La salle de conférences du Ministère de l’Agriculture, a abrité, le mercredi 03 Aout 2017, une importante rencontre organisée par le Programme Compétitivité et Diversification Agricole. Présidée par le Secrétaire général du département, la rencontre vise à assurer la diffusion de différents outils auprès des acteurs des filières.
-Maliweb.net – Le Programme de Compétitivité et Diversification Agricole (PCDA) préparé par le Gouvernement du Mali avec l’appui technique et financier de la Banque Mondiale, a été mis en vigueur courant 2006, dans le but de contribuer à la levée des contraintes critique au développement d’un certain nombre de filières commerciales agricoles à haute valeur ajouté et pour lesquelles le Mali jouit d’un avantage comparatif et d’opportunités de marchés confirmées. Le projet (PCDA) a été exécuté pendant une période de 10 années subdivisées en deux sous phases : le projet initial (2006-2012) et la phase additionnelle (2013-2015). L’une des recommandations du rapport d’achèvement du projet prévoit la mise en place d’une unité intérimaire, dotée de ressources financières conséquentes et de ressources humaines qualifiées, pour coordonner et gérer les activités à conduire dans le cadre d’une phase de transition. C’est dans ce cadre qu’en septembre 2015, et par décision du Ministère du Développement Rural, une Unité intérimaire de Consolidation et de Gestion des acquis du PCDA, a été mise en place. Objectif ? Assurer la consolidation des activités du projet et assurer la diffusion et la capitalisation des résultats obtenus. «La cérémonie qui nous réunit consacre la mise à disposition de différents outils techniques élaborés par le PCDA dans le cadre du développement des capacités des acteurs, notamment en matière d’orientations et de références pour la prise de décisions », a déclaré le secrétaire général du ministère de l’Agriculture. «Le PCDA, à travers sa composante 1 sur l’innovation et Diffusion de technologie et sa composante2 relative à amélioration de la performance des filières Agricoles, a élaboré plusieurs outils destinés à être vulgarisés auprès des différents professionnels des filières, des services techniques de l’Etat et des structures d’appui », a en outre ajouté le secrétaire général du département.
Ces outils portant essentiellement sur l’amélioration de la compétitivité, les techniques de production et de transformation sur les filières animales et horticoles, ont pour noms : Plans de compétitivité Filière (PCF), les Référentiels Technico-économiques (RTE), les Kits d’entreprises agricoles et les Guides de Systèmes d’irrigation ; des documents stratégiques opérationnels qui ont été élaborés avec une démarche scientifique, selon le porte parole du ministre de l’Agriculture.
Le plan de compétitivité, faut-il le préciser, est un outil d’orientation et de référence pour la prise de décisions sur les investissements stratégiques entrepris au niveau des filières prioritaires ciblées par le PCDA. Il vise notamment à fournir un tableau de bord avec une série d’outils pour opérationnaliser les plans de développement stratégique des filières réalisés par le projet dans le cadre d’une concertation public-privé. Le Référentiel technico économique est une fiche technique et économique caractérisant l’utilisation d’une technologie sur une spéculation ou un produit donné. Il sert d’outil pratique et décisionnel pour les promoteurs des sous projets dans le choix des technologies diffusés par le PCDA. Le Kit, qui est une traduction du RTE, constitue une évaluation quantitative et financière de l’ensemble des équipements, infrastructures et outils techniques et technologiques et qui renseigne les promoteurs des sous projets sur le coût d’investissement en fonction des options techniques appliquées. Ce sont des différents outils que le PCDA a remis aux différents professionnels des différentes filières mangue, pompe de terre, échalote, papaye.
