Le 3 juillet 2019 – L’Ambassadeur des États-Unis au Mali, Dennis B. Hankins et son épouse Mira Hankins ont présidé la réception marquant le 243e anniversaire de l’indépendance des États-Unis, à l’Ambassade américaine à Bamako. L’événement était dédié au premier chef de la Mission américaine au Mali, M. John Gunther Dean, décédé le 6 juin 2019.
Dans son allocution, l’Ambassadeur Hankins a souligné la longue vie de M. Dean et ses réalisations en tant que Chargé d’Affaires au Mali de 1960 à 1961. Monsieur Hankins a expliqué comment M. Dean avait aidé à établir les fondements de la gouvernance dans la nouvelle république, après son indépendance de la France, rappelant en passant l’amitié chaleureuse qu’il a entretenue avec le premier président du Mali, M. Modibo Keita.
En outre, l’Ambassadeur Hankins a expliqué comment les États-Unis ont été le premier pays à établir un consulat à Bamako et la première mission étrangère à offrir une aide au développement et un appui gouvernemental au nouveau pays. Il a décrit la manière dont les États-Unis ont également ouvert le premier centre d’enseignement de l’anglais comme seconde langue à Bamako, ajoutant que le président Modibo Keita et son épouse figuraient parmi les premiers étudiants du centre.
Pour commémorer cette 59e année des liens d’amitié entre les deux pays, l’Ambassadeur Hankins a présenté des copies encadrées de la première correspondance diplomatique entre les États-Unis et le Mali, y compris une lettre entre le président américain Dwight D. Eisenhower et le président Modibo Keita. M. Fidèle Diarra, Directeur du Bureau des Amériques du Ministère des Affaires étrangères du Mali, a accepté le cadeau au nom du Gouvernement malien.
Le Ministre des Maliens de l’Extérieur et de l’Intégration Africaine, M. Amadou Koita, a, au nom du gouvernement malien, remercié les États-Unis pour leur soutien à la paix et à la stabilité du Mali et pour la mobilisation des investissements du secteur privé destinés à améliorer le développement économique. M. Koita a également remercié les États-Unis d’avoir voté pour le renouvellement du mandat de la MINUSMA, la Mission de maintien de la paix de l’ONU au Mali.
Dans son Discours, l’Ambassadeur Hankins a également souligné le succès du partenariat entre les deux gouvernements, en particulier dans les domaines de la santé et de la nutrition : « Ensemble, les États-Unis et le Mali ont réalisé des progrès et des résultats concrets, notamment en réduisant les cas de paludisme de 60% et l’incidence de retard de croissance de 30%, en améliorant la nutrition des jeunes enfants au Mali, en réduisant»
L’événement a regroupé environ 200 invités de la communauté malienne, américaine et internationale dans une ambiance empreinte de chaleur et de cordialité avec de la musique en Live mettant en vedette trois groupes comprenant des Américains et des Maliens de la communauté de la mission américaine. L’ambassadeur Hankins a remercié les sociétés américaines Radisson, BraMali/Coca Cola et Manutention Africaine Mali/Caterpillar pour avoir sponsorisé l’événement.
A noter que l’événement a commencé avec la présentation du drapeau américain par la Marine. La chanteuse malienne, Mme Aminata Diallo, a chanté l’hymne national malien et le responsable de l’agriculture de l’USAID, M. Mark Doyle, a chanté l’hymne national américain.
Happy Fourth You Lie !!!
l’amériKKK le pays de la suBpremaSSie blanche, le pays des injustice juridique et sociale, le pays où ils mettent des millions de noirs en prison, le pays où la police tue les noirs comme des chiens !!!
usa : ce pays qui refuse de payer des reparations aux américains descendants d’esclaves !!!
JUST CUT THE CHECK !!! #tangigles2020noreparationsnovotes
En ce 4 juillet, je souhaite la fin de United State of White SubpremaSSy
…Bref, il s’agissait d’un défilé-bouffe pour une hyperpuissance-bouffe dirigée par un président bouffe déguisé en dictateur-bouffe, – le qualificatif pouvant être étendu à ses critiques, à son opposition, et à “D.C.-la-folle” en général.
