Quotidien des Bamakois : La vie n’est pas facile !

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La vie à Bamako n’est pas facile aime-t-on le dire. La cherté de la vie à Bamako va crescendo. Comparativement à leurs revenus, les Bamakois font face à d’autres charges plus ou moins obligées qui compromettent les dépenses alimentaires. Par leurs effets pervers sur la population, ces charges constituent une réelle menace sur l’alimentation dont le prix également flambe de jour en jour, mettant des chefs de familles salariés et autres travailleurs dans des difficultés voire l’impossibilité de se nourrir et nourrir convenablement leurs familles.

Le défi interpelle chacun. L’hypothèse est confirmée par des sources de l’INSTAT. Selon  l’Enquête Modulaire et Permanente auprès des Ménages (EMOP) 2014/2015 réalisée par l’Institut National de la Statistique avec l’appui de la Suède, « près de 20 % des dépenses vont dans les charges de location et d’entretien des logements, 14,1 % environ dans le transport  et 8,5 % dans la communication ». La part des dépenses de consommation alimentaire y compris l’autoconsommation est évaluée à 56,6 %. Dans ces conditions, se nourrir devient pour le citoyen moyen un casse-tête.

Les autorités doivent prendre des mesures  pour alléger les souffrances des Bamakois.

DK

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84 COMMENTAIRES

  1. 🙄 🙄 🙄 ,
    Je suis Mr. Le journaleux mais ce n’est pas ceux que moi Je vois a travers la capitale chaque jour. L’argent se donné et se bousille a ciel ouvert comme on le cueillierait dans les arbres.
    En plus on ne se contente pas a ceux que Nous avons jusque faire paraitre et se mettre un niveau ou nous ne sommes pas . Nous ne vivons d’autres dessus de nos moyens 😆 .
    Donc Je suis desolé je n’ai pas pitié et tant mieux. Ceux et celles qui ont besoin d’aides sont nos parents dans nos villages qui souffrent sinon Bamako et les autres capitales regionales 😆 😆 😆 , Je m’en balance 😉 .

  2. Malgré la crise que nous traversons, l’Etat n’a aménagé aucun effort à consacrer au bien-être des citoyens. Il faut que les uns et les autres comprennent cet état de fait et encourager le gouvernement dans cette dynamique.

  3. “La vie à Bamako n’est pas facile aime-t-on le dire.”
    Comme vous DK l’aimiez le dire. Contrairement à ce que vous vous voulez nous faire croire, le gouvernement fait beaucoup d’effort pour le bien-être de la population. Nous encourageons le gouvernement à toujours oeuvre pour le bonheur de la population malgré les difficultés.

  4. “Quotidien des Bamakois : La vie n’est pas facile !”
    Ne cherchons pas de bouc émissaire ce sont nos commerçants et vendeurs qui sont à la base de cette situation. Il faut donc punir par des amendes ceux qui se rendront coupables de spéculations car l’état fait déjà sa part à travers les subventions de certains produits.

  5. “Le défi interpelle chacun.”
    Effectivement, le défi nous interpelle tous, mais en particulier nos commerçants. Car, ces derniers sont les premiers responsables de cette cherté de la vie. Que voudraient les efforts de l’Etat si ceux-ci n’honorent pas leurs engagements dans ce challenge ? Je dirai à RIEN. Donc que chacun respecte ses engagements dans cette lutte commune.

  6. Les autorités doivent prendre des mesures pour alléger les souffrances des Bamakois. 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁
    Il faut vraiment que les autorités chargées du contrôle des prix prennent des mesures répressives contre les personnes qui ne respectent pas les prix fixés par le gouvernement et aussi ceux qui font de la concurrence déloyale.

  7. “La part des dépenses de consommation alimentaire y compris l’autoconsommation est évaluée à 56,6 %. Dans ces conditions, se nourrir devient pour le citoyen moyen un casse-tête.
    Les autorités doivent prendre des mesures pour alléger les souffrances des Bamakois.”
    8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8)
    Les dispositions sont déjà prises car l’état subventionnent les engrais et certains produits de premières nécessités afin que les produits puissent revenir moins chers aux populations. Mais les commerçants qui veulent se faire des profils allant souvent jusqu’à 150% sont les responsables de cette situation.
    Comment comprendre par exemple qu’on achète 1 kilo de tomates au paysan pour 400f et le revendre à 1000 f?

  8. La flambée des prix des denrées alimentaires sur le marché de jour en jour est le fait de nos commerçants malgré les efforts consentis par l’Etat. Il faut que chacun joue son rôle pour le bien-être de la population.

  9. A mon humble avis, cette situation incombe en grande partie par nos commerçants. En effet, les prix des denrées augmentent tout le temps par ces derniers malgré les efforts de l’Etat. Nous sommes responsables de cette situation.

