«Il n’y a pas de développement sans la promotion des concepts locaux d’autopromotion». Cette vérité générale, Boubacar Sangaré Bayini, Technicien de Télécommunications et conseiller municipal à la Mairie de la Commune I l’a bien comprise en faisant un investissement de plus de 20 millions de nos francs en Commune I du District de Bamako.
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rnDepuis 1999 où Boubacar Sangaré Bayini a été élu pour la première fois conseiller municipal, il s’investit pour l’imposition d’un cadre de vie adéquat dans sa Commune. Ses nombreuses réalisations à travers adduction d’eau et bitumage des rues des quartiers Banconi Razel et Zèguènèkorobougou sont visibles.
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rnAprès donc le lancement des travaux d’embellissement et de nivelage de la Rue 11 de Banconi Razel et la Rue menant à la Mosquée de Banconi Zèguènèkorobougou, nous l’avons rencontré à son bureau à la Mairie de la Commune I. Il faut alors souligné que son initiative a été saluée par la population locale. Ce qui a éveillé notre curiosité à en savoir davantage. «je m’investis depuis 1999 dans le développement de ma commune», dit-il.
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rnIl n’y a pas de développement sans infrastructures routières. S’il y a des infrastructures routières en Commune I du District de Bamako, il faut reconnaître que certaines sont impraticables : «Aujourd’hui je suis conseiller communal mais également usager de ces deux voies. A travers ce geste, je compte jouer ma partition dans le développement de mon pays. Après les travaux préliminaires, nous allons nous atteler au bitumage de ces rues et à leur éclairage. Et je compte étendre ces différentes réalisations à d’autres rues de la Commune I», a fait remarquer l’initiateur du projet de développement à l’occasion du lancement des travaux.
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rnMais avant, depuis 1999, Bayini a résolu le problème récurrent des populations de Banconi qui est le problème d’eau potable par la réalisation d’un château à partir duquel les populations s’approvisionnement, sans frais en eau potable : «j’ai fait ce travail en 1999 car j’avais constaté qu’il n’y avait ni robinet ni puits dans cette localité de la commune et les femmes se levaient depuis 2h -3heurs du matin pour se bousculer devant le seul point d’eau en plus de l’approvisionnement des citernes pendant la saison sèche». Voilà qui explique l’engagement du Mécène de la Commune I aux côtés de ses concitoyens.
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rnIl est utile aussi de rappeler qu’à cette œuvre salvatrice, s’ajoute la mise à disposition du quartier d’un marché aménagé et un terrain de football pour la jeunesse de Banconi.
rnPar ailleurs, Bayini a contribué pour beaucoup à la promotion de l’emploi en Commune I en aidant certains à s’insérer dans le privé et dans l’administration d’Etat : «j’ai aidé plus de 200 personnes à avoir un emploi, ceux qui ne sont pas lettrés, je les ai aidés à s’installer à leurs propres comptes».
rnAussi, un logement décent reste la préoccupation première de tout Bamakois; et Bayini a su trouver une réponse à ce souci pour le bien-être des populations de sa Commune : «j’ai aidé beaucoup de chefs de famille à sortir des affres de la location.» .
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rnEn fait, toutes les réalisations ci-dessus citées ont coûté à l’initiateur, le Mécène Boubacar Bayini, la bagatelle de plus de 20 millions de nos francs.
rnSamakoro KONE
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