La salle de conférence de la DFM du ministère de l’agriculture a servi de cadre le samedi 04 juin 2016 à la tenue de l’atelier de validation des résultats de l’étude de création et d’opérationnalisation de la plateforme nationale de contrôle de qualité des intrants agricoles. L’atelier était organisé par l’Observatoire du Marché Agricole (OMA) en collaboration avec l’Assemblée permanente des chambres d’agriculture du Mali.
Cet atelier a enregistré la participation des structures d’encadrement comme la direction nationale de l’agriculture, la direction nationale du commerce et de la concurrence, le Service semencier national, les sociétés importatrices d’engrais, les distributeurs d’engrais. Ont également pris part à la session, les organisations de producteurs de semences, des représentants des organisations professionnelles agricoles, l’Institut d’économie rurale (IER), l’Institut polytechnique rural, de formation et de recherche appliquée (IPR/IFRA) de Katibougou et du Commissariat à la sécurité alimentaire.
Il faut rappeler que l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) a financé le projet et qu’il est piloté par l’OMA.
Notre agriculture reste extensive après plus de trois décennies de libéralisation et malgré les politiques et stratégies appliquées pour faciliter l’accès des producteurs aux intrants. Ainsi, chaque année, des milliers d’hectares sont défrichés mais les rendements sont faibles.
Pour remédier à cette situation, des solutions innovantes qui ont été testées en vue de favoriser l’intensification de l’agriculture et d’améliorer l’utilisation des intrants agricoles n’ont pas apporté les résultats escomptés. Aussi, des politiques et lois ont été promues pour libéraliser les filières des semences, engrais et fertilisants. Toutefois, à cause de nombreux dysfonctionnements, la qualité des intrants se déprécie. Les facteurs concourant à aggraver ces dysfonctionnements sont, entres autres, l’insuffisance d’harmonisation des politiques, lois et règlements dans l’espace CEDEAO, le manque de mécanisme de contrôle des intrants, la non actualisation des catalogues officiels d’intrants agricoles. A cela, il faut ajouter le manque de laboratoire régional de contrôle de qualité des intrants, la mauvaise qualité des semences et engrais vendus, le manque de concertation entre les acteurs du secteur semencier.
L’implication de tous les acteurs, y compris le gouvernement, les partenaires techniques et financiers, les producteurs, les commerçants, les transformateurs, les opérateurs d’intrants dans le développement et la mise en œuvre de bonnes pratiques et des régulations constituent un gage d’accès des petits producteurs aux intrants de qualité.
Pour y parvenir, le projet a mené des études permettant de collecter et d’analyser les contraintes majeures et a conduit des plaidoyers auprès du gouvernement. Les résultats ainsi obtenus par les études ont permis d’informer les autorités afin de renforcer les mécanismes de contrôle.
Le projet incitera le gouvernement à réaliser des investissements dans le secteur des intrants par la mise en œuvre de mesures comme les facilités fiscales. Le plaidoyer en direction du gouvernement est destiné à améliorer l’environnement politique et orienter les options stratégiques vers une révolution verte au Mali sur la base des résultats de la recherche. Les efforts fournis par le projet visent à améliorer l’harmonisation des lois, des programmes et des cadres réglementaires garantissant l’accès, l’utilisation des intrants de qualité et l’amélioration des normes de qualité des produits agricoles.
L’objectif global est d’influencer la formulation et la mise en œuvre de politiques soutenant la Révolution agricole verte et des règlements favorisant l’accès aux intrants de qualité par les petits exploitants agricoles. L’atelier visait spécifiquement la mise en œuvre d’une politique d’amélioration de l’accès aux semences grâce à un système de plaidoyer, l’application des lois et règlements visant à améliorer le mécanisme de contrôle de la qualité des engrais au Mali. Enfin, l’atelier s’est employé à faciliter l’harmonisation et la domestication des lois et règlements du commerce afin de supprimer les barrières commerciales sur les intrants agricoles.
A l’issue des travaux, les participants ont convenu de créer et d’opérationnaliser une seule plateforme regroupant les acteurs des filières engrais et semences, d’installer dans les meilleurs délais d’ici à la fin juillet un comité d’initiative multi-acteurs. Ils ont décidé de confier au comité d’initiative, la réflexion sur la question du statut à conférer à la plateforme et de son ancrage institutionnel.
