Lors d’une conférence avec Sergueï Lavrov, le ministre malien Abdoulaye Diop a commenté à Sputnik Afrique la levée des sanctions de la CEDEAO contre le Mali, le Niger et la Guinée, ainsi que les relations de Bamako avec cette organisation.
“Je ne veux pas commenter une décision qui a été prise par une organisation à laquelle le Mali n’appartient pas. Vous le savez, le mois dernier, le Mali, le Burkina, et le Niger ont saisi officiellement la CEDEAO pour indiquer qu’ils se retirent sans délai de cette organisation. Cette décision a été prise sur la base d’un certain nombre de constats. Je rappelle que le Mali est pays fondateur de cette organisation, mais nous avons vu que progressivement cette organisation est devenue un instrument entre les mains de certaines puissances qui cherchent à créer des désordres dans notre région et qui cherchent à utiliser nos institutions pour pouvoir créer des problèmes au pays, créer même une menace parce que l’organisation a mis sur la table une menace d’agression militaire contre l’un de ses états membres. Le Mali a été sous sanctions pendant près de huit mois, un pays enclavé, dont la population a été meurtrie. Nos institutions bancaires ont été utilisées, nos fonds ont été confisqués au niveau de ces banques. Le Niger a vécu la même situation. Le Mali s’est élevé contre le fait que nos institutions deviennent des armes contre nous-mêmes. Nos populations ont constitué une menace et par rapport à cela, nous n’allons pas continuer juste à dénoncer. Nous avons décidé d’apporter aussi une réponse géopolitique en nous mettant ensemble avec un certain nombre de pays avec lesquels nous partageons la même réalité mais aussi la même vision de solidarité entre les pays, d’établir des liens de fraternité et de respect mutuel et de nous mettre à l’abri des situations d’ingérence. Je pense que c’est ce qui est important aujourd’hui à retenir dans le cadre de l’Alliance des États du Sahel. Nous travaillons pour réaliser ce que nous n’avons pas pu réaliser dans le cadre de la CEDEAO”.
Sputnik Afrique
Si c’est en Europe ou USA les chefs d’Etat et le president de la commission un certain Toureh, SierraLeonais doivent etre traduits en justice pour ‘genocide’
Et c’est sous la recommandation de la france, un pays Européen que ces sanctions ont été prises.
Durent ces sanctions, Assimi, IB, Tiani, Doumbia n’ont jamais manqué du café, des medicaments.
Et le peuple? Asphyxié. Un peuple deja meurtri par le terrorisme.
Beaucoup de gens sont tombés malades, morts faute de medicaments.
Malnutrition chez les enfants.
Famine.
Plainte contre la cedeao, a mon avais cela doit etre l’Etat suivante pour Assimi et ses pairs, pour en finir definitivement avec cette organisation de merde.
ECOWAS is imploding plus our focus should be on making upward mobility we are able to sustain in every essential plus important condition that it is feasible unto we are able to do it for all essential plus important conditions. We must turn our institutions toward creating essential, important plus useful conditions. To do so we must turn them away from NATO chaos creating disposition designed to plunder us. Usually best way to do it is to point out that following NATO disposition do that. It is not difficult plus it is important we do that. It is affordable plus dynamically beneficial.
Henry Author Price Jr aka Kankan
Le Mali a ete le 1er pays a denonce la cedeao en tant qu’instrument de la france contre le peuple ouest Africain.Rejoint plus tard par le Faso, Guinee et le Niger.Maintenant meme les sall, talon bola sont d’accord que des reformes pour transformer la cedeao dans l’interet du peuple.
Mais c’est trop tard.
ado, cissoko dirigent la cedeao comme ils dirigent leur propre pays.C’est a dire la repression.
A Abidjan toute protestation, marche, eme pacififiques sont interdites.
Assimi, Traore, Tiani ne sont pas les presidents qui parlent pour parler.Ce sont des militaires qui ont combattu le terrorisme avant d’etre a la tete de leur pays.
Ils savent tous les maux de leur armee, de leur pays.Ils comptent apporter des solutions.
Quand ces presidents diesnt ‘la france dehors’, sortir de la cedeao’ ils savent ce qu’ils veulent.
L’AES du peuple.
Reelle libre circulation des personnes et des biens.Comme Schengen.
Une politique commune a tous les niveaux, militaire, economique, culturel, education, diplomatique..
Quand le Mali dit oui ou non c’est en concertation avec le Faso et le Niger.
La cedeao qui s’aligne a la france pour attaquer le Niger ou prendre des sanctions contre le Faso.C’est pas une union.
Meme si la Belgique a tord la france la soutient devant la Chine ou l’Iran.
Alors.
Nous devons cesser d’etre negres.
Le blanc n’est pas plus intelligent que le Noir.
Restons dignes et unis.