  10. « près de 20 % des dépenses vont dans les charges de location et d’entretien des logements, 14,1 % environ dans le transport et 8,5 % dans la communication »
    Aujourd’hui nous faisons face à une triste réalité car nous aimons vivre au-dessus de nos moyens; comment pouvons nous nous en sortir?
    Ce n’est pas une question de gouvernement mais une question de limiter ses dépenses au strict NÉCESSAIRE car on ne peu pas mettre 8% de son salaire ou de son budget dans la communication.
    A quelle fin? Et on veut bien vivre. Les cours du carburant sont ajustés selon les cours mondiaux mais il n’y a pas répercussion sur le coût du transport. Il revient aux associations de consommateurs de mener des actions dans ce sens.

  11. Pour ma part, je pense que monsieur DK, vous feriez mieux de relayer les faits tels qu’ils sont. Cette cherté est du en partie par nous même du jour au lendemain le prix des denrées alimentaires grimpent. L’Etat n’est-il le responsable? Je NON ! Il faut que chacun joue son rôle.

  12. Cette situation est imputable à nos commerçants car ils augmentent les prix comme bon leur semble.
    Imaginez vous un instant je prends un exemple banal: une plaquette d’œufs que j’ai l’habitude d’acheter à 2000 et que le commerçant me dit que le prix est de 2300 francs sans pouvoir donner de raison valable à mes questions. Est ce que là encore c’est la faute au gouvernement?
    Soyons objectifs et voyons les choses en face car nous sommes nous même responsables de cette situation.

  13. La vie à Bamako n’est pas facile aime-t-on le dire. La cherté de la vie à Bamako va crescendo. 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8)
    Mais si nous sommes des spécialistes de la spéculation comment pouvons nous bien nous ne sortir.
    Malgré les normes que posent l’état concernant la fixation des prix; chaque commerçant impose le prix qui lui sied prétendant qu’il a obtenu les marchandise à un coup élevé pourtant souvent il s’agit des produits subventionnés par l’état. C’est donc normal que les choses deviennent chères.

  14. Je vous informe que les résultats dont vous parlez sont des résultats qui ne sont pas fiables.
    Le président IBK a trouvé le pays dans une situation qui n’était du tout reluisante.
    Mais il fait en ce moment tout son possible pour relever le niveau de vie de ses compatriotes.

  15. Les maliens doivent être un peu indulgents à l’endroit de ce pouvoir vu les conditions dans lesquels il a trouvé ce pays.
    Au vu de ce qu’il a déjà accompli,nous devons rester confiants et soutenir le président IBK pour tout ce qu’il fait pour nous.

  16. Mon cher DK, concernant la cherté de la vie dont vous évoquiez, l’Etat a déployé tous les moyens possibles pour lutter contre ce phénomène malgré la crise que nous traversons. Arrêtez d’empirer la situation comme quoi la population Bamakoise souffre le martyre.

  17. Pauvre journaliste, que voulez-vous que le président IBK fasse exactement, il est venu au pouvoir pour mettre fin à la corruption, au vol des ressources de l’état et il est en train de tout pour que ceux qui se rendent coupables d’actes répréhensibles soient punis.
    Malgré les efforts fournis par le chef de l’État certains journalistes tentent de nuire à sa gouvernance.
    Arrêtez de publier de tels articles, car ça n’a aucune importance et cela n’apporte rien à la population.
    VIVE LE PRÉSIDENT IBK
    VIVE LA PAIX ET LE DÉVELOPPEMENT
    VIVE LA RÉCONCILIATION NATIONALE

  18. Contrairement à ce que disent certaines personnes sur les conditions de vie des maliens,moi je dirai que la situation n’est pas aussi dramatique que ça.
    Le président IBK a hérité d’une situation dégradée laissée par la crise de 2012.
    Mais avec son acharnement au travail,les choses sont rentrées dans l’ordre pour notre bonheur.
    Merci IBK.

  19. Actuellement le Mali est sur le chemin du bonheur, car depuis l’arrivé d’IBK au pouvoir, il a réussit à maintenir la paix et la sécurité. Le président de la république l’a affirmé et les chiffres le démontrent notre pays pourra très bientôt se lancer sur la voie du développement pour le bien de tous.
    Le Mali est en train de tourner la page de 20 ans de corruption de vol, de la tricherie, de violences, de détournement du dernier public et il n’y a pas de raison de ne pas y croire.
    LE MALI AVANCE

  20. La population est fier de IBK, car c’est la solution, il est médicament de notre maladie, IBK fait la fierté du Mali. Il mène ce pays dans le droit chemin.Malgré la crise il a réussit à maintenir le pays sur la voie de la croissance et on doit l’encourager.
    Tout ce qu’il a dit, il le fera seulement certains journalistes cherchent à salir son nom.

  21. “Les autorités doivent prendre des mesures pour alléger les souffrances des Bamakois.”
    Tout à fait, les autorités mettront tout en oeuvre pour alléger les souffrances des Bamakois voire toute la population entière. Mais, l’Etat lui seul peut pas tout faire. Donc, il faut que nous lui facilitons cette tâche.

