Riziculture : Le Mali classé deuxième pays producteur africain

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Déterminé à garantir la sécurité alimentaire au Mali, le Chef de l’Etat est sur la bonne voie. C’est du moins ce qu’attestent les récentes études de la FAO, lesquelles classent le Mali au 2ème rang en Afrique dans le domaine de la riziculture.

Aujourd’hui, le Malien ne peut qu’être fier de son président. Au-delà des tintamarres et des calomnies, le Président Ibrahim Boubacar Keïta s’atèle à répondre favorablement aux aspirations du peuple malien. Les fruits de son engament pour le bien-être du peuple sont perceptibles.

Après avoir révolutionné le secteur du coton faisant du Mali le premier pays producteur de coton en Afrique, surclassant ainsi le Burkina Faso, notre pays obtient de bonnes notes au plan de l’autosuffisance alimentaire. Selon des récentes études, après avoir pris la tête du coton africain, le Mali serait en passe de devenir le premier pays producteur de riz en Afrique subsaharienne au terme de la campagne agricole 2018/2019, avec une production totale attendue de plus 4 millions de tonnes, soit une progression de plus de 5% par rapport à la campagne précédente.

Selon un grand acteur du secteur rizicole malien, Docteur Kouriba, l’ambition malienne doit être à la hauteur de la demande de consommation de cette précieuse céréale, le riz, dans tous les pays  africains.

Alors que la production totale de riz en Afrique subsaharienne ne représente que 3% de la production mondiale, le Mali est classé deuxième en Afrique subsaharienne. L’allocation de 15% du budget national à l’agriculture est passée par-là. D’autres efforts sont en cours pour que le Mali devienne premier dans le secteur. Comme pour dire que sous IBK,  le Mali ambitionne devenir premier  dans tous les secteurs clés du développement durable.

Dans le classement subsaharien en matière de riziculture, le Nigeria est en tête pour le moment suivi du Mali, le  Madagascar, la  Tanzanie et la  Guinée.

Oumar KONATE

Source Conjointe en 2018: FAO; l’OCDE; FIDA

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2 COMMENTAIRES

  1. M. Oumar Konate ! Evitons le ridicule .Etes-vous journaliste de métier? Si oui,l’objectivite doit etre votre souci premier.Il y a eu depuis l’independence du Mali,une succession de grands Directeurs generaux de L’Office du Niger.Tl y a eu de multiples essais sur les semences selectionnees de riz pour accroitre la productivite rizicole dans les perimetres de l’Office et influer ensuite sur les cultures ricicoles dans les autres bassins.Tous ces granda economists agricoles ont surtout mis en place un systeme d’autofinancement de production de l’Office.L’Office ne depend pas a 100% du budget de l’Etat.A mon temps,il y avait le budget d’equipement qui s’est attele a l’extension des perimetres irrigues:construction des canaux principaux ,distribution de l’eau a partir des canaux,entretretien des canaux etc.Ce travail a long terme doit continuer sur des generations futures.Aujourd’hui,noius recoltons ce que nous avons seme.Ce travail a long terme d’extension des perimetres irrigues doit se poursuivre avec une vigtueur renouvelee,a plusieurs dizaines de kilometers du lit du fleuve.Le travail gigantesque sur le fleuve Niger lui-meme n’a pas encore commence.Comme le bassin du fleuve Senegal que nous concu et realise,les generations presentes ,sur le chantier,doivent formuler le Plan Directeur de Developpement du Bassin du Fleuve Niger dont l’agriculture irriguee constituera le programme cardinal.

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