Pour la sortie de crise : La reprise de l’aide publique au Mali en étude aujourd’hui à Bruxelles

1

Le Groupe de soutien au Mali, qui rassemble les grandes organisations internationales comme l’ONU, se réunit aujourd’hui à Bruxelles pour s’entendre sur les moyens d’assurer le retour à la stabilité après les opérations militaires, étudiera aussi la reprise de l’aide publique au Mali.
Le Groupe de soutien au Mali, qui rassemble les grandes organisations internationales comme l’ONU, se réunit aujourd’hui à Bruxelles pour s’entendre sur les moyens d’assurer le retour à la stabilité après les opérations militaires, étudiera aussi la reprise de l’aide publique au Mali. Au cours de cette rencontre, le gouvernement exposera la feuille de route de la transition qui a été votée il y a une dizaine de jours, à l’unanimité par l’Assemblée nationale. Le document fixe les contours de la construction de la paix et l’organisation des élections générales, la présidentielle est attendue avant le 31 juillet prochain. La réalisation de la feuille de route de la transition coûtera 112 milliards de FCFA.
Parallèlement à l’opération militaire, la France insiste sur la nécessité d’un rétablissement d’institutions démocratiques issues d’élections “transparentes” et la mise en place d’une politique de développement, en particulier pour les régions du Nord, isolées et quasi-désertiques.
Paris a dans cette perspective annoncé la reprise progressive de l’aide publique au développement, gelée depuis le coup d’Etat militaire du 22 mars 2012 qui avait précipité la chute du Nord aux mains des islamistes armés.
Signe d’un début de retour à la normale, des écoles ont rouvert à Gao la plus grande ville du Nord, reprise le 26 janvier par les soldats français et maliens. Et à Genève, le Comité international de la Croix Rouge a fait état d’un “début de retour” de déplacés dans le centre du Mali.
YC

Commentaires via Facebook :

1 commentaire

  1. France 24 appelle la Conference de Bruxelles ” Conference sur L’avenir du Mali”.L’Avenir du Mali ne peut etre decide que par les Maliens.Les libertinages effectues a l’egard de certains pays Africains ne peuvent pas etre repetes au Mali.Nous sommes assez intelligents et eduques pour entretenir des relations normales et reciproques avec n’importe quels partenaires.Bien que des benefices scandaleux soient faits dans le secteur de l’exploitation aurifere,de 500% a 600%,ce qui transforme l’operation d’exploitation en pure pillage,le pays merite a cet stade des rapports gagnant/gagnant
    avec n’importe quels partenaires.Certains dons sont en fait un repaiement,ou une simple reparation.

Comments are closed.