  22. Le président IBK à trouvé la condition de vie des maliens dans des conditions plus que délétère.
    Mais depuis son arrivée lui et son gouvernement ne cessent de se battre pour changer cette situation.
    Nous sommes confiants car nous commençons à sentir déjà les retombées.
    Merci président.

  23. “Quotidien des Bamakois : La vie n’est pas facile ! ”
    La vie n’a jamais été facile. Mais, l’Etat est entrain de mettre tout en place pour remédier à ce phénomène grandissant dans notre société. Cela ne saurait se réaliser sans la volonté de tous car nous population sommes coupables aussi de cette cherté de vie.

  24. Tout ce que nous devons faire c’est de soutenir le président pour ce qu’il fait dans le sens du bien être des maliens.
    Nous sommes certains que la nouvelle année sera le couronnement de tous les efforts consentis et verra les conditions de vie des maliens s’améliorer.
    Merci président… 😛 😛 😛

  25. Vous vous acharnez sur le Président et sa politique.Lui il travaille sans même vous écouter.Comprenez donc que ce que vous dites n’est pas du tout important.IBK a un seul souci: le bien être de ses compatriotes.
    Merci président,ton peuple te soutient. 😛 😛 😛 😛

  26. Les livres saints ont dit que chacun mangera à la sueur de son front.Mais toi tu es assis dans un salon à écrire des articles de merde,c’est sûr que tu vas souffrir.Mais de là étendre ta situation à tous les maliens,vous êtes dans le faux.Le président fait tout son possible pour que ses compatriotes soient à l’aise.Merci à IBK et vive le Mali.

  27. La cherté de la vie est un phénomène mondial donc ne cherchons pas à soulever des discours de sourds.
    Des mesures sont en cours sur le coût des maisons. Les propriétaires des maisons profitent pour augmenter les loyers.
    Cette cherté nous avons notre part de responsabilité dans cette histoire. Les commerçants augmentent les denrées comme ils veulent alors qu’il n’y a plus de barrages sur nos routes
    Nous venons d’une crise donc cela n’est pas facile. IBK a mis une équipe très compétence pour la lutte contre la pauvreté
    La cherté de la vie ne date pas d’aujourd’hui c’est la loi du commerce celle de l’offre et de la demande.

  28. Le travail du Ministre de l’économie et des finances, son dévouement, son envie de bien faire, son engagement et sa volonté de voir ce pays se développer font qu’aujourd’hui notre pays a atteint un niveau de croissance record jamais égalé, soit 7,2% de croissance !!!

  29. Avec IBK l’espoir est permis, Oui, l’espoir est permis, parce qu’il existe un cadre pour le processus de paix, avec la signature de l’Accord d’Alger, dont la mise en route permettra à notre cher pays de recouvrer la souveraineté perdue dans la région de Kidal.
    Oui, l’espoir est permis, parce que le Mali bouge. Malgré les difficultés conjoncturelles, le Mali progresse, avec un taux de croissance de 7,2%, contre 1,7% au moment où IBK venait aux affaires, en septembre 2013. Qui dit mieux!

    Oui, l’espoir est permis, parce que le Mali est un pays où le climat des affaires est propice, un pays prisé par les investisseurs, qui se bousculent au portillon. Le Représentant de la Banque Mondiale pour les opérations au Mali vient de confirmer que les clignotants à Bamako sont au vert et son institution encourage les porteurs de projets à venir au Mali.
    Même son de cloche chez le Représentant du FMI au Mali, qui martèle haut et fort qu’avec l’avènement d’IBK au pouvoir, «le Mali a décollé».
    Pourquoi inciter la haine mon cher pacotille de journaliste

  30. DK vous êtes à la fois sadique et cynique
    Vous manquez de formation de journaliste sinon IBK a fait beaucoup il faut que les commerçants lui emboîtent pas.
    Une honte pour notre pays si jamais vous en êtes un
    INTOXICATEUR

  31. Les réformes qui ont apporté une bouffée d’oxygène à notre économie. L’annulation des 45 milliards de F CFA [68,6 millions d’euros] de dette avec la France, le retour de l’aide au développement, ainsi que la signature de nombreuses conventions de financement portant sur la réalisation d’un grand nombre de projets illustrent ce retour de confiance de nos partenaires

  32. Le compte courant de la balance des paiements s’est considérablement amélioré ces douze derniers mois, ce qui traduit le gain de compétitivité de l’économie malienne
    Il faut des volontés privées car l’état seul ne peut tout faire.

  33. Je suis malien et je suis fier voir même heureux d’apprécier avec honnêteté les bienfaits de IBK. Pendant que d’autre pays souffre de martyre soyons tous fier des compétences d’IBK. C’est le meilleur.

