On sentait le coup venir, mais on ne savait pas tant ceux qui, envers et contre tout, développent une pathologie. Ils excellent ainsi dans des initiatives saugrenues tout en basant leur mode de fonctionnement sur le mensonge, sans se soucier de nos valeurs cardinales. Et c’est dans cette vision que le pays a subi un grand coup car le budget, qui était de 1400 milliards avant le coup d’Etat est passé à 870 milliards de FCFA.
Pour le gouvernement, les priorités du moment demeurent la récupération du Nord, la crise alimentaire, l’insécurité généralisée et l’organisation des élections. Comme quoi, un coup de force à des conséquences sur la bonne marche d’un pays. Dans cette perspective frustrante, le présage d’années de recul du fait du coup de force du 22 mars se perpétue encore à travers l’animosité politique de quelques « intellectuels » métamorphosés en « dirigeants ». Comment peut-on prétendre aimer son pays et le laisser aux mains des impérialistes ?
Dans sa soif de changement, le peuple avait exigé de ses dirigeants la définition de nouveaux modules de gouvernement afin de répondre au besoin de l’heure : celui de se conformer à l’évolution de la géopolitique mondiale et de permettre au pays de se hisser au rang des nations démocratiques et civilisées. Mais on lui prédit plutôt le gouffre.
Et aujourd’hui, la malédiction semble marcher, même si le peuple n’a pas encore bouclé lesdites années de recul. Par le truchement des adeptes de la théorie de l’obscurantisme, le prédicateur de ce maléfice s’était quand même employé à faire consommer au peuple 21 ans de recul forcé du fait de la dévolution monarchique du pouvoir suite au coup d’Etat contre le régime d’ATT. C’est la loi de la sacrée République dans laquelle les Maliens sont amèrement confrontés à la doctrine obscurantiste des politiques.
Un langage qui ne responsabilise pas n’est pas de nature à favoriser le progrès. En politique, les pseudos dirigeants utilisent très souvent un langage et posent des actes qui les rendent irresponsables e ce qu’ils vivent ou de ce qu’ils font : c’est le cas actuel du pays.
Mais aujourd’hui, le Mali est au bord du gouffre, de telle sorte que les nouvelles autorités ne savent pas par quoi commencer le renouveau du pays. Entre 2007 et 2012, on a assisté à une augmentation annuelle du budget à cause de la stabilité du pays et de la confiance que les partenaires techniques et financiers nourrissaient pour le pays car investir au Mali était sûr et rentable. Le nombre d’emplois créés au Mali était en hausse, même si le salaire reste encore précaire.
En 20 ans, le produit intérieur brut (PIB) annuel du Malien moyen a diminué de près de moitié. Le secteur informel s’est «militarisé » et l’on a assisté à des trafics d’armes, de drogues, de personnes humaines et d’enfants, de blanchiment d’argent, de trafics de véhicules d’occasion comme éléments fondateurs du commerce intérieur et extérieur du Mali. Le pays est en train de devenir une porte d’entrée pour les affairistes mafieux. Alors, face aux difficultés financières du moment, les fonctionnaires sont obligés de prendre leur mal en patience car l’urgence du pays se trouve ailleurs et non dans les revendications salariales et les dépenses inutiles. Comme quoi, le coup d’Etat que d’aucuns voyaient comme une bouffée d’oxygène d’espoir s’est vite trouvé être une épée de Damoclès suspendue sur la tête des Maliens.
Paul N’guessan
l’article n’est pas à la hauteur du titre.Vou annoncez un titre économique très interessant,la baisse du budget.Il aurait été interessant de suivre votre raisonnement en produisant les indicateurs économiques, les postes budgetaires en baisse.Au lieu de cela vous avez fait le rapprochement du choix budgetaire à la réalité politique.Il faut te convainvre que ceux qui font le budget ne font pas forcemnt la politique, comme vous et moi ils en mesurent l’impact.N’a-t’on pas dit: “faites moi de la bonne politique je vous ferai de la bonne finance”.Si les années passées on donnait plus de poids aux services sociaux de base,sûrement les questions comme l’équipement des troupes figureront en bonne place dans les prochains budgets.Dans tous les cas le budget est une expression de la souverainité du peuple à travers la loi des finances votée par le parlement.Ce que vous annoncez est un projet de loi qui sera amendé par tes réprésentants.Il faut dire que le renouveau du MALI passe par celui de sa presse.L’article que je viens de lire est d’une bonne qualité litteraire mais peu interessant pour un lecteur averti.
