Pour assurer son développement économique et social, le Mali doit faire face à plusieurs défis. Ses besoins dans les domaines des infrastructures, de l’eau potable, de l’assainissement urbain, de l’énergie, de l’agriculture ou encore des secteurs sociaux sont nombreux. Les organisations internationales et les bailleurs de fonds internationaux mettent en place des programmes d’aide pour accompagner l’Etat malien dans ces domaines.
C’est dans ce contexte qu’UBIFRANCE, l’Agence française pour le développement international des entreprises, a accompagné une délégation de 22 entreprises à Bamako du 14 au 16 octobre. Elles ont rencontré les acheteurs des agences de l’ONU à l’œuvre sur le terrain, de l’Agence française de développement (AFD) et des bailleurs de fonds intervenant au Mali (Union Européenne, Banque Mondiale, Banque Africaine de développement, Banque islamique de développement…). Ces rencontres d’affaires marquent la volonté de la France et de ses entreprises d’accompagner le Mali dans la modernisation de ses infrastructures en mobilisant les savoir-faire français dans les domaines prioritaires au développement du pays.
L’Ambassadeur de France au Mali, Gilles Huberson, a rappelé que la Conférence internationale de Bruxelles « Ensemble pour le renouveau du Mali » organisée en mai 2013, des engagements financiers portant sur 3,3 Milliards d’euros et de promesses de dons ont été annoncés par la communauté internationale pour les années 2013-2014. Ainsi, à Bruxelles, la France s’est engagée sur l’octroi de 280 Millions d’euros, pour la période 2013-2014, principalement grâce aux activités de l’Agence française de développement (AFD).
L’Union européenne s’est engagée sur 524 millions d’euros sur la période 2013-2014, la Banque africaine de développement sur 240 millions d’euros pour 2013-2014 et la Banque Mondiale sur 480 millions d’euros pour 2013-2014. « La France du 11 janvier 2013 s’est aussi engagée au Mali pour soutenir le décollage économique du pays. Aider le Mali, c’est considérer que son développement économique est la clef de l’avenir du pays alors que sa population va doubler d’ici 15 ans. La France, son administration et ses entreprises sont prêtes à accompagner le Mali sur ce chemin », a ajouté Gilles Huberson, Ambassadeur de France au Mali.
Ces entreprises ont été sélectionnées en fonction de la pertinence de leurs expertises et leur adéquation avec les besoins du Mali. Elles sont ainsi actives dans les secteurs de l’eau et de l’assainissement, de la construction, de l’énergie, de l’agro- équipement, des technologies de l’information et de la communication, de la défense, des services (logistique, catering…), de la santé. Toutes ont pour ambition de mettre leurs savoir-faire au service du développement économique et social du Mali.
Selon Jean-Paul Bacquet, Président du Conseil d’Administration d’UBIFRANCE, « La France s’est mobilisée il y a bientôt deux ans, répondant à l’appel du Gouvernement malien pour lutter contre le terrorisme, ramener la paix et défendre les droits de l’Homme. Aujourd’hui, dans le cadre de la reconstruction et suite à la conférence internationale des donateurs, UBIFRANCE accompagne des entreprises afin de mettre en valeur leur savoir faire, leur expertise, leur capacité à répondre aux programmes d’investissements du Mali et participer ainsi au triple défi que le pays a engagé : maintenir une paix durable, consolider l’Etat démocratique et lancer la reconstruction et le développement économique du pays.
Les rencontres organisées par UBIFRANCE permettront non seulement aux entreprises françaises de répondre aux programmes d’investissements du Mali, mais aussi de lier de véritables partenariats avec des entreprises locales voire d’implanter des filiales dans le pays ».
B. Daou
Bienvenue aux entreprises françaises ! Pour des raisons historiques, le Mali a besoin de la France comme la France aussi a besoin du Mali, même s’il faut impérativement un cadre de respect mutuel. Il me semble assez légitime que nous nous sentons redevables à la France pour tous ses efforts, parce que la France aussi continue à payer nos grand-pères tirailleurs-sénégalais pour leurs efforts.