Lorsque, dans la même envolée, Trump rappelle que les forces US ont emporté, lors de la bataille de Fort McHenry en 1814, diverses positions dont “des aéroports”, il fait simplement étalage de l’ignorance complète, voire du désintérêt même pour la moindre connaissance et surtout la moindre connivence avec la vérité, avec l’histoire, avec le destin, d’un “univers” faussaire totalement réduit à la fonction de simulacre.
D’une certaine façon, lorsque Trump parle du “tout-nouveau” F-22, produit au compte-goutte et dans des conditions abracadabrantesques entre 1998 et son abandon en 2011, du “formidable B-2comme le plus moderne bombardier du monde” alors que ses 21 exemplaires (à plus de $2 milliards l’exemplaire, estimation très-basse) ont été produits entre 1991 et 1999, il parle réellement de l’état de la machine de guerre américaniste, complètement usée, inefficace, engluée dans ses technologies ébouriffantes de modernité et de coût, totalement inefficientes sinon paralysantes, avec les dizaines et les centaines de $milliards de ses systèmes hypermodernes qui semblent exister pour saboter décisivement les missions pour lesquelles on les développe, et exposer au regard du Ciel l’arrogance de circonstance et l’impuissance finale du technologisme né de l’hybris.
OUAIS WHAT A TRAGIC END …!!!
LA CULTURE DU MENSONGE FLAGRANT EN MARCHE …!
Anticipant de plus d’un siècle le tout premier vol, l’armée américaine a pris… «les aéroports», selon Trump
Prononçant son discours devant le mémorial de Lincoln à Washington, le Président américain a annoncé la prise du contrôle des airs et celle des aéroports pendant la guerre d’Indépendance américaine.
Prenant la parole à l’occasion du Jour de l’indépendance célébrée aux États-Unis le 4 juillet, le Président Trump, a évoqué une victoire «aérienne» remportée par les Américains pendant la guerre de 1775-1783. Sauf que le premier vol contrôlé et motorisé de l’histoire a été entrepris le 17 décembre 1903 par les frères Wright.
Notre armée a pris le contrôle des airs, elle a enfoncé les remparts et a pris les aéroports, elle a fait tout ce qu’elle avait à faire, et à Fort McHenry, sous l’éclat rouge des missiles, il n’y avait que la victoire», a-t-il déclaré.
La guerre qui a offert l’indépendance aux États-Unis face à la couronne britannique
La guerre d’Indépendance, également connue sous le nom de Révolution américaine, a duré de 1775 à 1783. En 1776, les 13 colonies britanniques d’Amérique du Nord ont proclamé leur souveraineté.
Le Jour de l’indépendance, qui commémore la signature de la Déclaration d’indépendance de 1776, est célébré le 4 juillet.
Ce sont surtout des D€$C€NDANT$ de TRICH€UROPÉ€N$
Les États-Unis d’Amérique ?
Non, vraiment ! Honnêtement. Récemment, j’ai donné des conférences dans plusieurs universités au Canada et en Europe ; j’ai travaillé sur deux livres en Californie. Quelle expérience déprimante !
Tout le monde râle à propos de tout ; pas d’optimisme, et pas d’esprit de construction de la patrie ou d’amélioration du monde. Cynisme, nihilisme, mauvaise humeur à chaque coin de rue. Rien n’est « sacré ».
Les gens sont enchaînés par les dettes et les prêts, effrayés d’abandonner leur folle fuite en avant.
Aux États-Unis, il y a une peur effroyable de tomber malade et de finir dans la rue. Et ces prêts étudiants bizarres et vraiment répugnants : le régime vous oblige à étudier pour subir un lavage de cerveau, à devenir un laquais fiable, puis vous accable de dizaines de milliers de dollars de dettes insoutenables. Et où cela mène-t-il ? À des percées scientifiques formidables ? À des œuvres d’art révolutionnaires ? À repousser les limites avec de nouvelles et magnifiques œuvres de philosophie ? Certainement pas ! Cela ne mène qu’à l’impression de nouveaux diplômes, de certificats de doctorat, chacun coûtant des dizaines, des centaines de milliers de dollars. Et ces laboratoires de recherche désespérés aux États-Unis (pour la plupart privés) importent des scientifiques de l’Inde et de la Chine, essayant de drainer les cerveaux des pays qui éduquent leur population gratuitement ou à peu de frais. Alors que les salles de concert de New York et de Londres supplient les pianistes chinois, coréens, argentins, russes et japonais de venir jouer, même la musique classique occidentale.