  34. J’ai confiance en l’état malien. En sa souveraineté et en sa qualité de gérer les affaires de l’état.
    De part et d’autre nous pouvons affirmer que le mali est un pays ordonné depuis la superbe venu de IBK. J’ai confiance en notre président et je croix en lui

  35. la politique n’est pas faite pour ceux qui ne veulent pas comprendre. Le journalisme du mali court directement à la dérive. Pour parler d’un état en faillite il faut d’abord évaluer les médias qui n’informent pas la population des actions posées par l’état malien.

  36. Les critiques toujours des critiques, rien que des critiques et encore des critiques à l’encontre de l’État. La presse malienne, depuis fort longtemps a stoppé son rôle primordiale qui reste celui de l’information, elle a maintenant pour rôle de perturber la conscience publique et stabilité politique.

  37. les finances publiques ont recouvré leur santé. En ce qui concerne les opérations avec l’extérieur, le compte courant de la balance des paiements s’est considérablement amélioré ces douze derniers mois, ce qui traduit le gain de compétitivité de l’économie malienne.

  38. Selon le FMI, le taux de croissance prévu pour 2016 s’établirait à 5,4 %
    Pour conforter cette relance économique, le Mali mobilisera 453 milliards de F CFA au terme de l’année 2015 sur le marché sous-régional, où le pays jouit à nouveau d’une bonne cote. Ce qui laisse augurer de belles perspectives.

  39. Par le biais de la corruption que subit notre pays Nous pouvons affirmer que la corruption des médias bat son plein dans ce pays. Les différents partis politiques contrôlent les médias en vue de solliciter leurs œuvres
    la vie a toujours été cher et personne ne s’est plein depuis les présidents antecedants

  40. Le gouvernement malien a entrepris de nombreuses réformes incitatives afin de valoriser son formidable potentiel naturel. Grâce à un code des investissements très attrayant, Bamako entend redorer son image et devenir la plaque tournante des investisseurs.

  41. Pour moi l’état malien est à sollicité. Il faut comprendre et savoir qu’en moins de 2ans IBK n’a jamais cessé de nous surprendre, à savoir les 3milliards d’euros et l’arrivée des futurs investisseurs.
    IBK est à saluer et à encourager

  42. Vous savez chers journalistes le mali regorge en lui d’énormes qualité politique et un entourage intellectuel et travailleurs. C’est ça le mali .il faut encourager l’état malien dans ces action pour vous mettre en sécurité. Merci IBK et vive le Mali.
    Vous savez aussi bien que le mali de par se terre importe certains produits des pays voisins.
    Alors IBK a quoi à voir là dédans. Président le peuple t’encourage.Travaille

  43. « En 2014, l’économie malienne a renoué avec une croissance vigoureuse, enregistrant une augmentation de 7,2% du PNB. Ce chiffre est à comparer aux résultats de 2012, année où la croissance a été nulle en raison de la crise sécuritaire », a déclaré vendredi Christian Josz, chef d’une délégation du FMI qui s’est rendue à Bamako.
    Au cours d’une conférence de presse, il a rappelé qu’en 2013 « la croissance n’a pas dépassé 1,7% à cause d’une mauvaise récolte ». Le pays avait plongé en 2012 dans une très grave crise marquée par un coup d’Etat militaire et la prise de contrôle du nord du pays par des groupes islamistes – alliés à Al-Qaïda – jusqu’au début 2013.
    Interrogé sur l’achat d’un avion présidentiel et d’équipements militaires dans des conditions opaques qui avait provoqué l’ire du FMI, M. Josz a estimé que le Mali avait mis de l’ordre dans ses affaires. « La situation a été régularisée, des mesures ont été prises « a-t-il affirmé.
    « Le dernier trimestre 2014 a été marqué par des efforts importants pour renforcer la gestion des finances publiques en insistant sur le respect des règles budgétaires et de passations des marchés », a-t-il ajouté.
    Se félicitant de la confiance retrouvée entre son pays et le FMI, Mamadou Igor Diarra, le ministre malien de l’Economie, a déclaré que « le gouvernement malien était décidé à lutter contre la culture de l’impunité et à s’atteler à avoir une économie performante pour assurer le développement du Mali ».
    Alors qu’a fais le président

  44. « En 2014, l’économie malienne a renoué avec une croissance vigoureuse, enregistrant une augmentation de 7,2% du PNB. Ce chiffre est à comparer aux résultats de 2012, année où la croissance a été nulle en raison de la crise sécuritaire », a déclaré vendredi Christian Josz, chef d’une délégation du FMI qui s’est rendue à Bamako.
    Au cours d’une conférence de presse, il a rappelé qu’en 2013 « la croissance n’a pas dépassé 1,7% à cause d’une mauvaise récolte ». Le pays avait plongé en 2012 dans une très grave crise marquée par un coup d’Etat militaire et la prise de contrôle du nord du pays par des groupes islamistes – alliés à Al-Qaïda – jusqu’au début 2013.
    Se félicitant de la confiance retrouvée entre son pays et le FMI, Mamadou Igor Diarra, le ministre malien de l’Economie, a déclaré que « le gouvernement malien était décidé à lutter contre la culture de l’impunité et à s’atteler à avoir une économie performante pour assurer le développement du Mali ».
    Alors qu’a fais le président
    Alors on constate que l’économie malienne accroît et aussi la jeunesse comm)ience à beneficier des emploi alors quel est le problème

  45. “Les autorités doivent prendre des mesures pour alléger les souffrances des Bamakois” 😯 😯 😯 😯 😯
    Pas que, je suis désolé. Les autorités ne peuvent pas tout faire. Les plus riches, Dieu seul combien existent au MALI peuvent créer un réseau des généreux qui vont donner au plus pauvre et leur apprendre à entreprendre. On n’a pas d’être un américain ou un asiatique pour être pourvoyeur d’emploie dans son propre pays.