La rencontre a été l’occasion pour le coordinateur du PCDA, Fodé Konaté, de rappeler certains grands succès du projet. «Au delà des réalisations physiques, notamment la réalisation des infrastructures de fonctionnement du pôle de fonctionnement de Sikasso et de Koulikoro, le PCDA a également contribué à développer l’expertise dans le domaine de l’irrigation contrôlée, dans le domaine de la formation des acteurs. Il a aussi produit des outils qu’on appelle des référentiels technico économiques, plus un plan de compétitivité des filières », a-t-il tenu à préciser. Le coordinateur du projet a tenu à insisté sur l’importance de ces documents qui sont autant d’outils destinés à améliorer la compétitivité des filières à travers l’augmentation de la productivité. Et de prendre l’exemple sur la filière mangue : «Le rendement moyen de mangues au Mali fait 5 tonnes à l’hectare. Mais avec les outils qu’on a élaborés on peut aujourd’hui produire 25 à 30 tonnes à l’hectare. Si dans le temps, on faisait 100 pieds à l’hectare pour 5 tonnes, aujourd’hui le PCDA conseille 400 pieds à l’hectare avec le système d’irrigation qui permet non seulement de régulariser la production, de l’augmenter et, ensuite, de rendre les acteurs compétitifs», a indiqué M Fofana.
Au cours de la rencontre, le coordinateur du PCDA a évoqué les résultats importants obtenus. Selon lui, au delà des réalisations physiques, notamment la réalisation des infrastructures de fonctionnement du pôle de fonctionnement de Sikasso et de Koulikoro, le PCDA a également contribué à développer l’expertise dans le domaine de l’irrigation contrôlée, dans le domine de la formation des acteurs et a produit des outils qu’on appelle des référentiels technico économiques, plus un plan de compétitivité des filières. Pour le coordinateur du PCDA, ces outils sont d’autant importants que leur élaboration a donné lieu à des démonstrations sur différentes technologies, comme la technologie d’irrigation, la technologie de transformation et la technologie de productions animales. «Ce sont des technologies qui ont été importées et adaptées aux réalités maliennes avec les acteurs et avec des instituts comme l’IER et l’IPR qui ont garantie les résultats de leur qualité scientifique». Pour le coordinateur du PCDA, ces démonstrations ont été clôturées par des documents. documents qui sont des outils d’aide à la décision ; qui permettent désormais aux opérateurs de choisir leur option technologique et de se faire une idée de ce qui va se faire, ils permettent d’améliorer la compétitivité des filières c’est-à-dire l’augmentation de la productivité. «Le rendement moyen de mangues au Mali fait 5 tonnes à l’hectare. Mais avec les outils qu’on a élaborés on peut aujourd’hui produire 25 à 30 tonnes à l’hectare. Si dans le temps, on faisait 100 pieds à l’ha pour 5 tonnes, aujourd’hui le PCDA conseille 400 pieds à ha avec le système d’irrigation qui permet non seulement de régulariser la production mais de l’augmenter ensuite de rendre les acteurs compétitifs », a ajouté M Fofana.
Placée sous la présidence du Secrétaire général du département, la rencontre a enregistré la présence de Fodé Konaté, coordinateurs du PCDA ; des représentants des organisations internationales et de la coopération bilatérales, les chefs de services techniques et des projets et programmes, ainsi que de nombreux acteurs des filières Agricoles.
A travers cette rencontre il s’agissait pour le PCDA de remettre aux acteurs un certain nombre d’outils techniques que le PCDA a élaborés dans le cadre du développement des capacités des acteurs, notamment en matière d’orientations et de références pour la prise de décisions.