Qu’y a-t-il, Président Trump ? « Redonner sa grandeur à l’Amérique » ne fonctionne pas, n’est-ce pas ?
Votre pays a essayé de ruiner le communisme soviétique et chinois pendant des décennies, en disant aux Européens de l’Est, par le biais des médias de propagande, à quel point le système de marché occidental était grand, glorieux et combien l’économie planifiée et l’internationalisme étaient pitoyables.
Regardez-les maintenant – ceux qui ont mangé vos mensonges : en Bulgarie et en Roumanie, deux pays de l’UE, les gens vivent dans la misère, l’industrie est ruinée ou dévorée par les multinationales allemandes et françaises. Regardez l’Ukraine : un pays dont le niveau de vie se rapproche de celui des pays les plus pauvres de l’Asie du Sud-Est. Même dans la riche Tchéquie, j’ai vu récemment des gens manger dans des poubelles, alors qu’autrefois de puissantes usines comme Skoda ont été totalement cannibalisées par des entreprises d’Europe occidentale. C’est ce que vous leur disiez – aux Européens de l’Est : « Revenez en Europe. Rejoignez l’Occident ! » C’est ce qu’ils ont fait. Parlez-leur maintenant : personne ne semble heureux.
Le nihilisme occidental a mangé tous les instincts humains basiques et sains. Regardez les citoyens d’Europe de l’Ouest. La plupart d’entre eux crient sur leur téléviseur depuis leurs tabourets de bar ou leurs canapés ; il n’y a plus de principes internationalistes. Des êtres humains réduits à ne désirer que plus d’argent, plus de nourriture, plus d’alcool, plus de privilèges – des « avantages ». Aux dépens des autres. Une « culture » finie. Rien de grand n’est produit – littérature, films, musique. Un effondrement total des valeurs fondamentales. Mettre en prison des personnes qui tentent d’aider des réfugiés en haute mer ; des réfugiés qui fuient des pays ruinés et déstabilisés par la terreur, l’agression et la cupidité occidentales. Écœurant. « Nouvelle Europe ».
Au moins, l’Europe produit encore quelques montres, chaussures, voitures et parfums décents. Rien qui puisse justifier le niveau de vie scandaleusement élevé de ses citoyens. Pas grand-chose, en réalité ; aucune percée majeure dont l’humanité pourrait bénéficier.
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Mais qu’est-ce qui pourrait « Rendre l’Amérique « Grande à Nouveau » aux États-Unis d’Amérique ?
Si ce n’est pas le pillage et l’impérialisme pur, qu’est-ce qui rend le pays si riche ? Et riche, il l’est. Pas nécessairement son peuple, mais le pays, sans aucun doute.
Encore une fois, d’autres produisent de meilleurs avions, de meilleures voitures, de meilleurs ordinateurs, systèmes de communication, téléphones, appareils audios. D’autres construisent de meilleures villes avec une qualité de vie beaucoup plus élevée. D’autres ont créé des réseaux ferroviaires à grande vitesse incomparablement plus importants, des transports publics et de meilleurs établissements de recherche pharmaceutique. D’autres font des films bien meilleurs (pas ces horreurs et ces conneries violentes d’Hollywood), écrivent de bien meilleurs livres, pensent et rêvent de sociétés bien meilleures.
Alors, qu’est-ce que l’Amérique, Président Trump, (appelons-la plutôt États-Unis, car votre pays ne possède pas l’Amérique, qui, malgré son nom idiot dérivé de cet avide « découvreur » Amerigo Vespucci, s’étend jusqu’à la Terre de Feu et était « la plus grande » avant d’être envahie et pillée par cette saloperie d’impérialiste occidentale) pourrait encore offrir à cette planète marquée mais toujours plus alerte ?
Devrions-nous célébrer l’assujettissement ? Devrions-nous nous extasier après avoir été contraints à l’esclavage ?
