Malgré le contexte difficile de crise multidimensionnelle que le pays traverse depuis 2012, accentué par la crise sociopolitique de 2020, le pouvoir de transition fait vaille que vaille des efforts pour améliorer le quotidien des Maliens.
La gouvernance de Transition devrait se concentrer sur les efforts au plan politico-institutionnel pour préparer le retour à l’ordre constitutionnel normal. C’est du moins la position d’une écrasante majorité de Maliens qui, eu égard au contexte difficile du pays, ont plaidé pour que la période transitoire soit la plus brève possible.
C’est dans ce sens que plusieurs acteurs politiques avaient donné de la voix pour que les nouvelles autorités se concentrent sur le travail de terrain pour améliorer la sécurité des personnes et de leurs biens, et faire ainsi redéployer l’administration sur au moins une bonne partie du territoire afin d’aller aux élections. C’était sans compter avec la rudesse du combat contre les hordes de terroristes et leurs alliés ex-rebelles. Défis auxquels des manœuvres d’hostilité de la part d’anciens partenaires internationaux du pays se sont greffées. Ce combat pour s’affranchir de cette domination néocoloniale a plombé le circuit économique du pays, à travers les effets induits d’un embargo injuste, criminel et inhumain.
Cette situation a causé d’énormes tensions de trésorerie à l’Etat malien, mais le gouvernement a poursuivi ses efforts sans relâche pour apporter un mieux-être aux populations. Ceci, par une coopération hardie, notamment avec la Russie, afin de doter le pays d’unités industrielles et de structures de progrès économiques palpables.
C’est dans ce sens que le ministre de l’Economie et des finances vient d’annoncer la construction, dans les prochains mois, d’une centrale nucléaire pour une production énergétique record.
Cette centrale nucléaire devrait permettre au Mali d’atteindre une autosuffisance énergétique et même exporter de l’énergie électrique vers d’autres pays de la sous-région ; ce qui serait une prouesse de haute portée pour le pouvoir du Col Assimi Goïta.
Quand on connaît l’importance stratégique d’une centrale nucléaire dans un pays au cœur de convoitises géopolitiques et dans un Sahel en proie à des velléités bellicistes de puissances étrangères, l’on ne peut que se féliciter d’un tel projet et croiser les doigts pour sa concrétisation à brève échéance.
En outre, au crédit de cette transition, en terme de prouesse d’industrialisation du pays, il faut citer l’installation récente d’une usine de production de lithium dans les encablures de Bougouni. Cette usine, fruit de la coopération avec l’Australie, permet de résorber un tant soit peu le chômage et d’apporter de la valeur ajoutée au circuit économique du pays. Et les sources officielles assurent que cette unité industrielle va booster substantiellement le PIB du Mali, alors que le pays est en guerre. Ce qui constitue une performance économique inédite à mettre à l’actif du gouvernement de Transition.
Par ailleurs, il est faait cas de plusieurs projets industriels et de constructions d’infrastructures socio-économiques dans divers endroits du territoire national, mais c’est les actions de sabotages des groupes terroristes et de leurs alliés proches des ex-rebelles qui empêchent leur concrétisation.
Tout compte, le gouvernement de Transition, en guerre pour la réaffirmation de la souveraineté du pays et pour la reconquête de l’intégrité du territoire national, mérite d’être soutenu dans ces efforts louables plutôt inédits.
Boubou SIDIBE/maliweb.net
Il faut quatre ans pour construire une centrale nucléaire efficace et non dangereuse. Un bon projet à moyen terme mais peut on y croire dans un pays dont la capitale n est même pas capable d organiser le ramassage de ses ordures ménagères. Vive la souveraineté retrouvée des ordures ménagères !
I believe those promoting return to constitutional order are referring to corruption with impunity ways of old government that got us into this mess that will take several more years to cleanup plus have Mali on best economic passage under total circumstance featuring what we need as nation plus what we may deliver in steps plus stages. Those who promote returning to old ways desire to make worst of peasants out of Malians whereas as is we offer all Malians steps plus stages way out of being peasant. I am sick plus tired of selfish bitch men encouraging return to constitution before work have been completed that will allow governance under new constitution to be all it should easily be. World do not give stupid break. We will not return to being stupid in order to please incompetent political class that have found their true value is little under Mali moving forward in structured way we all may observe. Political Class need focus more at fulfilling useful conditions having no input in politics. Thereto we will be able to determine who is fit of political class to help govern Mali.
