Le Sous-secrétaire d’État américain à la Croissance économique, à l’Energie et à l’Environnement, Jose Fernandez a présidé une conférence de presse organisée par le Centre régional des médias pour l’Afrique du Département d’État des États-Unis. Fernandez a échangé avec les médias sur les résultats du Sommet des dirigeants États-Unis-Afrique qui a eu lieu la semaine dernière, à Washington. Comme l’a annoncé le Président Biden, le Sous-secrétaire, M. Fernandez affirmera que l’administration américaine prévoit d’investir au moins 55 milliards de dollars en Afrique au cours des trois prochaines années, en étroite collaboration avec notre Congrès.
Selon le Sous-secrétaire, Jose Fernandez, il y a eu, au cours du sommet, des discussions productives sur la manière dont les États-Unis et les pays africains peuvent s’associer pour relever les défis mondiaux, des défis qui nous concernent tous. Il s’agit, entre autres, du changement climatique, la transition vers une énergie propre, les chaînes d’approvisionnement, l’investissement, l’entrepreneuriat et l’innovation. « Nous avons besoin de toute la force de notre collaboration pour réussir, car nous ne pourrons pas relever ces défis en solo », dit-il. En collaboration avec le Congrès, l’administration a annoncé des plans pour engager au moins 55 milliards de dollars en Afrique au cours des trois prochaines années dans un large éventail de secteurs pour relever les principaux défis de notre époque. Des secteurs tels que la sécurité alimentaire, la santé, le climat, le commerce et l’investissement, la croissance économique, mais aussi l’éducation, la paix et la sécurité, et la démocratie.
Le conférencier se dit convaincu qu’un partenariat solide, tant sur le plan économique que sur le plan humanitaire, est essentiel à ce que nous faisons. Au-delà des domaines humanitaires, les Etats-Unis ont également signé un protocole d’accord historique avec le nouveau Secrétariat de la zone de libre-échange continentale africaine. Ce protocole d’accord, à en croire, M. Fernandez, débloquera de nouvelles opportunités de commerce et d’investissement entre nos pays, et rapprochera également les pays africains et les États-Unis encore plus que jamais. A ses dires, « certainement en 2023 que nous allons essayer de renforcer nos relations économiques et commerciales avec l’Afrique, en construisant – encore une fois, en nous appuyant sur beaucoup de bon travail qui est été fait dans le passé ».
Cependant, notre conférencier rappellera que, l’Afrique, rien que l’année dernière, seulement, les États-Unis ont engagé plus de 11 milliards de dollars, 11 milliards de dollars, pour assurer la sécurité alimentaire mondiale. Au cours des trois prochaines années, nous travaillerons avec le Congrès pour fournir 1,9 milliard de dollars d’aide à la sécurité alimentaire à l’Afrique afin d’aider les pays africains à atténuer les effets de l’insécurité alimentaire et de la malnutrition croissante, notamment de la guerre illégale et brutale de la Russie en Ukraine.
« Notre relation avec l’Afrique va bien au-delà d’un seul aspect, et nous en sommes très fiers. Et vous continuerez à voir l’accent mis sur cela au cours de la prochaine année », a conclu Jose Fernandez devant les médias.
Ibrahima Ndiaye
Peut être il faudra 100 ans pour avoir la couleur de ce argent.Sinon c’est du vent.
Les ricains aiment parler de gros chiffres. Billions, trillions…. Une fois même lors de la campagne électorale Georges Bush fils s’est mélangé dans les chiffres.Sans rire, Serieux comme un pape le jour de Noël.
Les Africains doivent faire comprendre aux Etats-Unis que la dignite, l’honneur et la vertu ne sont pas a vendre ni a acheter, nous Africains demandons respect, vertu, dignite et honneur!
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