Après avoir paraphé les documents, l’ambassadeur de Suisse a fait part de sa satisfaction de voir aboutir cet accord de financement. « Ces engagements de la Confédération suisse sont le fruit d’un travail dans la durée de la Suisse au Mali depuis 37 ans », a indiqué la diplomate, en assurant que ces deux projets revêtent une grande importance dans la stratégie de coopération du partenaire helvétique.
Mme Muriel Berset Kohen assure que son pays reste engagé auprès du nôtre pour faire face aux nombreux défis de développement, notamment dans le domaine de l’éducation. Elle a également souhaité que « ces projets se déroulent à la satisfaction des populations », avant de remercier les différents services techniques qui ont travaillé sans relâche à la concrétisation de ces deux accords.
Le ministre Diop a précisé, pour sa part, que le premier accord concerne le financement de la quatrième phase du « Programme de construction de compétences pour le développement local » (PCDL) destinée aux localités de Bougouni, Kadiolo, Koutiala, Yorosso, Youwarou et Tombouctou pour la période 2013-2015. Le deuxième a trait à la quatrième phase du « Programme d’Appui à la décentralisation de l’éducation » (PADE) destinée aux localités de Sikasso, Mopti, Youwarou, Djenné et Niafunké pour la période 2014-2017.
Le chef de la diplomatie précise que par ces deux accords, le gouvernement suisse met à la disposition du Mali, une subvention d’un montant cumulé de 5,4 milliards.
Ces programmes qui s’inscrivent en droite ligne du Cadre stratégique pour la croissance et la réduction de la pauvreté et des Objectifs du millénaire pour le développement, permettront, de son point de vue, de contribuer au développement socio-économique, à la réduction de la pauvreté et de stimuler la promotion de l’emploi dans les localités ciblées.
Le ministre des Affaires étrangères a présenté la signature de ces deux accords comme « une manifestation concrète de la volonté et de l’engagement de la Suisse à accompagner les efforts du gouvernement du Mali dans le vaste chantier de la reconstruction et du développement ».
En décembre 2013, la Confédération helvétique signait avec notre pays trois conventions qui, en plus des deux d’hier, permettront d’apporter un appui à l’un des grands chantiers de notre politique de développement : la décentralisation axée sur le développement des régions du Mali.
La première convention, intitulée « Programme de construction de compétence pour le développement local » (PCDL) qui porte sur une enveloppe de 992.000 francs suisse soit environ 534,5 millions de Fcfa vise à financer les collectivités territoriales, les organisations socioprofessionnelles, les ONG et les acteurs du secteur privé qui emploient des jeunes dans les localités de Bougouni, Kadiolo, Koutiala, Yorosso, Youwarou, Tombouctou.
Elle a pour objectif de former des jeunes à des modules axés sur les besoins locaux développés par des prestataires en vue d’assurer leur insertion socio-professionnelle au niveau local. Ce programme contribuera également au développement économique local par l’émergence d’un vivier de compétences adaptées aux besoins locaux, tout en luttant contre l’exode rural.
Quant à la deuxième convention dénommée « Programme d’appui à la décentralisation de l’éducation » (PADE), elle est dotée d’une enveloppe de 9.900.000 francs suisse soit environ 4,9 milliards de Fcfa sous forme d’appui budgétaire.
Elle soutiendra les collectivités territoriales et les services techniques déconcentrés du secteur de l’éducation de tous les cercles des régions de Sikasso, et à Mopti, Youwarou, Djenné, Tombouctou,
Niafunké. Il s’agit d’une continuité de la phase III du programme mais avec une extension des activités qui aboutira à l’amélioration de la qualité et de la gestion décentralisée de l’éducation formelle.
Le ministre Diop a engagé le gouvernement malien dans la mise en œuvre convenable des obligations qui lui sont dévolues dans le cadre des présents accords de coopération.
A. M. CISSE
Le ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et de la Coopération internationale, Abdoulaye Diop, et l’ambassadeur de Suisse dans notre pays avec résidence à Dakar, Mme Muriel Berset Kohen, ont signé hier deux protocoles d’accord. La cérémonie de signature des documents a lieu dans la salle de conférence du département des Affaires étrangères en présence du ministre de l’Education nationale, Mme Togola Jacqueline Marie Nana, et de plusieurs responsables techniques des domaines concernés par les accords.
Après avoir paraphé les documents, l’ambassadeur de Suisse a fait part de sa satisfaction de voir aboutir cet accord de financement. « Ces engagements de la Confédération suisse sont le fruit d’un travail dans la durée de la Suisse au Mali depuis 37 ans », a indiqué la diplomate, en assurant que ces deux projets revêtent une grande importance dans la stratégie de coopération du partenaire helvétique.
