Bizarre ! Mais, il en est ainsi à Daoudabougou. En clair, le quartier ne dispose qu’une seule voie bitumée, ce qui est surtout à revoir pour le bonheur des usagers. Sur cette voie unique, le taux d’accidents est le plus élevé de toute la commune. Pour cause, les habitants ont pour spécialité les comportements suivants : se jeter sur la route, rouler en sens interdit, l’excès de vitesse, le refus de céder le passage, entres autres.
A cela, il ne faut pas oublier le comportement assez inquiétant des conducteurs de transport en commun (Sotrama et taxi) qui se croient réellement sur leur propriété privée sans aucune contrainte. C’est pourquoi, à Daoudabougou, passer une nuit sans entendre le son des coups de klaxon des sapeurs-pompiers allant à la rescousse des accidentés.
Afin de remédier à cette situation désastreuse, au lieu de toujours secourir aux victimes, est-ce les autorités locales ne doivent pas tout simplement imposer plus de rigueur aux conducteurs du quartier ? Cela, par l’augmentation des ralentisseurs, la surveillance des policiers, la sensibilisation sur l’utilité du code de la route, l’exigence des permis de conduire pour les transports en commun, les tricycles et les motocyclistes.
Alimatou Djénépo
un article très vide et nul ah la presse malienne…
je me demande meme s’il ya un code de la route au mali…et s’il en existe un c’est plutot la prudenceet beaucoup de civisme
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