Face au retard dans l’exécution des travaux routiers, pas pour faute de ressources, le Ministre des Transports et des Infrastructures a pris sa responsabilité. Cela, en informant le Conseil des Ministres du mercredi 12 octobre dernier, de l’enclenchement du processus de résiliation des marchés des travaux d’entretien routier des entreprises défaillantes. Ainsi, il a été décidé de leur retirer les marchés qui leur ont été confiés.
Il s’agit des marchés qui rentrent dans le cadre du Programme spécial 2021 des travaux d’entretien routier et le Programme des travaux d’entretien des routes d’intérêt national lancés par le département des Infrastructure dans les régions de Kayes, Koulikoro, Sikasso, Mopti et le District de Bamako.
Il ressort du communiqué du Conseil des Ministres que « l’exécution de ces programmes a mobilisé d’importantes ressources financières qui ont permis de réaliser des travaux de redimensionnement, de curage de certains ouvrages d’assainissement et d’entretien exceptionnel de certaines voies ».
« Malgré la disponibilité des ressources, l’exécution des deux programmes n’est pas satisfaisante. L’état d’avancement des travaux est estimé à 10%, pour un délai consommé de 90% pour certaines entreprises engagées », précise le communiqué. Et le communiqué d’ajouter : « Les bureaux d’ingénieurs recrutés pour assurer le contrôle et la surveillance des travaux se sont montrés défaillants par le faible niveau du personnel mobilisé sur les chantiers, dans l’accomplissement de la mission et par leur incapacité à affirmer l’autorité sur les entreprises chargées d’exécuter les travaux ».
Par ailleurs, le communiqué précis que compte tenu de l’urgence de terminer ces travaux et d’abréger la souffrance des populations, le Ministère des Transports et des Infrastructures a décidé de résilier les contrats des entreprises dont les défaillances sur les chantiers ont été dûment établies par constat d’huissier.
À cet effet, le communique du Conseil des Ministres conclu : « L’exécution de ces travaux d’urgence à été confiée à d’autres entreprises qui ont montré leur capacité, conformément aux procédures fixées par le Code des marchés publics ».
Adama Coulibaly
La région de Kayes avait été confortée économiquement par la réalisation de routes de très bonnes qualité réalisées par une société Italienne. Qu’en est-il exactement.
Cordialement.
ça aussi c’est la France, voyez les maliens il faut que nous nous mettons au travail , le bavardage inutile ne servira à rien , allez voir dans les autres pays l’état de leur route surtout dans les capitales tu ne verras jamais des goudrons soudés( Sénégal -CI) pourtant des nationaux sont utilisés par ces états .Nous sommes défaillants dans tous les domaines jetez notre nullité sur les autres c’est une honte. Notre dignité , notre souveraineté , nous sommes un grand peuple des mots creux qui n’ont aucun sens. Un pays après 62 ans d’indépendance n’arrive pas à faire une simple route où se trouve notre dignité ? Un faux patriotisme mené par centaines personnes alimentaires manipulés par les princes du jour quelle fausseté ?
De connivence avec les entreprises locales de la place, les fonctionnaires véreux du Ministère des transports et de l’équipement se mettent en actions ensemble pour détourner toutes les ressources dédiées à l’entretien de routes du Mali sans aucun regret, en la matière il faut punir, punir et punir surtout pour un pays dont les ressources sont très limitées. Madame DEMBELE Madina SISSOKO doit être intransigeante eu égard à de tel comportements des agents de l’état. Il faut reconnaitre sans ambage que les entreprises locales sont habituées à des pratiques mafieuses avec des dessous de table et elles ne peuvent même plus travailler dans les règles de l’art et c’est dommage.
Tant que les punitions ne tomberons pas suffisamment, ces pratiques destructrices d’un pays ne cesserons pas, cela est sans équivoque indéniable. Sans punition nous nous situons dans une République bannière et les bandits continuons leurs pratiques indécentes et indignes pour la construction d’un bon pays.
Vous avez tout à raison, les entreprises sont habitués au dessous de table sans compétence, il ne suffit pas de résilier les contrats mais les sanctionner lourdement.
NULLE EST CETTE DAME.
PAR MOI-MEME, MAITRE FÉTICHEUR Á M’PETIONNAH, COMMUNE RURALE DE SOMAW’SO, CERCLE DE BLA, RÉGION DE SÉGOU, MALI JAMANA.
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