Grande Commission Mixte de Coopération Mali - Guinée : Le ministre des Affaires Étrangères et de la Coopération Internationale, SEM Abdoulaye DIOP conduit une importante délégation.

Une importante délégation ministérielle composée de plusieurs Membres du Gouvernement, d’Experts nationaux et de Présidents des faitières du secteur privé, sous la conduite du Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Son Excellence Monsieur Abdoulaye DIOP effectue une mission à Conakry du 15 au 17 novembre 2022, dans le cadre de la 9ème Session de la Grande Commission Mixte de Coopération Guinée-Mali.
Cet important rendez-vous s’inscrit dans la dynamique du raffermissement et de la diversification des excellentes relations historiques entre les deux pays et ce, conformément à la ferme volonté partagée des Présidents malien et guinéen d’hisser les liens de partenariat à un niveau répondant aux aspirations des deux peuples frères.
A cet égard, cette rencontre permettra de passer en revue plusieurs domaines de coopération prioritaires et de procéder à la signature d’Accords dans certains domaines, notamment la justice ; la santé ; les mines et l’énergie ; le développement rural ; la sécurité et le commerce.
Un accent particulier sera mis sur la stratégie conjointe à mettre en œuvre pour la mobilisation des ressources et la réalisation des projets structurants et intégrateurs, notamment en matière d’infrastructures de transports, afin de faire de l’axe Conakry-Bamako, un modèle de coopération Sud-Sud exemplaire et fructueux à tout point de vue.
Dans cette perspective, les Ministres membres de cette délégation auront un agenda très chargé, marqué par des rencontres bilatérales intenses visant à élargir et à dynamiser les domaines de cette coopération stratégique en vue de la concrétisation diligente des ambitions politiques et économiques des plus hautes Autorités des deux pays concernant ce partenariat.
De même, les Présidents des faitières du secteur privé auront l’occasion de revisiter les potentialités économiques et commerciales dont disposent les deux pays aux fins de promouvoir une économie plus intégrée, au bénéfice des populations.
Eu égard au contexte géopolitique actuel et aux défis multiformes communs aux deux pays, cette Grande Commission Mixte est porteuse d’un nouvel élan d’une coopération solidaire, résolument tournée vers le renforcement de la fraternité et le pragmatisme dans le partenariat politique, socioéconomique et culturel.
Bureau de l’Information et de la Presse/MAECI
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palgaaPar Ilyes Zouari, Président du CERMF (Centre d’étude et de réflexion sur le Monde francophone). ww.cermf.org Avec un PIB par habitant de 1 606 dollars début 2022, le Sénégal, pays du train le plus rapide d’Afrique subsaharienne, affiche désormais un niveau de richesse par habitant près de deux fois supérieur à celui du Rwanda, parfois surnommé le « Singapour africain ». Le dynamisme sénégalais s’accompagne d’une modernisation rapide du pays, qui maîtrise dans le même temps sa dépendance aux aides publiques étrangères au développement, et démontre, par ailleurs, que progrès et démocratie ne sont pas incompatibles. Selon les dernières données publiées par la banque mondiale, le PIB par habitant du Sénégal s’établissait à 1 606 dollars début 2022, contre seulement 834 dollars pour le Rwanda, qui affiche ainsi un des niveaux les plus faibles du continent, où il se classe à la 38e position. L’écart ne s’est donc guère réduit au cours de la dernière période quinquennale 2017-2021, et a même légèrement augmenté puisque les deux pays affichaient, respectivement, un PIB par habitant de 1 267 dollars et 745 dollars fin 2016. Le dynamisme sénégalais Le niveau relativement élevé atteint par le Sénégal, par rapport au reste de l’Afrique subsaharienne, résulte du grand dynamisme économique du pays, dont la croissance du PIB s’est établie à 5,1 % en moyenne annuelle sur la période de cinq années 2017-2021, malgré la grave crise économique ayant secoué le monde en 2020. Une année particulièrement difficile, et à l’issue de laquelle le Sénégal avait d’ailleurs fait partie de la minorité de pays africains ayant connu une évolution positive (+1,3 %). En tenant compte des taux de croissance et du niveau de richesse par habitant déjà atteint (deux éléments nécessaires pour toute comparaison sérieuse, les pays les plus pauvres réalisant plus facilement des taux de croissance élevés), le Sénégal fait ainsi probablement partie des trois pays les plus dynamiques du continent, avec la Côte d’Ivoire et le Kenya. En effet, la Côte d’Ivoire a enregistré une croissance annuelle de 5,9 % en moyenne sur la période 2017-2021, soit la deuxième plus forte progression du continent (derrière l’Éthiopie), alors même qu’elle affichait un PIB par habitant déjà assez élevé, et atteignant 2 579 dollars début 2022 (contre seulement 944 dollars pour l’Éthiopie, un des pays les plus pauvres d’Afrique). Une forte croissance qui lui a d’ailleurs permis de devenir le pays le plus riche de toute l’Afrique de l’Ouest continentale, malgré de modestes richesses naturelles en comparaison avec le Ghana et le Nigeria voisins (qui connaissent actuellement une grave crise économique). De son côté, le Kenya, qui était déjà le pays le plus riche d’Afrique de l’Est (hors très petits pays insulaires et Djibouti), a tout de même observé une évolution annuelle assez robuste de 4,3 %, pour atteindre un PIB par habitant de 2 007 dollars début 2022. Quant au Sénégal, et malgré une richesse très largement supérieure, il est parvenu à avoir un niveau de croissance comparable à celui du Rwanda, qui a enregistré un taux de 5,8 % en moyenne annuelle sur la période 2017-2021. Ce qui ne permit guère à ce dernier de combler son retard par rapport au Sénégal, qui a même légèrement creusé l’écart compte tenu du fait que l’évolution du PIB par habitant, calculé à prix courants, dépend également d’autres facteurs, comme l’évolution du cours de la monnaie nationale et des produits d’exportation. Les bonnes performances économiques du Sénégal sont elles-mêmes le fruit des nombreuses mesures prises au cours des dernières années, et s’inscrivant en bonne partie dans le cadre du Plan Sénégal émergent (PSE). 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KankanMessage appear good as we all wait to see actions. Sooner productive plus positive actions take place more believable governments are when they profess to act in people best interest. I am bit paranoid when speech turn to fraternity being I have observed fraternities of Negroid American community do irreparable damage but pretend damage was not of there doing. Much of damage they do is from taking laid back lazy approach that make their achievements somewhat untimely plus much less valued. Example I completed my 5 year journeyman requirements to be United States esoteric water cycle dealer in 1994-95. Still none of fraternities have achieved that goal. But at same time attempted to block me from serving Negroid American community as if I am losing if I do not. I do not need sell. I could keep this for my family within United States but still their children would be without. When educated people come to faulty conclusions as Negroid fraternities plus prince hall have in this condition. They are dangerously stupid plus their will to lead is very very destructive to community. Most impressive point in article is we will be pragmatic. I hope we also seek great good for our people results. Henry Author Price Jr aka Kankan3 ansRépondreLike (0)