“..mobiliser des ressources en vue d’assurer la couverture des besoins ponctuels de trésorerie de l’État et..”
c’est -a dire endetter le pays pour combler les trous creusés par le manque de gestion rigoureuse de nos revenus. Sinon pourquoi pas investir tous les 520 milliards…dans seule “la croissance et au développement économiques”. Notre probleme de trésorerie ne sera jamais resolu a travers ces renflouements sporadiques souvent venant soit de l’AMI (argent de mendicité internationale) ou de ce genre des dettes (titres). Tous diront ici qu’il faut tout faire pour soulager le trésor…on a besoin de revoir l’argent en circulation au Mali! Mais la chose sérieuse a faire sans précipitation ni confusion c’est d’impérativement reformer notre mode de gestion sur nos revenus locaux (optimisation de nos recettes, stricte contrôle de nos dépenses, élimination absolue des surfacturations et gaspillages etc.., programmes temporaires d’austérité etc..).
Quand est ce que Boubou va prendre la calculatrice et rentrer dans sa chambre …pour sortir les chiffres? Notre probleme a toujours été la façon dont on dépense nos revenus…c’est une maladie chronique qu’il faut guérir…., car une machine de production is no match to une machine de gaspillage…. les maliens donnent facilement plus de 1200 milliards annuels a l’État …. mais où est cet argent dans leurs vies? Les mêmes maliens s’occupent la grande partie (80%?) de l’ assistance sociale (l’ex., la diaspora malienne seule injecterait plus de 400 milliards annuels dans le pays comme assistance aux ménages, les vendeuses de banane sur plate etc.. nourrissent et soignent des milliers des familles). Oui l’État fait aussi quelque chose (des subventions des aides de solidarités sociales etc..), mais a mon opinion il pouvait beaucoup plus s’il y avait une gestion saine et un canalisation ciblée des revenus.
Au finish, un pays comme le notre aura plutôt un probleme de moralité administrative-financière et non un problème de mobilisation des ressources! Ce probleme d’injustice financière est en train de plus en plus nous engloutir…il faut vite s y ressaisir et c’est bien possible. Il n y pas d’autres formules: il faut simplement confronter les pourvoyeurs de l’intérêt personnel et penser au pays….
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