Vos armes, qui tuent des millions de personnes chaque année aux quatre coins du monde ? Vos armes qui sont produites à partir d’un budget militaire débridé, que même votre propre gouvernement ne peut calculer correctement, doivent-elles rendre l’Amérique à nouveau grande ?
Parce que si ce ne sont vos armes, alors quoi d’autre ?
Votre nourriture, votre nourriture produite en masse, pleine de produits chimiques cancérigènes ? Votre malbouffe ? Même pas ! Votre musique, qui n’a jamais évolué et est toujours restée dans la répétition de « Je t’aime, ne me quitte pas » ? Ou vos films idiots dans lesquels des insectes géants mangent des villes entières ; des fantasmes complètement bizarres, infantiles et sadiques de cerveaux cramés par la cocaïne dans les villas pseudo-romaines du sud de la Californie ; des films idiots qui propagent le nihilisme, la médiocrité et la dégénérescence intellectuelle dans le monde ?
Ou cette obsession du « moi-moi-moi », cet égoïsme épouvantable, cette lutte constante pour les « droits sexuels » (de toutes les confessions imaginables et inimaginables), qui vole le vrai récit politique et éloigne les gens des problèmes réels et des horreurs qui se produisent dans votre pays et à l’étranger, où vos armées meurtrières et propagandistes ont déjà détruit tout espoir et même l’avenir.
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Vous savez, Trump, un moyen sûr de rendre « l’Amérique grande à nouveau », c’est de faire en sorte que ton peuple « réfléchisse à nouveau ». Pour les désintoxiquer des pathologies que votre régime a créées, des horribles névroses qui les ont réduites à ce qu’elles sont maintenant.
Débarrassez-vous du cauchemar turbo-capitaliste, méga-consumériste. Virez la plupart du personnel des universités et engagez ceux qui peuvent enseigner aux étudiants comment penser et rêver, au lieu de les forcer à servir le le monde des entreprises. Envoyez vos esclaves des médias que vous appelez « journalistes » dans des fermes de pommes de terre, pour qu’ils prennent l’air, et qu’ils arrêtent de polluer les ondes et les pages des journaux, avec des mensonges et des fabrications inimaginables (vous les détestez de toute façon, alors ça devrait être assez facile).
Apprenez-leur – à vos propres citoyens – le vrai patriotisme : travail acharné, réflexion approfondie, altruisme. Apprenez-leur à bâtir une société aimable et compatissante, avec une grande qualité de vie, un environnement sain et une grande culture.
Et virez ces dégénérés tueurs en série, tels les Bolton et Pompeo.
Vous ne le ferez pas, n’est-ce pas ? Vous ne pouvez pas vraiment diriger, ni même comprendre l’horreur dans laquelle votre nation est plongée !
Et vos citoyens continueront de voter pour vous, ou d’autres comme vous, pour vous faire accéder au pouvoir.
Donc, la seule façon pour vous de continuer à gouverner le monde, c’est par la force en espérant que les autres ne se défendront pas, par peur.
C’est précisément ce que vous faites ! C’est tout ce que vous savez faire !
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Nous avons déterminé que les États-Unis d’Amérique n’excellent dans presque plus rien. On pourrait dire la même chose de tout l’Occident.
Résumons encore une fois : Washington n’excelle que dans la production de ses armes mortelles et en terrorisant les autres nations. Elle est également très performante en matière de propagande, dont « l’éducation » et les « médias » sont des éléments indispensables.
Ce n’est évidemment pas suffisant. Ce n’est pas ce que les gens de tous les continents veulent : être contrôlés ainsi, et pour toujours.
Trump le sait, d’une façon ou d’une autre, intuitivement. Pas intellectuellement, mais inconsciemment. Tout comme ses lieutenants, notamment Bolton et Pompeo.
Mais ils ne sont pas prêts à abandonner et à laisser les autres, ceux qui sont plus talentueux et plus gentils, diriger la planète. Parce que le contrôle du monde est le vieux dogme, non prononcé mais « compris », sur lequel l’Europe et les États-Unis se sont construits. Un dogme religieux et fondamentaliste.
Un pays construit sur la cupidité, le pillage et l’égoïsme, n’a soudain plus rien de tangible ou d’optimiste à offrir au monde.
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