Le jeu trouble des autorités sur la route de Missabougou

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A quand les autorités vont-elles arrêter d’infantiliser les populations riveraines de la route d’accès au 3ème Pont de Bamako ? Au lieu des grands travaux tant attendus, elles continuent de leur offrir mirage et saupoudrage par une présence sporadique d’engins et d’ouvriers. Chacun de leur passage sur le chantier déclenche l’espoir d’un début de travaux aussitôt éteint par l’arrêt. Une véritable tragédie grecque à rebondissements, qui fait souffrir aussi bien les usagers que les riverains. Et pourtant, les avances de démarrage ont été perçues depuis 6 mois, selon nos sources, par l’entreprise Razel à laquelle revient la construction de la route. Le hic est que le même chantier en question est l’objet d’un cumul de financement. En effet, pendant que Razel est arrosé d’avances, d’autres entreprises sont inondées d’argent pour rendre opérationnelle la route. En effet, lesdites entreprises bénéficient si constamment des fonds d’entretien routier de la part de l’Ageroute qu’il y a lieu de se demander si le début des travaux n’est pas l’otage d’une collusion d’intérêts.

La Rédaction

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2 COMMENTAIRES

  1. Les maliens n’ont rien vu encore avec ces mensonges d’État pilotés par le ministre des “travaux publics” ! Bamako est aujourd’hui devenu l’une des plus grandes jungles urbaines du monde alors même que sa population n’est pas encore aussi grande (3 a 4.5 million). On a simplement besoin que d’une heure de course dans la circulation de Bamako pour vite découvrir le vrai visage de sauvagerie urbaine qui y sévit au quotidien: des centaines de milliers des motos a grande vitesse -MGV (100 a 120 km/h) avec des conducteurs (en grande majorité abrutis) sans-casques, sans- permis de conduire, sans-immatriculation; de millions de camion gros porteurs dangereusement déployés cote a cote avec voitures et motos sur des routes dégradées; des troupeaux d’animal de temps en temps divagant sur les routes; des véhicules en panne au beau milieu de la route a chaque 500 m qui y restent souvent 2 jours sans intervention de la police jusqu’à réparation sur place; des centaines de sales sotramas et taxis pollueurs d’air en tonnes de CO2…; une police routière commerciale qui se soucie rarement du bien-etre des usagers de la route, mais toujours plutôt focalisée sur les défauts techniques administratives des véhicules… ex., les vignettes périmées etc.. mais jamais un contrôle sur l’excès de vitesse ou sur l’état de sobriété de certains conducteurs sauvages qui tuent ou handicapent les maliens chaque jour que le bon Dieu fait!

    Depuis sept ans il n y’ a pas une seule route digne de ce nom qui a été construite par IBK a Bamako… sauf quelques bricolages. C’est ainsi que sous IBK Bamako est devenu la ville la plus infernale notamment en saison des pluies… où c’est des marrées de boue partout sur nos grandes artères … ex., l’artère Zone industrielle (Sonatam, Malilait etc..) jusqu’au rond-point du monument Gal Soumare a cote du 3e pont… des pourritures absolues! Je suis 100% sure que le president IBK n’a jamais été donne l’opportunité depuis 7 ans de circuler en voiture sur ces routes en saison des pluies…. il est probable que son entourage prendrait toujours soins pour contourner ses chemins quand il sort en véhicules vitre fumées. Pour comprendre ce que le Malien ressent dans la circulation de Bamako, je proposes a IBK une petite tournée tracée ainsi:
    – prenez un taxis ordinaire a un jour de grande pluie a 16h a partir de Koulouba
    – dites au conducteur de prendre le chemin de sougounikoura vers le restaurant blabla pour accéder a la route de Koulikoro- 3e pont- moussabougou- yirmadio- Tour de l’AFRIQUE- 30m faladie- niamakoro- kalaban- kalabancoro- kabala universite.

    Je suis 100% sure qu’une telle tournée suffirait a clairement montrer a IBK l’enfer terrestre que les maliens a Bamako loin de ses routes expresses Sebenicoro-Koulouba ou Koulouba-aeroprt MK-Senou,.

  2. Les maliens n’ont rien vu encore avec ces mensonges d’État pilotés par le ministre des “travaux publics” ! Bamako est aujourd’hui devenu l’un des plus grandes jungles urbaines du monde alors même que sa population n’est pas encore aussi grande (3 a 4.5 million). On a simplement besoin que d’une heure de course dans circulation de Bamako pour vite découvrir le vrai visage de sauvagerie urbaine qui y sévit au quotidien: des centaines de milliers des motos a grande vitesse -MGV (100 a 120 km/h) avec des conducteurs (en grande majorité abrutis) sans-casques, sans- permis de conduire, sans-immatriculation; de millions de camion gros porteurs dangereusement déployés cote a cote avec voitures et motos sur des routes dégradées; des troupeaux d’animal de temps divagant sur les routes; des véhicules en panne au beau milieu de la route a chaque 500 m; de centaines de sales sotramas et taxis pollueurs d’air en tonnes de CO2…; une police routière commerciale qui se soucie rarement du bien-etre des usagers de la route, mais toujours plutôt focalisée sur les défauts techniques administratives des véhicules… c’est les vignettes périmées etc.. mais un corole sur l’excès de vitesse ou l’état de sobriété de certains conducteurs sauvages qui tuent ou handicapent les maliens chaque jour que le bon Dieu fait!

    Depuis sept ans il n y’ a pas une seule route digne de ce nom qui a été construite par IBK a Bamako. C’est ainsi que sous IBK Bamako est devenu la ville la plus infernale notamment en saison des pluies…c’est des marrées de boue partout sur nos grandes artères … ex., l’artère Zone industrielle (Sonatam, Malilait etc..) jusqu’au rond-point du monument Gal Soumare a cote du 3e pont… des pourritures absolues! Je suis 100% sure que le president IBK n’a jamais été donne l’opportunité depuis 7 ans de circuler en voiture sur ces routes en saison des pluies…. il est probable que son entourage prendrait toujours soins pour contourner ses chemins quand il sort en véhicules vitre fumées. Pour comprendre ce que le Malien ressent dans la circulation de Bamako, je proposes a IBK une petite tournée tracée ainsi:
    – prenez un taxis ordinaire a un jour de grande pluie a 16h a partir de Koulouba
    – dites au conducteur de prendre le chemin de sougounikoura vers le restaurant blabla pour accéder a la route de Koulikoro- 3e pont- moussabougou- yirmadio- Tour de l’AFRIQUE- 30m faladie- niamakoro- kalaban- kalabancoro- kabala universite.

    Je suis 100% sure qu’une telle tournée suffirait a clairement montrer a IBK l’enfer terrestre que les maliens a Bamako loin de ses routes expresses Sebenicoro-Koulouba ou Koulouba-aeroprt MK-Senou,.

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