Au cours de la visite qu’il a effectuée en France hier mardi 1eroctobre, le Président Ibrahim Boubacar Keïta s’est longuement entretenu avec son homologue français, François Hollande. Rappelons que tous deux reviennent de New-York où ils participaient à la 68ème session des travaux de l’Assemblée générale des Nations-Unies.
Dans son intervention, le président malien a souligné qu’il a fait de la réconciliation nationale sa première priorité et que c’est d’ailleurs la raison pour laquelle dans l’attelage gouvernemental il a nommé un ministre chargé de la réconciliation nationale et du développement des régions du Nord du pays. Dans le communiqué rendu public par l’Elysée sanctionnant la visite d’IBK, la question sécuritaire a largement occupé les débats entre les deux présidents.
C’est dans ce cadre qu’ils ont mis l’accent ” sur la nécessité de renforcer les solidarités et la coopération entre les pays de la zone saharo-sahélienne, qui doivent faire face à des enjeux communs en matière de sécurité, mais aussi de gouvernance, de développement ou encore de situation humanitaire “.
Comme il l’a si bien dit lors de sa visite à Bamako récemment, François Hollande a déclaré que la ” France continuera à soutenir le Mali en maintenant, sur place, une force qui pourra, le cas échéant, venir en appui à la mission des Nations Unies “. Ils ont également convenu de conclure un nouvel accord de défense sur des bases renouvelées et transparentes pour mieux faire face aux menaces.
Pour sa part, le Président IBK a confirmé comme il l’a fait à Bamako sa participation au Sommet de l’Elysée sur la paix et la sécurité en Afrique prévu les 6 et 7 décembre prochain. Au plan du renforcement de la coopération bilatérale, le Chef de l’Etat français a rappelé l’engagement de son pays ” aux côtés des autorités maliennes pour la reconstruction du pays “.
Il a également indiqué que la France souhaite notamment mettre l’accent sur le renforcement des capacités de l’administration et l’appui aux collectivités territoriales.
A ce sujet, près de 30 millions d’euros de projets sont en cours d’exécution ou d’instruction pour ces deux secteurs sur les 280 millions engagés par la France sur deux ans.
Par ailleurs, la France a aussi affirmé qu’elle allait soutenir la mobilisation de la diaspora malienne dans des projets d’aide au développement du Mali.
Massiré DIOP
POURQUOI LA MUNISMA REFUSAIT DE NOUS PAYER…..????? declaration d un militaire tchadien hier 1 oct 2013….
..fermer les yeux sur tout ce que font les touaregs du MNLA. a kidal et environs…empecher l armee malienne de les attaques….nous on voyait tout …l ivraisons d essences ,nouritures,medicaments et autres, beaucoups de choses anormales, on na refuser,( nous preferons rentrer au tchad que d etre payer pour ca)…
Qu’il nous debarasse des Mouvements rebelles du Mali et les 90% de
l’Assistance Securitaire seront effectifs.C’est le MNLA qui a chaque fois organise les groupes terroristes contre l’Etat Malien.Tout a commence quand ils ont rassemble AQMI,BOKO ARAME,Al
Chabab,Ansardine ,MUJAO et attaque le Mali,massacre les soldats sans armes et occupe les 2/3 du territoire Malien.La descente sur Bamako a ete mise au point quand le MNLA pretendait negocier a OUAGA.Ces combattants se sont joints aux hordes qui deferlaient deja sur Mopti,en direction de Segou et Bamako.Si le gouvernement veut negocier avec ce groupe,bonne chance.Mais comme dit cette brave femme Touaregue,et cela fait pleurer,si la guerre est necessaire,faites-la.Ceux qui survivront ,pourront vivre en paix.Le terrorisme qui sevit dans le NORD est pire que la guerre.On peut se defendre de la guerre en fuyant le champ de guerre et en etant refugie.Le terroristes vous massacrent dans le lit.Le danger est continuel.La paix est une leurre !
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