Dans le cadre de la célébration du 54e anniversaire de la République du Congo-Brazzaville, le Premier ministre Moussa Mara s’est déplacé à la tête d’une forte délégation malienne afin de représenter le président de la République empêché. Ce dernier devait se rendre à Paris (cette ville commençait à lui manquer).
En marge des festivités, le chef de l’administration malienne a naturellement rendu visite à ses compatriotes au pays de Denis Sassou N’Nguesso. Un chapelet de doléances, comme d’habitude, a été égrené au chef du gouvernement. Du mauvais traitement aux conditions de vie, en passant par le harcèlement, tout y est passé.
Comme seule réponse, Moussa Mara conseillera à ses compatriotes le courage et l’abnégation. Il n’en fallait pas plus pour jeter un froid sur la salle. Eux qui s’attendaient à ce que le Premier ministre sorte ses muscles et tape du poing sur la table en promettant d’aller leur “régler leurs comptes” aux autorités congolaises. Ah ces Maliens. On se croit tout permis, comme à la maison. Le Congo, on l’aime ou on le quitte.
Madou Kané
Un commentaire since8re. Dommage pour l’auteur parce que l’ide9e d’une chaeene rmpoue qu’une blanche chercherait e0 reconstituer est inte9ressante. Surtout la pre9sence des masques et le rf4le qu’ils pourraient jouer dans cette histoire. Je retiens cette ide9e surtout e0 cause de la remarque que tu as faite concernant la multitude de masques africains dans les milieux europe9ens. Quel africain n’a pas reave9 de voir un jour ces masques hanter ceux qui les ont emporte9s loin de leur univers ?
My hat is off to your astute command over this tocar-bpivo!
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