On a souvent l’habitude de dire que les gens viennent à l’hémicycle pour se faire uniquement la poche ou bénéficier de l’immunité parlementaire qui leur servira de couverture. C’est pourquoi, la représentation nationale est aujourd’hui envahie par les opérateurs économiques. Mais le député dont on parle ici est l’honorable Mamadou Diarassouba qui est à son deuxième mandat successif à Bagadadji. L’homme fait partie du nombre restreint d’élus nationaux modèles. Malgré tout son engagement pour sa circonscription, l’honorable Diarassouba fait l’objet d’attaques savamment programmées, une cabale, notamment sur les réseaux sociaux.
Le bienfait n’est jamais perdu, a-t-on coutume de dire. Cette citation sied bien à l’élu de la commune rurale de Dioïla, Mamadou Diarrassouba. Ce monsieur force l’admiration. Lorsque nous avons fait un tour à Dioïla, à la veille des législatives passées pour un reportage, les populations nous ont tellement parlé des bienfaits de lui, que nous n’avons jamais douté de sa réélection. Ce qui nous a surpris a été le fait qu’il n’a pas pu passer dès le premier tour. Mais après nos investigations, il s’est avéré qu’il a été combattu par certains barons de son propre parti même pour l’empêcher d’entrer à l’hémicycle. Ces derniers auraient donné plusieurs millions à certains de ses adversaires pour l’ébranler. S’ils l’ont contraint à un deuxième tour, ils ont été incapables de lui barrer la route de l’assemblée puisqu’il y a accédé avec plus de 60 % des voix et avec quatre autres et cela sur liste propre tandis que d’autres ont été obligés de composer avec le diable pour passer. Lorsqu’on est chaque fois au chevet des populations, on obtient forcement leur confiance et l’argent ne pourra jamais les détourner de vous. Selon nos informations, Mamadou Diarrassouba ne peut jamais faire une semaine lorsqu’il est au Mali sans passer voir les populations de Dioïla. Il est devenu le parent de toute la communauté. Il partage avec eux le malheur et le bonheur selon les populations elles-mêmes. Que ce soit baptêmes, mariages ou funérailles, Diarrassouba est toujours aux premiers rangs selon les populations. C’est pourquoi, le député de Dioïla n’a eu aucun mal à convaincre les contonculteurs du Banico de cultiver l’or blanc cette année même si certains veulent aujourd’hui récupérer cette prouesse. L’implication personnelle de l’élu de Dioïla est salutaire quand on sait que les paysans avaient opposé un niet catégorique au prix du kg de coton proposé par l’Etat. Selon eux, ils n’avaient rien à gagner. Alors, l’élu de Dioïla a eu les mots justes pour les convaincre à réintégrer le coton dans leur culture. Cette performance de Mamadou Diarrassouba gène considérablement certains dans le milieu de la culture du coton et particulièrement de la CMDT qui voient d’un mauvais œil un élu venir réussir là où eux, ils ont lamentablement échoué. Ils pensent que leurs postes sont aujourd’hui menacés d’où cette campagne de désinformation et d’intoxication à l’encontre de l’honnête élu.
Finalement on se demande qui veut réellement la tête de ce dévoué homme du terroir ? La question mérite bien d’être posée puisque depuis un certain temps, une véritable cabale est montée contre lui dans une certaine presse et sur les réseaux sociaux avec comme objectif, détruire coute que coute l’homme. Nous n’avons aucune prétention, puisqu’il n’y’a jamais eu de contact entre nous. Mais notre objectif est et restera la protection des cadres honnêtes qui deviennent de plus en plus rares dans notre pays. Nous n’assisterons jamais à la destruction d’un homme qui se bat tous les jours pour le bien-être des siens. Notre devoir est aussi d’encourager l’excellence dans notre pays. Si Mamadou Diarrassouba a réussi à convaincre les paysans, c’est parce qu’il est proche des populations, c’est parce qu’ils ont sa confiance. Et c’est cela un vrai député. Alors que chez nous au Mali, il y’a peu des députés qui ne font même pas la restitution, le minimum exigé. Sur ce point le cas le plus choquant a été celui de l’ancien président de l’assemblée qui a fait toute la mandature sans faire une seule restitution. Aujourd’hui, il y’a des députés qui sont incapables de retourner vers les populations pour faire la restitution puisque les populations ne se reconnaissent pas en eux. Alors, ils représentent qui à l’hémicycle ? Lorsqu’on ne connait pas les problèmes des populations, peut-on les défendre ? Peut-on les aider ? Nous pensons que non, et Diarrassouba est véritablement un modèle de député, un patriote dévoué pour la cause des populations de sa commune. Malgré son statut de premier questeur de l’assemblée nationale d’alors, il a toujours eu le temps pour ses concitoyens. Nous n’avons pas l’habitude de jeter des fleurs aux hommes politiques mais l’honorable Mamadou Diarrassouba a toute notre considération. Le Dr Bokari Treta et ses camarades du parti avaient entièrement raison de porter leur confiance sur ce digne fils du Banico pour le perchoir de l’Assemblée nationale.
Bakara Diallo
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