Le président du groupe de la Banque mondiale, Dr. Jim Yong Kim, accompagné de ses collaborateurs, a inauguré mardi à Bamako, la capitale malienne, les nouveaux locaux de l’Institution bâtis sur une superficie de 7000 m2 environ, a-t-on constaté sur place.
Les travaux du nouveau siège de la Banque mondiale au Mali ont débarré en 2007 pour prendre fin en mai 2008, mais il aura fallu un refinancement par la Banque en décembre 2011 et les travaux ont repris en avril 2013, a-t-on appris à la faveur de l’inauguration.
Suite au coup d’Etat militaire du 22 mars 2012, plusieurs partenaires techniques et financiers du Mali ont suspendu leur coopération avec le pays.
Lors de l’inauguration du nouveau siège, le vice-président de la Banque mondiale pour la région Afrique, Makhtar Diop, a dit que ce ”bâtiment est l’expression de l’engagement de la Banque mondiale au Mali que notre institution n’a pas quitté même au plus fort de la crise”.
C’est un bâtiment de type R+1 (Rez de chaussé et un étage). Au Rez de chaussée, il y a une réception, une bibliothèque avec magasin de stockage, une salle d’archives, une salle de conférence de 100 personnes avec système de vidéo-conférence et écran de projection, entre autres.
A noter que le président du groupe de la Banque mondiale, Dr. Jim Yong Kim et son vice-président pour la région Afrique sont à Bamako dans le cadre de la première réunion ministérielle des affaires étrangères de l’Organisation des Nations Unies (ONU) pour les pays du Sahel et du Maghreb, tenue ce mardi.
«Mangalyaan» (vaisseau martien en sanskrit) a décollé ce matin à 10h08, heure française, du pas de tir de Sriharikota, en Inde. C’est un petit lanceur, le PSLV, plus habitué à mettre de petits satellites en orbite polaire, qui s’est chargé de la mise en route de ce Mars Orbiter. Pour l’occasion, la fusée développée par l’Agence spatiale indienne (Isro) a été agrémentée de quelques boosters supplémentaires afin d’emporter avec succès le satellite à vocation scientifique de 1,3 tonne sur l’orbite très elliptique nécessaire pour échapper à l’attraction terrestre.
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