    Vous devriez dès à présent apprendre à réfléchir avec vos têtes. C’est à croire qu’en 2016, les gens dans notre pays pensent toujours que les politiques doivent tout faire 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁

    • Il faut une re – éducation de nos mentalités dans notre pays. Les régimes précédent ont trop abruti les populations.
      Je pense bien entendu à Alpha et à ATT, mais je n’oubli pas le con de SANOGO; le sommet de la bêtise

  46. Luanda, la capitale de l’Angola, est la ville la plus chère du monde pour les expatriés, plus que Tokyo, Moscou, Londres ou New York, selon le classement 2014 du cabinet d’études américain Mercer. Les prix flambent dans toutes les villes où coule de l’or noir : Ndjamena, Libreville et Lagos, mais les pétrodollars n’expliquent pas tout. Dix villes africaines, parmi lesquelles Bamako, Conakry et Dakar figurent aussi parmi les 50 villes les plus chères du monde.

    Luanda, la ville la plus chère du monde
    Dans la capitale de l’Angola, second producteur de pétrole en Afrique après le Nigeria, tout se compte en dollars. Les expatriés y réfléchissent à deux fois avant de sortir le soir. Le moindre verre coûte 20 euros, et le double pour un dîner au restaurant. Dans les fast-foods, des formules de base à 11 euros coûtent encore deux fois plus cher qu’à Bruxelles… Le salaire d’un policier de base s’élève à 320 euros par mois. Les logements neufs se vendent autour de 1 700 euros le mètre carré, mais les loyers sont hors de prix : 2 500 euros par mois pour un studio, jusqu’à 7 500 euros pour une maison. Depuis la crise financière de 2008, la ville attire une nouvelle vague d’immigration en provenance du Portugal. Des personnes attirées par l’emploi et les gros salaires qui correspondent au standing angolais.

    Ndjamena, pétrodollars et nouveaux buildings
    L’effet pétrole joue aussi dans la capitale du Tchad, même si le pays reste l’un des plus pauvres de la planète – 184e sur 187 pays, selon l’Indice de développement humain (IDH). Ndjamena n’en est pas moins la seconde ville la plus chère du monde dans le classement Mercer. Elle surpasse Hong Kong, Singapour, Zürich, Genève et Tokyo. Folie des grandeurs ? La Cité internationale des affaires, un complexe en chantier, comprendra deux tours de 23 étages. Un projet commandé par le président Idriss Déby à l’architecte sénégalais Pierre Goudiaby, pour un coût de 366 millions d’euros.

    Victoria, paradis fiscal des Seychelles
    La 13e ville la plus chère du monde n’est autre que la capitale des Seychelles. Située sur Mahé, la plus grande île de cet archipel de l’océan Indien (jadis nommée Abondance), cette ville de 25 000 habitants encaisse de fortes sommes d’argent en devises grâce au tourisme haut de gamme, aux exportations de vanille, de savon et d’écailles de tortue, mais aussi parce qu’elle est un paradis fiscal très discret. Depuis 2001, une loi empêche les étrangers de régler leurs notes d’hôtel en roupies des Seychelles. Ces îles sont aussi devenues un terrain de jeu pour les expatriés qui s’ennuient à Dubaï, à quelques heures d’avion. Yachts de luxe et villas de rêve se traduisent par des notes très salées, dans le moindre hôtel ou restaurant.

    Libreville, l’Afrique chic
    La capitale du Gabon arrive 19e dans le classement Mercer, après New York (Etats-Unis), Shenzhen (Chine) et Tel-Aviv (Israël) et juste avant Kinshasa. Pour une virée dans les hauts-lieux du luxe et les bas-fonds de cette ville pétrolière d’Afrique centrale, il faut lire les romans policiers de Janis Otsiemi. Où l’on apprend que « bongo » n’est pas seulement le patronyme des présidents, père et fils, qui dirigent le pays depuis 1967, mais aussi le petit nom qu’on donne à l’argent. Gros sujet de préoccupation pour tous les frappés du « mal de poche » : 20% de chômeurs et 33% de pauvres.

