123 milliards pour 280 Km de routes reparties dans cinq localités différentes du Mali ! Dans l’opinion publique l’on soutient que le coût de réalisation des routes sous l’actuel régime dépasse largement celui des autres gouvernants. D’aucuns parlent de malversations ou de surfacturations. Tel est vraiment le cas ?
La réponse est ‘‘non’’ pour ce technicien du ministère de l’équipement et des transports qui a tenu à nous apporter quelques précisions sur la question. Pour notre interlocuteur qui a souhaité rester sous anonymat, si le coût des routes ont changé et sont jugées très élevées, c’est pour certainement changer la qualité de ces infrastructures tout en respectant les normes sous- régionales dans la zone CEDEAO.
Depuis 2015, nous indique-t-on, les données ont changé au Mali dans le domaine de réalisation des infrastructures routières en vue de se conformer aux exigences de la Zone CEDEAO dont chaque Etat membre, et pour avoir des routes de qualité, se voit dans l’obligation de respecter une certaine norme exigée par la nouvelle politique sous régionale.
Ce qui a aussi changé dans la réalisation des routes au Mali, c’est que chaque entreprise exécutante se doit désormais de verser les 30% du budget d’exécution des travaux dans les caisses de l’Etat comme taxes. Tel qui n’était pas le cas auparavant. Ce qui veut dire (par exemple) que si le coût de réalisation d’une route est annoncé pour 10 milliards, les 3 milliards FCFA reviennent à l’Etat et le coût réel de la réalisation revient à 7 milliards FCFA. Aussi, nous précise-t-on, dans les travaux de réalisation d’une route le coût dépend de l’environnement et de l’emplacement. Chaque centimètre a de fait son prix à travers la qualité de la terre. Et seules des études bien approfondies pourront définir combien coute en réalité une route.
Les travaux de la dernière route lancés ce 23 Mai
Il s’agit du tronçon Baraouéli-Tamani, dernière route dont les travaux vont être lancés ce 23 Mai. Long de 30,6 km, le coût de construction et de bitumage de ce torchon est de 7 milliards 996 millions 259 FCFA, bien entendu, toutes taxes comprises.
Le lancement des travaux de construction et de bitumage du torchon Baraouéli-Tamani a été précédé par celui de Yayila- Kalana le 13 mai dernier. 18 milliards 829 millions FCFA pour 52 Km, c’est le coût d’exécution des travaux de cette route dans la région de Sikasso.
Les 3 autres routes dont les travaux sont déjà lancées sont celles de : Kayes-Sadiola (90 Km pour un coût de 42,4 milliards FCFA), Kangaba-Dioulafoundo-frontière Guinée (52 Km pour un montant de 19 milliards 437 millions FCFA) ; Baconi-Dialakorodji-Safo-Nossombougou (56 Km pour un coût 27 milliards 728 millions FCFA). Les travaux de construction et de bitumage de ce torchon ont été les premiers à être lancés. C’était le 3 mai dernier par le président de la République, IBK.
La Rédaction
un technicien ne veut rien dire. le prix est élevé sous IBK à cause de la surfacturation. Voyez tout simplement la source de financement de ces routes pour comprendre. c’est généralement sur le budget national et principalement avec ce nouveau manège de nos dirigeants qu’est le partenariat public privé. les grands bailleurs de fonds étrangers (FMI, BM) n’ont pas commence à regarder de près ce genre de financement car les textes nationaux ne sont pas touffus et très clairs. Alors, c’est la surenchère que font nos dirigeants avec les entreprises qui autofinancent ces projets garantis par l’état. donc des dettes que les régimes suivants douvent honorer. c’est à la négociation avec ces entreprises qu’il ya surfacturation pour le budget de campagne de IBK et CO. Laissez nous tranquille avec les textes de la CEDEAO. La CEDEAO n’a pas de normes de construction routière, c’est les mêmes normes françaises qu’on utilise depuis toujours.
1km de bitume à Kati n’est pas 1 km de bitume à Djenné ou Pondori dans le delta qui n’est pas aussi 1km de bitume à Bourem ou Ansongo etc……….
ILya mille facteurs qui jouent en élaborant un cout des travaux de bitumage
Pour la qualité des bitumes et la distance la route doit être chère. Des journalistes se prennent pour des ingénieurs en BTP pour faire des analyses comme bon les semble.
Nous faisons confiance au président pour le travail abattu et abat les aigris remplis de haine.
Dieu donne le pouvoir à qui il veut donc souffrez de voir IBK avancer pour le bonheur des maliens.
Quel journal POURRIE.
– 495 MILLIONS fcfa pour 1km de route;
Pour vous contredire :
1- Tout d’abord un ” technicien ” n’est qu’un simple execurant. Il reçoit des consifne venamt des ingenieurs. Ce sont les ingenieurs qui ont l’elaboration et l’estimation du cout des materiaux à utiliser.
Un technicien n’est pas un expert, son rôle est d’installer, surveiller et contrôler . En cas de problème. Le technicien doit ecrire un rapport pour informer l’ingenieur .
2- Quels sont ces ” nouveaux texte ” voté à la CDEAO, ou bien ces texte n’ont pas de nom ?
3- Pour faire taire la pilemique, donner nous juste les carateristique et le cahiers de charge pour l’execution desdit travaux.
Toujours dans de l’INFORMEL. Malheureusement pour vous, vous êtes face à des CARTESIENS, ilnva falloir faireieux que ça BANDE DE NULLARD VOLEUR VAURIEN INUTILE.
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Gloire perpetuel à KLELA BABA. Que soit ebut sin nom, sa vie, sa source et sa lumière.
Vive le GANJISME, vive la science universelle !
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