La passerelle réalisée sur le marigot «Moussa Bonsi» a été baptisée «Mara». Elle met fin au calvaire des populations de cette chaussée qui mène à la Préfecture et reliant le quartier de Koko au reste de la ville de Kati.
D’un coût de plus de 1 500 000 francs CFA, la passerelle qui porte désormais le nom de Mara, fait le bonheur des Katois.
La cérémonie d’inauguration qui s’est déroulée le samedi 10 décembre 2011, a enregistré la présence du Maire de Kati, Hamala Haïdara ; du représentant du Préfet du Cercle de Kati ; de l’Imam de la grande mosquée de Kati, Bachir Kane ; des notabilités des quartiers de Noumorila et de Bamanaking.
Le Maire s’est dit très heureux du geste du parti Yelema qui a permis la réalisation de l’ouvrage. «La Construction de cette passerelle constitue un soutien de taille pour nous, autorités communales. Elle offre un meilleur cadre de vie aux populations de Kati. Au nom de l’équipe communale, je vous félicite et je vous en suis très reconnaissant», a déclaré le Maire de Kati, Hamala Haïdara.
L’assistance a eu droit à deux témoignages : ceux de Koulou Keïta, quinquagénaire et Fanta Sidibé, septuagénaire. Ils ont tous rappelé les nombreuses œuvres encore visibles de Joseph Mara, père de Moussa Mara, à travers la Commune de Kati. Cette action du fils Mara ne les surprend guère.
Quant à Moussa Mara, il s’est senti chez lui à Kati, une ville qui l’a vue naître et où il a passé les premières heures de son existence. «Je suis particulièrement sensible au sort de cette ville. Comme notre action s’étend au-delà de notre Commune, il est normal que nous venions à Kati pour réaliser des actions durables pour la quiétude des populations. Ce pont qui vient d’être inauguré améliore l’existence de plusieurs centaines d’habitants. Il relie le quartier administratif aux quartiers populaires. Je tiens à remercier particulièrement le Maire Haïdara pour sens élevé et son assistance dans la réalisation du projet», s’est réjoui Moussa Mara.
Cette action patriotique de haute portée de la part du premier responsable du parti Yelema et natif de Kati, doit servir d’exemple à tous les fils et filles de Kati.
Rappelons que les études de l’ouvrage ont été réalisées par le Cabinet architectural Souleymane Samaké. Après la coupure du ruban symbolique, la délégation s’est rendue à Kati Coco Plateau pour visiter le siège du parti Yelema à Kati.
Mamadou DIALLO
Election présidentielle 2012
Moussa Mara dévoile son plan de bataille
Le groupe de soutien à la candidature de Moussa Mara a procédé, le vendredi 9 décembre 2011 au lancement de ses activités s’inscrivant dans le cadre de la campagne présidentielle 2012. C’était au cours d’une conférence de presse.
Candidat à l’élection présidentielle du 29 avril 2012, Moussa Mara a dévoilé les grandes lignes de son programme, soit au total vingt thèmes conçus dans un document. Ces thèmes seront portés à la connaissance des Maliens lors d’une série de conférences de presse.
La première partie de ces thèmes s’articule autour de cinq axes d’intervention. Selon le conférencier, un Etat (administration, services publics et agents publics) déterminé à faire face à ses missions, doit prendre en compte certaines règles et principes majeurs dont l’impartialité, la neutralité et l’équidistance vis-à-vis de l’usager, de l’homme d’affaires, du parti politique ou du citoyen. Ils doivent tous être «traités indépendamment de leurs statuts, de leurs catégories ou des circonstances».
La promotion du mérite et la sanction des fautes sont des principes nécessaires à l’équilibre entre les régions, en termes d’infrastructures et d’accès au service de base.
S’agissant de l’évaluation des services de l’Etat, le parti Yelema est favorable à la reddition des comptes et la culture du résultat, les mandats et responsabilités publics. Ils se traduisent par un cahier de charges et un compte-rendu aux mandants.
Le deuxième axe porte sur la sécurité. Face à ce problème récurent, M. Mara s’engage à œuvrer pour rendre la justice efficace avec le règne de la probité morale et intellectuelle.
Quant au troisième axe, les acteurs de la justice doivent se rendre compte qu’ils sont un service comme tout autre, c’est-à-dire être à la disposition des usagers. A cet effet, le soutien au PRODEJ, la promotion de l’éthique et de la déontologie, le renforcement des capacités, l’amélioration des infrastructures judiciaires et des rémunérations des juges, sont autant de pistes.
Dans le deuxième segment «Un Etat qui impose son autorité », Moussa Mara propose les règles et principes majeurs permettant d’assurer le strict respect de tous les symboles de l’Etat, surtout l’hymne et le drapeau, et la règlementation efficiente des services publics par le respect des horaires de travail, l’occupation des postes de travail…
M. DIALLO
Election présidentielle 2012
Moussa Mara dévoile son plan de bataille
Le groupe de soutien à la candidature de Moussa Mara a procédé, le vendredi 9 décembre 2011 au lancement de ses activités s’inscrivant dans le cadre de la campagne présidentielle 2012. C’était au cours d’une conférence de presse.
Candidat à l’élection présidentielle du 29 avril 2012, Moussa Mara a dévoilé les grandes lignes de son programme, soit au total vingt thèmes conçus dans un document. Ces thèmes seront portés à la connaissance des Maliens lors d’une série de conférences de presse.
La première partie de ces thèmes s’articule autour de cinq axes d’intervention. Selon le conférencier, un Etat (administration, services publics et agents publics) déterminé à faire face à ses missions, doit prendre en compte certaines règles et principes majeurs dont l’impartialité, la neutralité et l’équidistance vis-à-vis de l’usager, de l’homme d’affaires, du parti politique ou du citoyen. Ils doivent tous être «traités indépendamment de leurs statuts, de leurs catégories ou des circonstances».
La promotion du mérite et la sanction des fautes sont des principes nécessaires à l’équilibre entre les régions, en termes d’infrastructures et d’accès au service de base.
S’agissant de l’évaluation des services de l’Etat, le parti Yelema est favorable à la reddition des comptes et la culture du résultat, les mandats et responsabilités publics. Ils se traduisent par un cahier de charges et un compte-rendu aux mandants.
Le deuxième axe porte sur la sécurité. Face à ce problème récurent, M. Mara s’engage à œuvrer pour rendre la justice efficace avec le règne de la probité morale et intellectuelle.
Quant au troisième axe, les acteurs de la justice doivent se rendre compte qu’ils sont un service comme tout autre, c’est-à-dire être à la disposition des usagers. A cet effet, le soutien au PRODEJ, la promotion de l’éthique et de la déontologie, le renforcement des capacités, l’amélioration des infrastructures judiciaires et des rémunérations des juges, sont autant de pistes.
Dans le deuxième segment «Un Etat qui impose son autorité », Moussa Mara propose les règles et principes majeurs permettant d’assurer le strict respect de tous les symboles de l’Etat, surtout l’hymne et le drapeau, et la règlementation efficiente des services publics par le respect des horaires de travail, l’occupation des postes de travail…
M. DIALLO