    Kinshasa flambe en billets de 100 dollars
    Forte dépendance vis-à-vis des importations, taux de change défavorable, circulation de très grosses sommes pour cause de commerce illégal de diamants et de minerais : tous les ingrédients sont réunis pour rendre la vie très chère à Kinshasa. Cent dollars, c’est le prix d’un dîner dans un restaurant huppé ou d’un taxi loué à la journée. Beaucoup de Kinois en sont réduits, pour se chausser, à se contenter de simples « babouches » (tongs en plastique), et pour se nourrir, à cultiver des légumes sur les trottoirs. Même les administrations du pays exigent d’être payées en billets verts et ne rendent la monnaie qu’en liasses de francs congolais.

    Lagos et ses îles huppées
    Cette mégalopole de 12 millions d’habitants est la 25e ville la plus chère du monde. Pour des raisons liées à la sécurité, expatriés et millionnaires nigérians vivent concentrés à Ikoyi et Victoria Island, deux îles huppées du centre-ville qui donnent sur la lagune. Là, un gin tonic est facturé 24 euros, trois fois plus cher qu’à Paris. Eko Atlantic City, le futur « Dubaï de l’Afrique », une extension du quartier d’affaires de Lagos Island, verra bientôt des buildings se dresser sur une île artificielle en cours de construction. Même à Lekki, un quartier de la classe moyenne et supérieure, on ne trouve aucun deux-pièces à moins de 1 300 le mois, payable d’avance sur 24 mois, sans compter le générateur, qui pompe 5 euros de diesel par jour au bas mot.

    Brazzaville, une ville qui carbure à deux vitesses
    Le grand jeu à Brazzaville consiste à montrer qu’on a de l’argent, à faire son shopping le week-end à Paris ou partir fêter son anniversaire à New York… L’élite sort dans des restaurants comme le Mami Wata, au bord du fleuve Congo, où l’on paie 60 euros son repas et 5 euros la bière. Au Nénuphar, un restaurant sympathique situé en face du marché Plateau, un gros poisson coûte encore 45 euros. Alors que les maisons du centre-ville se louent 1 500 euros, les loyers dans le quartier populaire de Bacongo vont de 60 à 150 euros. Les comptes sont vite faits, pour un instituteur au Congo, sachant qu’il ne gagne pas plus de 60 euros par mois.

    Bamako, l’effet crise et Minusma
    Devenue la 29e ville la plus chère du monde, juste après Brazzaville, Bamako reste la capitale d’un pays sahélien et pauvre, le Mali. Elle est pénalisée par l’effet de la crise politique de 2012 et 2013 sur son économie, avec la hausse des prix des produits alimentaires et du carburant. Le déploiement en juin 2013 d’une imposante Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation du Mali (Minusma), 12 600 personnes en uniforme, a fait flamber les prix : le marché s’ajuste au pouvoir d’achat élevé des casques bleus et des fonctionnaires onusiens.

    Conakry paie les lacunes du service public
    Classée 34e ville la plus chère du monde, la ville portuaire a gagné 12 places en 2014 dans le classement Mercer. Qu’est-ce qui coûte si cher dans la capitale guinéenne, en dehors d’un verre ou d’une nuit au nouvel hôtel Palm Camayenne, le premier cinq étoiles de la ville ? Réponse : les lacunes du service public ! Il faut payer l’essence du générateur, à raison d’un euro le litre, si l’on veut un minimum d’électricité. Et prendre sa voiture pour aller puiser de l’eau, afin de remplir des bidons qu’on stocke ensuite chez soi. Les appartements de luxe pour expatriés, avec eau, électricité et sécurité, se louent 2 000 euros par mois. Poster un gardien devant sa maison coûte au moins 50 euros par mois, tandis qu’un instituteur, avec son salaire de 35 euros, peut à peine s’acheter deux sacs de riz par mois.

    Dakar, le casse-tête de la dépense quotidienne
    A Dakar, 40e ville la plus chère du monde, trois places avant Abidjan, l’argent file à toute vitesse. Il faut sortir un billet de 1 000 francs CFA (1,50 euro) pour un kilo de sucre et juste un peu moins (1,20 euro) pour un litre d’essence. La préparation d’un yassa-poulet pour 8 personnes coûte plus de 10 euros – le prix d’un seul plat dans les restaurants chics. Les logements neufs au Plateau, le centre-ville, se vendent à 1 500 euros le mètre carré, aussi cher qu’aux Deux-Plateaux à Abidjan. Les prix ont flambé avec la crise ivoirienne de 2 000, qui a vu une cohorte de fonctionnaires internationaux et d’expatriés se rabattre sur Dakar. Un instituteur ne gagne pas plus de 300 euros par mois au Sénégal et un ministre 6 fois plus – sans compter les indemnités, logement et voiture de fonction qui font toute la différence…

    • Les journalistes aventurier ne prennent jamais la peine de se cultiver avant de parler bêtement. C’est une attitude propre aux journaleux maliens.
      “On ignore ce qui se passe ailleurs, mais on ose se plaindre” 😳 😳 😳 😳 SOPRANO

      Avec internet, on rencontre encore des gens avec une telle carence. J’en ai peur 👿 👿 👿

  47. La vie n’est facile dans aucune grande ville africaine. C’est une réalité qui n’existe pas seulement au MALI 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁

  48. A mon avis, la diminution des prix de location sont en cours avec le régime actuel. Des conférences ont été tenues à ce sujet, et selon ses dires, le gouvernement veut réellement abaisser les prix de locations au Mali.