Au delà de la langue que nous partageons, nous avons aussi une grande communauté malienne en France. En exploitant intelligemment cette coopération, nous pourrions profiter au maximum de notre diaspora en France. La coopération avec la France pourrait, à court terme, nous aider à améliorer notre diplomatie et booster la relance de l’économie.
“UBIFRANCE à Bamako : 22 entreprises françaises pour accompagner le développement du Mali”
😀 😀 😀
Si le sarcasme était permis on pouvait titrer: Un médecin malade (Ebola) qui fait la prévention contre Ebola. 😯 😯 😯
Tenez, ceux qui gobent toutes les annonces mielleuses:
En matière d’entreprise la France ne fait plus référence!
Toutes les entreprises respectables ont délocalisé, …le taux du chômage rivalise avec la côte d’impopularité du président 😛 La France a plus besoin de ses entreprises (s’il en existe encore) pour son développement qu’un nourrisson a besoin de sa nourrisse.
En France, en ce moment, les seuls entreprises qui ont du vent en poupe autrement qui n’ont pas de plan de liquidation ou de délocalisation sont les AUTO ENTREPRISE! De véritable entreprise avec 0 chiffre d’affaire 💡 💡 💡 Ca se crée en clics (moins de 3 minutes avec internet haut débit).
C’est ca vous voulez? 👿
LA FRANCE N’A JAMAIS ÉTÉ UN AMI POUR LE MALI MAIS C’EST A NOUS D’ORGANISER NOTRE COOPÉRATION AVEC ELLE CE N’EST PAS LE NUCLÉAIRE FRANCAIS QUI NOUS FAIT PEUR MAIS ELLE A UNE POPULATION PLUS NOMBREUSES QUE LA NOTRE ET MAJORITAIREMENT INSTRUIT MEME S’ILS NE SONT PAS INTELLIGENT CAR ELLE MONTRE DANS CHACUNE DE SES RELATIONS AVEC LES PAYS SES CARENCES ET SA CAPACITÉ A METTRE SUR SON DOS DES POPULATIONS QUI AU DÉPART L’APPRÉCIE ET APRES L’ÉVITE. C’EST DOMMAGE
On ne veut pas des entreprises racistes et pilleuses françaises chez nous. C’est pour ces entreprises que les politiques français ont créer le MNLA pour mettre le feu au MALI, et puis on se pose en pompier pyromane. Voila la deuxième phase du plan, qui consiste a venir piller le MALI, après s’être s’assurer de l’occuper militairement tout en brandissant le MNLA comme moyen de chantage au gouvernement.
Qu’elles dégagent, l’Afrique ne veut plus des entreprises pyromanes et leurs dirigeants politiques racistes et esclavagistes. L’Afrique va se libérer par tous les moyens tôt ou tard, même s’il faut verser beaucoup de son sang pour bouter hors de son territoire tous ces colonialistes suceurs de sang.
On a tout compris
Bienvenu pour la France au Mali, car il n’est jamais trop tard pour comprendre. Si la FRANCE A COMMENCE A DESCENDRE SUR TERRE, TANT MIEUX.ELLE COMPREND MAINTENANT qu’il vaut mieux travailler avec un pays souverain que d’avoir à faire avec des bandits comme le MNLA.L’Uranium, le pétrole et autres ressources du pays peuvent être proposés à des investisseurs sérieux mais dans un contexte gagnant gagnant. Cependant je lance un appel à l’Etat Malien: la prudence, car ces gens de la france peuvent être simplement des gansters déguisés, des gens de la CIA.
“Bienvenu pour la France au Mali, car il n’est jamais trop tard pour comprendre. Si la FRANCE A COMMENCE A DESCENDRE SUR TERRE, TANT MIEUX.ELLE COMPREND MAINTENANT”
La naivete est un des gros problemes des africains. Voila pourquoi, on se fait avoir par tout le monde. Alors que nous sommes les plus riches.
La france tient les banques maliennes, la monnaies malienne ( franc des colonies francaises d’afrique), l’armee malienne, etc…
Et vous voulez rallonger ca par la presence d’autres structure de domination… LEs negres ne comprennent vraiment rien.
Il ne faut compter que sur son travail!
Dieu seul sait où ira tout ce sou ! 🙁
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