La famine s’installe dans les familles, les trois repas quotidiens sont de plus en plus rarement assurés par le malien lambda.
En cause : aujourd’hui les prix des denrées de première nécessité ne cessent de grimper dans la capitale comme à l’intérieur du pays. Dans ces derniers temps, en effet, les céréales les plus consommées (riz, mil, maïs, etc.) connaissent une flambé de prix considérable sur l’ensemble du territoire, à un point tel que le phénomène devient insupportable pour la plupart des consommateurs. La situation alimentaire est ainsi très cruciale dans le pays et peu de concitoyens parviennent à assurer les trois repas quotidiens. Cette tradition malienne n’est d’ailleurs plus à l’ordre du jour dans nombre de familles à cause de l’augmentation excessif des prix des céréales au Mali. Si la dotation était mensuelle pour beaucoup des maliens, aujourd’hui la situation est telle que cela n’est plus possible avec la situation actuelle.
La dotation alimentaire pour la plus part des maliens se gère quotidiennement ce qui fait les trois repas quotidiens ne sont plus faciles à assurer.
Aujourd’hui cette crise alimentaire est à la source de beaucoup de maux. Les chefs de famille n’ont plus de quoi à donner dans leur famille alors qu’on ne peut pas laisser le ventre vide les sujets. Tout le monde se débrouille à sa manière, les enfants mènent des activités de toutes sortes pour combler le vide et cela à tout prix. Tandis que les garçons choisissent la mendicité pour compléter leur régime alimentaire, les filles deviennent des proies faciles pour les plus aisés. Et même les fonctionnaires qui sont censés avoir les moyens pour assurer leur dotation alimentaire n’hésitent pas à organiser des missions et des formations pour surmonter cette crise alimentaire.
Pourquoi cette augmentation exorbitante des prix des denrées alimentaires ?
La réponse à cette question nous amène à évoquer l’irresponsabilité des autorités maliennes. Aujourd’hui les maliens sont victimes d’une anarchie, chacun fixe le prix de son article n’importe comment. Vivement une transposition des mesures récemment prises pour le loyer dans le domaine des denrées de première nécessité.
A KEITA
Bonjour a toutes et à tous,
Je ne dirai rien de la forme. Mais je me dis que l’article est un saut d’humeur. Pourquoi?
D’abord en lisant l’article, je me suis poser plus de question que de solutions. Quel est le cout de production des denrées dont il est question dans ton article?
Quel est la marge de bénéfices pour les agriculteurs afin qu’ils puissent nourrir leur famille et subvenir aux besoins de base de leurs familles?
quel est le prix de ces denrées sur le marché?
Je reviens a la situation des producteurs et productrices. Au moins 70 % des maliens sont des producteurs. Moi et beaucoup d’autres de mes amis savons que très souvent nous contribuons aux charges de nos familles restées au village.
Pourquoi le paysan n’arrive pas à nourrir sa famille?
Je crois que tous ceux qui ont des parents aux villages savent combien ils contribuent pour aider leurs familles.
Imaginez si on acceptait de vendre le kg de riz à 2000 FCFA? Je suis fou je le sais. Mais acceptez que nous tous retournerons au village pour cultiver.
Pourquoi le commerçant peut il payer une voiture et un agriculteur qui le fournit en denré ne peut s’acheter même une moto?
je m’attendais à une comparaison de prix à la même période des années passées et par spéculations(riz, mil, sorgho, nimbé et folio)
ton article nous laissons sur notre faim.
apprends mieux à faire des analyses.
Une rédaction calamiteuse, des fautes en tout genre et un papier exclusivement descriptif, dépourvu d’analyse, aucun effort intellectuel n’est mis dans cet article. Il doit être purement retiré du site et oublié au plus vite.
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