  49. Je suis malien, et je suis conscient de la situation que nous traversons aujourd’hui. Mais quand on a la foi en Allah, ce pays ne restera pas dans cette situation. Tout peut changer du jour au lendemain.

  50. Rien ne peut échapper le tout puissant, ayons confiance en nos dirigeants et soutenons les dans leurs actions. Par contre, unissons nos forces et travaillons tous ensemble main dans la main.

  51. Nous ne pouvons pas dire que nos autorités ne travaillent pas malgré les difficultés. Mais, il reste à comprendre que les choses ne peuvent pas rentré dans l’ordre en un clin d’œil. Les choses peuvent voir le jour au fur et à mesure.

  52. Le Mali est un pays qui a assez souffert je le sais, mais comme on le dit chez nous au Mali « tout peut rester petit sauf la volonté d’Allah ». Ce pays va grimper un jour ou l’autre on oubliera toutes ces difficultés.

  53. Je convie mes compatriotes à rester vigilant et de soutenir nos autorités. Concernant les locations à Bamako, ils ont initiés de tout faire pour diminuer ses prix. Nous devons les faires confiances et les soutenir.

  54. Les maliens se plaint chaque jour de la cherté de la vie, mais notre nation ne demeurera pas dans cette situation. Ce pays est béni, les bénédictions d’Allah et nos parents l’accompagnent jour et nuit.

  55. Les Bamakois ne sont pas les seuls concernés par la cherté de la vie, mais nous devons comprendre que nos dirigeants travaillent. Nous devons justes les donner du temps et attendre la fin de ce mandat pour les juger.

  56. Entre nous malien, nous pouvons faciliter la vie sans que le gouvernement intervienne. Les marchands ont le pouvoir d’alléger certaines situations en diminuant les prix. Cela pourra facilité la tâche.

  57. C’est vrai que ça ne va pas au Mali en ce temps-ci, mais les choses pourront se redresser si on donne du temps à nos dirigeants. Soyons patient et attendons, le Mali ne restera pas ainsi.

  58. De toute évidence, le pays va mal mais nous devons comprendre que la population aussi a une part à jouer dans cette situation. Entre nous, nous devons penser à diminuer les prix des premières denrées alimentaires.

  59. Il est temps que la population aussi joue son rôle dans la gestion du pays. Il y’a des commerçants qui vendent des produits à un prix élevé au delà du prix fixé par le gouvernement ce qui rend encore la vie très difficile.

  60. Le Mali est un pays qui sort de la crise, la cherté de la vie au Mali c’est normale et nous devons tous soutenir nos dirigeants pour vite sauver le pays. 🙁 🙁 🙁

  61. Tout n’est pas la faute au gouvernement, ni au président de la république. Les autorités font tout pour que la population vive dans le confort mais le problème vient de cette même population qui n’a pas pitié d’elle même.

  62. La cherté de la vie est un problème de nous tous et cela dépend de nous tous aussi. Il faut qu’on se place tous au cœur des calvaires et des maux de la société.

  63. Dans tous les pays d’Afrique la cherté de la vie est devenue presqu’un quotidien. Notre pays traverse l’une des crises les plus pénible de son existence. Les marchandes, transporteurs, opérateurs économiques et commerçants grossisses comme détaillants de mauvaise foi profite de la situation.

  64. Certes, actuellement la vie est dure, le quotidien de la vie devient de plus en difficile pour plusieurs personne, le gouvernement est au courant de cette situation. Le gouvernement est en train de prendre des dispositions possibles pour que la population malienne puisse au moins être soulagée dans l’obtention de son quotidien.

  65. La cherté alimentaire est un phénomène née lors des régimes passés, le régime actuelle n’est pas le fautif. Le gouvernement depuis un certain moment est en engager dans ce domaine et cela dans le seul but de rendre la vie alimentaire facile à la population.

  66. Tu as raison, le gouvernement malien depuis un certain temps commence à faire des travaux salutaires dans ce domaine. Le gouvernement au paravent a reçu à subventionner le prix de plusieurs denrées alimentaires sur le marché.

  67. Je comprends l’inquiétude de la population, mais la population doit prendre son mal en patience. Vue cette crise multidimensionnelle dont traverse le pays, le gouvernement n’arrive pas à ce tourner comme il le faut dans ce problème.

  68. Moi ce dont je ne comprends pas dans mon quartier, les commerçants détaillants ont pas tous la même quantité malgré que les prix sont les même. Surtout concernant les denrées de première nécessité. J’ai fait ma petite enquête et j’ai remarqué que c’est toujours la faute des fournisseurs mais très souvent des revendeurs aussi. Tout le monde à sa part de responsabilité dans cette affaire de la hausse des denrées de première nécessité.

