BMS-SA : Première banque à financer l’économie malienne

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Avec un apport de plusieurs milliards en 2022, la Banque Malienne de Solidarité (BMS-SA) se classe comme la première banque du Mali, en termes de financements de l’économie malienne. Et ses résultats s’annoncent prometteurs pour décembre prochain.

Après sa prise de fonction comme étant Directeur Général de la banque, M. Lanfia Koïta puisque c’est  de lui qu’il s’agit  et à travers lui, la BMS-SA s’est lancée dans une vaste restructuration. Avec, à la clé, les résultats qu’on lui connaît.
Composée de cadres issus de l’ex-BHM et de la BMS, la haute direction a mis tous les atouts de son côté pour faire de cette banque un modèle de réussite. La suite, on la connaît.
Avec un résultat jamais égalé,  la BMS-SA a réalisé un bénéfice très en croissance.

Créée en 2002 à l’initiative du président Konaré, qui s’est inspiré de l’expérience tunisienne, la BMS-SA a pour objectif de lutter contre la pauvreté et le chômage, à travers le financement de toutes les activités génératrices de revenus.La banque qui finance l’économie malienne

« Contrairement à tout ce qui se dit, jamais notre banque ne s’est aussi bien portée. Nous n’avons pas perdu nos clients, nous confie un haut cadre de la banque. Avant de préciser : « Nous n’avons perdu aucun client, bien au contraire ».
Comme son nom l’indique, la BMS-SA finance tous les secteurs de l’économie : le commerce, les transports, les mines, les hydrocarbures, les PME, PMI…
En termes de financement de l’économie malienne, la Banque Malienne de Solidarité se classe au premier rang, loin devant la BDM-SA. Sa contribution est estimée à plus de 49 %.

La première industrie ivoirienne dans le Livre de la BMS-SA

C’est grâce à ses performances qu’elle est devenue la banque de la grande industrie de Côte-d’Ivoire.
La Société Ivoirienne de Raffinage (SIR) – puisque c’est d’elle qu’il s’agit – a choisi la BMS-SA, parmi toutes les banques de notre pays, pour abriter ses comptes. D’autres grandes industries, et non des moindres, figurent en bonne place dans les livres de la BMS-SA.
« Cette performance est le résultat d’une gestion rigoureuse, mais aussi, un bon management du personnel. Même si celui-ci a suscité, au passage, quelques grincements de dents », expliquent un autre cadre de la banque, le visage barré par un large sourire.
D’ici fin décembre prochain, la nouvelle direction générale de la BMS-SA et à sa tête Lanfia  entend multiplier ses bénéfices par 7.
En attendant, l’ensemble du personnel travaille d’arrache-pied, afin que les résultats attendus, , soient exceptionnels.

Aujourd’hui cette banque fait face à des amalgames et des mensonges de toutes sortes, mais les responsables de l’institution ont compris qu’il faut travailler et laisser la caravane passée.

Yattara Ibrahim

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1 commentaire

  1. C’est plutôt la première Banque à financer des amis, des frères et sœurs de mêmes bords, une banque de népotisme, de clanisme et clientélisme, si c’est çà est de financer l’économie nationale, décidément nous sommes loin et très loin du compte. Au Mali, il a été retenu que toutes les banques sont sur-liquide parce qu’elles ne prennent pas de risque et l’argent ne sort pas, il est thésaurisé donc nous avons à faire à des banques sans inertie et avec ça aucune économie ne sera financée. Il est temps et grand temps que le pays ait des banquiers qui savent prendre des risques pour engager le véritable financement de notre économie afin que le pays amorce enfin son décollage pour une émergence socio-économique.

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