C’est une lapalissade que de parler de souffrance pour les usagers de la route Kayes-Bamako, surtout sur le tronçon Kolokani-Didiéni-Diéma.Malheureusement, ce n’est pas demain la fin de leur cauchemar, malgré la promesse faite voilà un an par Traoré Zéïnabou Diop !
Le constant est tout simplement désespérant :défectueux depuis des années, l’état de ce corridor devient de plus en plus impraticable et donne des sueurs froides même à un téméraire habitué des épreuves de nerfs. Sur des kilomètres et des kilomètres,le bitume a fini par disparaitre pour céder la place à de véritables ‘’cratères’’, imposant aux véhicules un rythme de tortue.Des accidents, et encore des accidents. Des blessés, des tués, des dégâts matériels…pour les usagers de Kayes – Bamako-Kayes, c’est l’odyssée sans fin.
Pourtant, à travers un communiqué en date du lundi 22 octobre 2018, le ministère des Infrastructures et de l’Equipement a annoncé le démarrage effectif des travaux de réhabilitation de la route Kati-Kolokani-Didiéni. Cela dès le lendemain mardi 23 octobre. C’était, on se rappelle, suite au mouvement de colère de la jeunesse de Kati.«J’ai entendu des mouvements d’humeur du côté des Katois, mais je veux les rassurer qu’ils ont défoncé une porte déjà ouverte, parce que le projet est déjà mûr. On attend juste la fin de l’hivernage en octobre, le site sera rendu à l’entreprise qui a eu le marché pour que les travaux puissent commencer».
Selon elle, la route Kati-Kolokani-Didiéni qui s’inscrit dans le cadre d’un Programme global de reconstruction de l’axe Bamako-Kayes-Diboli pour un montant de plus 78 milliards de FCFAest financé entièrement par le budget national. Mais, plusieurs mois après cette promesse, le mal persiste toujours !
Bintou Diarra
Cest une honte
Voilà un combat que le syndicat des transporteurs devrait mener depuis longtemps mais il ne fait rien sauf pour gérer des faux problèmes qui le menent nulle pas. Et c’est de façon moutonnière que ce Syndicat se comporte. Il n’a jamais chercher à œuvrer afin que les conditions de vie des chauffeurs soient améliorées au Mali. Comment voulez vous que le pays se développe ? Normalement, aujourd’hui au Mali on devrait créer un journal qui devait uniquement de charger de la vie du transport , mais helas. Le chauffeur aujourd’hui est devenu comme un enseignant vacataire du privé où à blanc moindre des choses il est remercié par son employeur .
Vraiment des IND€$IRABLATLANTI$T€$
Didiéni-Diéma est en parfaite état pour le moment. Le problème, je dirai la catastrophe, c’est Kati-Kolokani-Didiéni. Ces deux tronçons, c’est le calvaire. Sur le tronçon Kolokani-Didiéni les restes de goudron empêche aux véhicules de circuler. Si le gouvernement n’a pas la solution immédiate, qu’il enlève ce peu de goudron pour plus de sécurité.
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