Henry Author Price Jr aka Kankan
Toute action de développement entreprise dans le cadre de la transition est un ACTE ****
UN GOUVERNEMENT EST UNE STRUCTURE POLITIQUE.
Ce qui signifie que cette structure est chargée de solutionner les problèmes qui occupent la population.
ON NE PEUT DÉCIDER POUR LA POPULATION QUE SI ON CONNAÎT SES PRÉOCCUPATIONS.
C’est pourquoi un TECHNOCRATE de doit pas être membre du gouvernement.
Pour être politique, il faut être avec la population soit à travers une association ou un parti politique.
C’EST AU CONTACT DE LA POPULATION QU’ON FORMULE DES SOLUTIONS.
On divague,si on n’est pas membre soit d’une association ou d’un parti politique.
C’est cette divagation qu’on constate depuis que CHOGUEL MAIGA, membre du M5-RFP, a accepté de se soumettre aux COLONELS au lieu de s’engager à rendre réel les recommandations qui ont fondé la vision du mouvement populaire contre IBRAHIM BOUBACAR KEITA.
Que le ministre de l’économie, dépourvu de VISION POLITIQUE,tente de booster les activités économiques dans le cadre d’une transition boudée par les partenaires économiques,c’est s’engager à infantiliser les maliens.
SEULS LES MEMBRES D’UN GOUVERNEMENT ISSU DES ÉLECTIONS SINCÈRES ET TRANSPARENTES PEUVENT AIDER L’ÉCONOMIE MALIENNE À S’ÉPANOUIR COMME ALPHA OUMAR KONARE ET SES CAMARADES L’ONT FAIT ENTRE 1992 ET 2002.
Cette période de notre nation est un exemple à suivre, si le Mali veut se remettre sur le chemin du développement comme l’ADEMA PASJ l’a fait.
D’UN ÉTAT EN FAILLITE SE PRÉOCCUPANT À PAYER RÉGULIÈREMENT LES SALAIRES DES FONCTIONNAIRES,BOUDÉ PAR LES ENTREPRISES TANT IL ÉTAIT INCAPABLE D’ASSUMER LE PAIEMENT DES MARCHÉS PUBLICS, ALPHA OUMAR KONARE ET SES CAMARADES ÉLUS DE FAÇON TRÈS TRANSPARENTE EN 1992 ONT FAIT DU MALI UN ÉTAT CRÉDIBLE AVANT LA FIN DU DEUXIÈME QUINQUENNAT.
Le paiement des salaires n’était plus une préoccupation, les entreprises se bousculaient à competir pour les marchés publics,le PIB du Mali a atteint un niveau inimaginable en 1992.
CE QUI A PERMIS AU MALI D’ENGAGER DES INVESTISSEMENTS DIGNES DES PAYS QUI BRILLENT DANS LE MONDE.
Des sommets internationaux sont organisés, la coupe d’Afrique des nations defootballaussi.
Ce qui a permis au successeur d’ALPHA OUMAR KONARE de démarrer dans les bonnes conditions nationales et internationales.
Il s’agit de rendre possible un GOUVERNEMENT LÉGITIME,pas de s’engager dans des actions de développement qui n’ont pas la validation du peuple.
LE PEUPLE MALIEN DOIT SE PRONONCER D’ABORD AVANT TOUTE PRISE DE DÉCISION.
Il sait qu’avec des RÉFORMES COURAGEUSES,possibles quand on a la légitimité populaire,on peut donner de l’électricité aux maliens sans se risquer dans des actions qui sollicitent le nucléaire.
Pendant les campagnes électorales, si on accepte s’organiser les élections sincères et transparentes, des propositions plus séduisantes que le nucléaire seront faites par les différents candidats.
Le peuple fera son choix.
Il faut rappeler qu’en 2002 et en 2013,le peuple a fait son choix en fonction des propositions séduisantes qu’ATT et IBK ont été incapables de réaliser
ATT a séduit les maliens par son engagement à lutter contre la corruption guidant un homme politique comme CHEICK OUMAR SISSOKO a travaillé dans son gouvernement.
IBK a séduit les maliens par ses propositions de ramèner la sécurité.
Il a été incapable de réformer l’armée malienne minée par la corruption.
Le peuple malien veut élire ses représentants, pas de subir des escroqueries!!!!