Harcelé par le FMI qui demande depuis le mois de mai des explications sur l’achat d’un nouvel avion présidentiel et sur un contrat d’équipements passé par le ministère de la Défense, le gouvernement à travers le ministre de l’Economie et des Finances, Mme Bouaré Fily Sissoko qui s’était rendue à Washington la semaine dernière, a accepté sous la demande de l’institution financière internationale, de prendre certaines dispositions.
Premier engagement pris par le gouvernement consiste à mener un audit des transactions. Il s’agit d’abord de lever les inquiétudes du FMI sur le financement d’achats qui pourraient menacer l’équilibre du budget malien, mais aussi sur la structure même des contrats. Le FMI s’interroge sur la nécessité pour le ministère de la Défense de payer une société malienne au titre d’intermédiaire.
Aussi, le gouvernement s’engage à préciser les conditions d’application de certaines règles budgétaires et de passation de marché.
En ligne de mire : l’utilisation d’une disposition du code malien de marché public, qui permet de ne pas respecter les règles habituelles de transparence et d’appels d’offres pour certains achats jugés sensibles. C’est une disposition invoquée pour l’avion présidentiel et le contrat de la Défense, d’une manière jugée abusive par le FMI.
Ce paquet de mesures devra être mis en œuvre d’ici septembre prochain, dans l’optique d’une éventuelle reprise des versements, et au plus tôt en décembre.
Rassemblés par R. Diakité
Bonjour, c’est simple vu tous les titres des journaux les journaliste malien veulent aider la France à asphyxier le gvt malien, mais Dieu est juste et cela n’arrivera pas. FMI, accord de défense, avion PR, annexion de Kidal, que veut la France de véritable traîtrise contre le pays. Je m’excuse de l’injure mais le mali ne mérite pas cela nous citoyens n’avons rien fait à quelqu’un.
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