Mme Muriel Berset Kohen assure que son pays reste engagé auprès du nôtre pour faire face aux nombreux défis de développement, notamment dans le domaine de l’éducation. Elle a également souhaité que « ces projets se déroulent à la satisfaction des populations », avant de remercier les différents services techniques qui ont travaillé sans relâche à la concrétisation de ces deux accords.
Le ministre Diop a précisé, pour sa part, que le premier accord concerne le financement de la quatrième phase du « Programme de construction de compétences pour le développement local » (PCDL) destinée aux localités de Bougouni, Kadiolo, Koutiala, Yorosso, Youwarou et Tombouctou pour la période 2013-2015. Le deuxième a trait à la quatrième phase du « Programme d’Appui à la décentralisation de l’éducation » (PADE) destinée aux localités de Sikasso, Mopti, Youwarou, Djenné et Niafunké pour la période 2014-2017.
Le chef de la diplomatie précise que par ces deux accords, le gouvernement suisse met à la disposition du Mali, une subvention d’un montant cumulé de 5,4 milliards.
Ces programmes qui s’inscrivent en droite ligne du Cadre stratégique pour la croissance et la réduction de la pauvreté et des Objectifs du millénaire pour le développement, permettront, de son point de vue, de contribuer au développement socio-économique, à la réduction de la pauvreté et de stimuler la promotion de l’emploi dans les localités ciblées.
Le ministre des Affaires étrangères a présenté la signature de ces deux accords comme « une manifestation concrète de la volonté et de l’engagement de la Suisse à accompagner les efforts du gouvernement du Mali dans le vaste chantier de la reconstruction et du développement ».
En décembre 2013, la Confédération helvétique signait avec notre pays trois conventions qui, en plus des deux d’hier, permettront d’apporter un appui à l’un des grands chantiers de notre politique de développement : la décentralisation axée sur le développement des régions du Mali.
La première convention, intitulée « Programme de construction de compétence pour le développement local » (PCDL) qui porte sur une enveloppe de 992.000 francs suisse soit environ 534,5 millions de Fcfa vise à financer les collectivités territoriales, les organisations socioprofessionnelles, les ONG et les acteurs du secteur privé qui emploient des jeunes dans les localités de Bougouni, Kadiolo, Koutiala, Yorosso, Youwarou, Tombouctou.
Elle a pour objectif de former des jeunes à des modules axés sur les besoins locaux développés par des prestataires en vue d’assurer leur insertion socio-professionnelle au niveau local. Ce programme contribuera également au développement économique local par l’émergence d’un vivier de compétences adaptées aux besoins locaux, tout en luttant contre l’exode rural.
Quant à la deuxième convention dénommée « Programme d’appui à la décentralisation de l’éducation » (PADE), elle est dotée d’une enveloppe de 9.900.000 francs suisse soit environ 4,9 milliards de Fcfa sous forme d’appui budgétaire.
Elle soutiendra les collectivités territoriales et les services techniques déconcentrés du secteur de l’éducation de tous les cercles des régions de Sikasso, et à Mopti, Youwarou, Djenné, Tombouctou,
Niafunké. Il s’agit d’une continuité de la phase III du programme mais avec une extension des activités qui aboutira à l’amélioration de la qualité et de la gestion décentralisée de l’éducation formelle.
Le ministre Diop a engagé le gouvernement malien dans la mise en œuvre convenable des obligations qui lui sont dévolues dans le cadre des présents accords de coopération.
A. M. CISSE
Ils sont encore en train de se protituer au nom du peuple, pour ensuite voler l’argent!!!
Pourquoi vous avez voter pour ibk?
Mais si vous voulez du changment, voter pour quelqu’un de nouveau!
Ils sont encore en train de se protituer au nom du peuple, pour ensuite voler l’argent!!!
Pourquoi vous avez voter pour ibk?
Mais si vous voulez du changment, voter pour quelauqu’un de nouveau!
Ces vautours sont entrain de se frotter les mains les mains pour voler 99% de ces subventions.
Les pays qui aident le Mali doivent verser l’argent à des organismes étrangers intègres pour l’application des projets validés. Sinon, c’est toujours les mêmes inconscients qui vont se remplir les poches. Hélas 😥 !
“Une subvention de 5,4 milliards de FCFA pour l’éducation et le développement local”
Traduisons: Une subvention de la Suisse pour un futur hélicoptère luxueux à Koulouba!
Comparez combien de fois cet appui budgetaire est inclus dans les 20 milliards que IBK a dilapidé pour son comfort personnel en achetant ce boeing.
C´est vraiment honteux que la Suisse offre 5 milliards pour l´education alors qu´avec les 20 milliards le Mali pouvait financer 4 fois le même besoin. 👿 👿 👿 👿
IBK doit être traduit en justice un jour pour haute trahison. 👿 👿 👿 👿
Doussouba
Et oui mon frère! 😥 😥 😥
Et après, on s’étonne (que dis-je, on S’OFFUSQUE!) du coup de gueule des bailleurs de fonds… 😥 😥 😥 😥 😥
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