Monde rural Bakary Togola, un paysan parmi des paysans : plus de 700ha aménagés pour la campagne agricole 2012/2013

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Le paysan pilote de niamala et non président de l’assemblée permanente des chambres d’agriculture du mali (apcam) et de l’union nationale des sociétés coopératives des producteurs de coton (unscpc) ; n’a pas lésiné avec les moyens pour cette présente campagne qui vient de démarrer. plus de 700ha aménagés, repartis entre le maïs, le coton, le mil, le sorgho et les autres cultures.

 De son village natal de niamala à dialakoroba en passant par koumantou et bougouni, bakary togola demeure un exemple à suivre dans le secteur agricole de notre pays. avec de sobres moyens, il récolterait chaque année des dizaines de tonnes de coton, de maïs, de mil, de sorgho, de pomme de terre et bien produits agricoles.

Pour l’enfant de niamala, seuls : le courage et la volonté devraient être les mots d’ordre d’un producteur agricole. la terre ne veut que celui qui accepte de la rentabiliser. jamais elle ne trahi, a confié bakary togola. le mali avec des millions d’hectares de terres cultivables ne devrait pas envier une autre nation de l’afrique. mais ce qui nous manque, d’accord qu’en partie les moyens adéquats manque pour  une bonne agriculture, mais avec le peu de moyens que nous disposions cela devrait nous permettre de nous en sortir quelque l’issu d’une campagne agricole.

Et bakary togola de soutenir que cette année, il a fini d’aménager plus de 320ha de maïs, près de 40ha en mil et autant en sorgho, 10ha en pomme de terre et plus de 110ha en coton. parlant du coton, il a planifié son plan de campagne sur 1,5 à 2 tonnes à l’hectare. tandis qu’en maïs, il a indiqué, qu’à l’hectare, il pourrait en récolter au moins entre 1,3 et 2 tonnes.

Pour la main d’œuvre, dans les champs de bakary togola, elle est en grande partie constituée de ses proches parents : frères, sœurs, épouses, enfants, nièces et neveux. en plus de cette force agricole humaine, le paysan pilote de niamala dispose des bœufs de labour et des charrues en plus des tracteurs, qui le servent et au même titre que d’autres producteurs exerçant leurs boulots à côté de lui, tant à dialakoroba qu’à niamala, koumantou et bougouni.

 

Zhao ahmed a. bamba

 

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