  69. Tu as raison comme le dit l’adage bamanan « La dépouille de la chèvre est sans propriétaire et l’hyène se décide toujours propriétaire ». C’est dans ce genre de situation que la population devient elle-même son pire ennemie. La cherté de la vie n’est pas que la faute du gouvernement la population aussi est fautif dans cette affaire.

  70. La cherté alimentaire est un phénomène née lors des régimes passés, le régime actuelle n’est pas le fautif. Le gouvernement depuis un certain moment est en engager dans ce domaine et cela dans le seul but de rendre la vie alimentaire facile à la population.

  71. Bamako est la ville la plus chère du Mali. Tout est cher dans cette ville. Mais je ne vois aucune responsabilité des autorités.

  72. La vie n'a jamais été facile à Bamako, mon cher journaliste. Depuis que j'ai connu cette ville, les hommes vivent dans la cherté. C'est l'Homme bamakois même qui aime la cherté. Cela n'est pas la faute aux autorités.

  73. La cherté de la vie dans notre pays a été le quotidien des maliens depuis la gouvernance d’Alpha Oumar Konaré en passant par celle d’Amadou Toumani Touré, le médiocre des chefs d’Etat médiocres de cette planète. Je me souviens lors d’un de ses discours, ATT disait aux maliens que chacun est entre les mains des bienfaits et des bénédictions de sa chère mère (en Bamabar: Bè bi Ba bolo). Ce n’est pas aujourd’hui que le malien est confronté à ces maux, il s’agit de la cherté de la vie et du calvaire au quotidien de la ménagère.

  74. La cherté de la vie n’est pas une chose d’extraordinaire dans un pays qui traverse la crise. Au moins Ibrahim Boubacar a pris le pouvoir en faveur de cette crise, contrairement à ses prédécesseurs. Les gestions de ces derniers ont été toutes frappées par les maux que vous dites ici, M. le journaliste. Et pourtant eux ils sont venus en temps normal. Je peux même dire qu’IBK a hérité de ces mauvaises gestions des affaires publiques qui ont donné naissance à la crise d’aujourd’hui.

  75. Ibrahim Boubacar Keïta a donné l’impression aux maliens de faire mieux que ses successeurs à travers ses actes patriotiques. Il s’agit de la signature d’un compromis de paix, de la loi de programmation militaire, de l’institution du poste de chef de file de l’opposition politiques, des 15552 logements sociaux de N’Tbacoro, des 16000 emplois créés, de la première place qu’a occupée notre aéroport dans l’Afrique de l’Ouest, des commandes des aéronefs, j’en passe. Cela pendant deux ans de crise multidimensionnelle. Il faut être un ingrat pour ne pas valider le bilan des 2 ans de gouvernance d’IBK.

  76. Je me demande ce que les attendaient et attendent toujours d’IBK. Après avoir été élu à la Magistrature Suprême de notre pays en période exceptionnelle, la rébellion qui n’épargne rien. Les compatriotes malintentionnés disent encore que la vie est devenue chère sous le régime d’IBK. Aucun malien n’est censé ignoré cette cherté depuis le régime d’Alpha Oumar Konaré. Mais je ne suis pas surpris d’attendre cela de la bouche d’un journaliste. Car nos journalistes sont tous des corrompus et des détracteurs payés par les opposants, tels que Soumaïla Cissé et Tiébilé Dramé.

  77. C’est aussi facile que cela de dire que la vie est chère à Bamako. Notre pays vient de traverser une crise. C’est le fondement de la cherté de la vie.

  78. Quand est-ce que les maliens comprendront que le président de la république ne doit et ne peut pas être tenu responsable de tous les maux du pays. Les frais de transports relèvent d’une structure qui a une tutelle. Pourquoi ne pas s’en prendre au ministre des transports?

  79. La cherté de la vie n’est pas du tout une fin. Comme on a l’habitude de le dire, çaa fini touours bien. Donc si ça va pas c’est que ce n’est pas la fin.

  80. Il y a des services qui doivent s’occuper de certaines choses. Le président à plein de choses à faire qu’il ne peut tout seul s’occuper de tout. Raison pour laquelle aussi les tâche dans une république sont partagés entre différentes structures.

  81. Vous êtes un sale égoïste, cher journaliste. Aujourd’hui, les maliens peuvent dire Dieu. Grâce à l’avènement d’Ibrahim Boubacar, les maux des maliens ont tendance à disparaître pour de bon. LA vie n’est plus chère comme elle l’était avant l’arrivée d’IBK.

  82. Monsieur le journaliste, en toute franchise, j’ai été déçu par votre article du jour. Je m’attendais pas à une telle analyse de votre part. Dites-moi en toute sincérité si la vie est toujours chère, malgré les efforts déployés par les autorités en places depuis fin 2013?

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