A travers sa composant 1 (Innovation et Diffusion de technologie) et la composante2 (Amélioration de la performance des filières Agricoles), le PCDA a élaboré plusieurs outils destinés à être vulgarisés auprès des différents professionnels des filières, des services techniques de l’Etat et des structures d’appui. Ces outils, portant essentiellement sur l’amélioration de la compétitivité, les techniques de production et de transformation sur les filières animales et horticoles, sont : les Plans de compétitivité Filière (PCF), les Référentiels Technico-économiques (RTE), les Kits d’entreprises agricoles et les Guides de Systèmes d’irrigation. Il s’agit de documents stratégiques et opérationnels élaborés avec une démarche scientifique. On y trouve des données consignées et validées à plusieurs niveaux par les services techniques compétents de l’Etat. Le premier document, le plan de compétitivité, est un véritable outil d’orientation et de référence pour la prise de décisions sur les investissements stratégiques entrepris au niveau des filières prioritaires ciblées par le PCDA. Il vise notamment à fournir un tableau de bord avec une série d’outils en vue d’opérationnaliser les plans de développement stratégique des filières réalisés par le PCDA dans le cadre d’une concertation public-privé. Le second outil, le Référentiel technico économique, est une fiche technique et économique caractérisant l’utilisation d’une technologie sur une spéculation ou un produit donné. Il sert d’outil pratique et décisionnel pour les promoteurs des sous projets dans le choix des technologies diffusés par le PCDA. Le Kit, qui est une traduction du RTE, constitue une évaluation quantitative et financière de l’ensemble des équipements, infrastructures et outils techniques et technologiques et renseigne les promoteurs des sous projets sur le coût d’investissement en fonction des options techniques appliquées. «Au delà des réalisations physiques, notamment la réalisation des infrastructures de fonctionnement du pôle de fonctionnement de Sikasso et de Koulikoro, le PCDA a contribué à développer l’expertise dans le domaine de l’irrigation contrôlée, dans le domine de la formation des acteurs et a produit des outils qu’on appelle des référentiels technico économiques, plus un plan de compétitivité des filières», a déclaré Fodé Konaté. Pour le coordinateur du PCDA, ces outils sont d’autant importants que leur élaboration a donné lieu à des démonstrations sur différentes technologiques : technologie d’irrigation, technologie de transformation, technologie de productions animales. «Ce sont des technologies qui ont été importées et adaptées aux réalités maliennes avec les acteurs et avec des instituts comme l’IER et l’IPR qui ont garantie les résultats de leur qualité scientifique », a-t-il en outre indique. Pour le coordinateur du PCDA, ces démonstrations ont été clôturées par des documents ; documents qui sont des outils d’aide à la décision ; qui permettent désormais aux opérateurs de choisir leur option technologique et de se faire une idée de ce qui va se faire, ils permettent d’améliorer la compétitivité des filières c’est-à-dire l’augmentation de la productivité. «Le rendement moyen de mangues au Mali fait 5 tonnes à l’hectare. Mais avec les outils qu’on a élaborés on peut aujourd’hui produire 25 à 30 tonnes à l’hectare. Si dans le temps, on faisait 100 pieds à l’ha pour 5 tonnes, aujourd’hui le PCDA conseille 400 pieds à ha avec le système d’irrigation qui permet non seulement de régulariser la production mais de l’augmenter ensuite de rendre les acteurs compétitifs », a ajouté M Fofana.
Nous l’avons fait pour la mange, mais ces outils sont valable aussi pour les autres cultures, notamment la papaye, la pomme de terre, l’échalote. Le Mali gagnerait à exploiter ces outils.
Mot du coordinateur PCDA : le PCDA au delà des réalisations physiques, notamment la réalisation des infrrasture de fonctionnmt du pole de fonctionnement de sikasso et de kkoro, le pcda a contribué à développer l’expertise dans le domaine de l’irrigation contrôlée, dans le domine de la formation des acteurs ; le Pcda a aussi produit des outils qu’on appelle des référentiels technico économiques, un plan de compétivité des filières. Ces outils sont d’une importance capitale, dans la mesure où dans leur élabortaion il y a eu des démonstrations sur différentes technologiques : technologie d’irrigation, techno de transformation, technig de productions animales. Ce sont des technologies qui ont été importées et adapté aux réalités maliennes avec les acteurs et avec les instituts comme l’IER et l’IPR qui ont garantie les résultats de la qualité scientifique.
Ces démonstrations ont été clôturées par des documents ; Ces doc sont des outils d’aide à la décision ; qui permettent désormais aux opérateurs de choisir leur option technologique et de se faire une idée de ce qui va se faire, ils permettent d’améliorer lla compétitivité des filières c’est-à-dire l’augmentation de la productivité. Le rendement moyen de mangues au Mali fait 5 tonnes à l’hectare. Mais avec les outils qu’on a élaboré on peut aujourd’hui produire faire 25 à 30 tonnes à l’hectare. Si dans le temps, on faisait 100 pieds à l’ha pour 5 t, aujourd’hui le PCDA conseille 400 pieds à ha avec le système d’irrigation qui permet non seulement de régulariser la production mais de l’augmenter ensuite de rendre les acteurs compétitifs. Nous l’avosns fait pour la mange, mais ces outils sont valable aussi pour les autres cultures, notamment la papaye, la pomme de terre, l’échalote. Le Mali gagnerait à exploiter ces outils.
Papa SOW