C’est cruel SANOGO (Président du CNDRE “Cominté National des Recalés et des Egoïstes”) de laisser les malens dans cet etat. Partez afin que les institutions internationales, les seules recours puissent nous sortir de là. Débarassez nous de ce patriotisme sournoi mal placé, qui d’ailleurs est de l’arrivisme, car vous avez fait le coup d’Etat pour ça (avantages, immunité). Le peuple souffre de votre faute. A quel titre vous paradez avec les moyens de l’Etat, les armes braquées à travers Kati et Bamako. Jusqu’à présent vous ne savez pas où aller braquer ? Et pourtant c’est la raison de votre forfaiture. Le Mali a vraiment honte de vous. L’honneur et l’image du Mali sont ternis aujourd’hui. Que faites vous ? On se prepare, le moral des troupes est au beau fixe, voilà vos letmotivs. Comme si les apatrides du Nord Mali dormaient. Ayez pitié à ce Pays.
Que dieu aide le mali a sortir de cette merde.
Ce budget ne prend pas en compte la part des voleurs, je veux dire les fonctionnaires et politiciens voyous.
Calmez vous tout ira bien.
Au Mali le gouvernement était habitué à grossir le budget en prévoyant la part des voleurs. C’est le changement qui s’annonce
Donner 5 millions,une maison,2 voitures à sanogo,un mec qui a foutu le pays ds la merde jusqu’à ce niveau.je peux dire que c’est le comble.quel putain de pays sincèrement.c’est grave
N’insultez pas un pays et un peuple,il faut dans tous les cas du respect,de la bonne éducation.
Article décousu et incohérent, aucun rapport entre le titre et le contenu, les sources ne sont pas citées donc invérifiable. “En 20 ans, le PIB annuel du malien moyen!!!???” que veut dire ce charabia?
Vraiment il faut que les journalistes maliens fassent des efforts, sinon c’est lamentable…
Merci james notre brave journaliste a peut être une bonne plûme qui massacre l’économie.Je crois qu’il voulait dire:”le revenu moyen par habitant” au lieu du PIB du malien moyen. On peut ensuite continuer son propos en comparant d’autres indicateurs:le nombre d’habitants ayant un revenu supérieur ou inferieur au revenu moyen.Le revenu moyen n’a de sens que s’il est comparé au coût de la vie.Entre nous ce ne sont pas lesindcateurs économiques du MALI qui ont baissé en 20 ans.Tout le monde est conscient du dynamisme actuel de l’économie.Il faut pouvoir prouver les déclarations.
sanogo a tout detourner pour son profil et celle de ses bidase il nont rien vue encore soit sanogo et ses bidase degage carement et vont aux front carement interdit de venir sur scene politique
soit ladministration malienne va broyer du noir dans 15 jour seulement ca commence a venir sanogo grossi le peuple du mali maigrit
bab sanogo tu va degager toi et tes bidase tout les robinet de sous sont fermer abana cest fini cest la population et tes bidase qui vont te bouffer crut
IL FAUT QUE SANOGO ET LE CNDRE SOIENT JUGER,ON NE PEUT PAS LES PARDONNER.
les maliens doivent ouvrir les yeux, c’est ce meme ministre qui n’arrivait pas a payer 2 a mois les fonctionnaires maliens que cheick modibo diarra nous ramene pour un changement , quel changement ? au detriment de quoi? tous doivent ce n’est pas celui la qui va encore tenir notre economie , bientot des degats!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
C’est archi faux!!! à la date du coup de mars 91 les fonctionnaires étaient régulièrement payés des même avant terme.
Comments are closed.