Mamadou DOLO
je pense qu’il serait nécessaire que les acteurs ainsi que le gouvernement se mettent pour trouver une solution afin que ce secteur soit à la hauteur et réponde aux exigences.
certes le gouvernement peut permettre d’améliorer l’environnement politique et orienter les options stratégiques vers une révolution verte au Mali sur la base des résultats de la recherche, mais est ce qu’il y a la volonté de par et d’autre pour relever le défie. les maliens doivent se mettre au travail pour valoriser leur intrants.
le mali est un pays agricole et des reformes ont été fait dans ce secteur qui attend les retombés. l’amélioration des qualités des intrants doit être la priorité afin que les intrants soient compétitives sur le marché et pour cela il faut effectuer des recherches au niveau de la qualité des engrais et autres produits.
pour la qualité des intrants qui se déprécie, les experts doivent se mettre ensemble afin d’apporter les solutions à ce problème. il faut dire aussi que seul la collaboration des agriculteurs peut aider le gouvernement afin de les aider à rendre les produits de bonne qualité.
il faut la participation de tous pour le progrès de l’agriculture malienne. chacun de nous est important et nous pouvons apporter quelque chose de nouveau si nous avoir la volonté, l’engagement pour le développement de notre pays. donc que chacun se mette au travail afin d’aider le gouvernement.
Les défis qui se présentent à notre agriculture sont vraiment de taille car comme mentionnés ci-dessus nous sommes toujours en phase d’agriculture extensive qui utilise assez d’espace et qui produit moins pendant que l’agriculture extensive occupe moins d’espace et permet une plus grande production. Il faut donc penser à des solutions alternatives pour une agriculture plus performante.
Il n’y a rien de telle que la coopération. A tous les niveaux; celle-ci est profitable. Il faut donc que les conclusions de cet atelier puisse être traduit en actes afin de permettre d’offrir des engrais et des semences de bonnes qualités pour permettre l’augmentation de la productivité.
Les efforts de l’état dans ce secteur quand bien important de notre économie qu’est notre agriculture ne doivent pas être négligé. De la remise des engrais subventionné aux tracteurs, le gouvernement en a assez fait.
Cependant, si d’autres prérogatives se posent; le gouvernement ne saurait rester inactif face à celles-ci.
Notre pays ne dispose pas des mêmes potentialités que les autres surtout au plan climatique. Il faut donc que ce genre d’actions soit multiplié en vue de permettre l’harmonisation des points de vues des uns et des autres en vue de permettre la modernisation de notre agriculture et d’atteindre l’autosuffisance alimentaire.
je pense qu’il aurai rien que du bonheur avec ce genre de projet.Si le gouvernement soutien ce projet nous aurons un avenir meilleur dans ce beau pays.Car ce pays a besoin de tous les fils pour nous aider dans sa gestion.
Le gouvernement malien doit donner plus importance a ce projet pour que une fois de plus encore cela puisse avoir plus de réussite dans les jours avenirs.
Notre avenir, l’avenir de ce monde repose sur l’agriculture,l’initiateur de cette journée doit être vraiment saluer par tous les maliens car cette journée c’est un grand espoir pour le Mali et l’Afrique.
Cette plateforme qui a été organise le samedi 04 juin 2016.L’atelier était organisé par l’Observatoire du Marché Agricole (OMA) en collaboration avec l’Assemblée permanente des chambres d’agriculture du Mali.
L’agriculture est un domaine a ne pas négliger car l’avenir de ce pays donc toute investigation dans ce domaine est d’une grande importance.
Le pays a fait d’importants reforme dans le domaine agricole qui ne tarderont pas à donner les résultats.Pour ce qui est des intrants je pense que c’est l’organisation de la distribution qui pose problème.Il faut donc résoudre ce problème pour le bien ne notre agriculture.
l’accès aux intrants agricole est primordiale dans l’accroissement de la dite secteur l’état accorde une grande importance a ce domaine vu qu’il est le second pilier de l’économie c’est pourquoi Le président IBK a toujours accordé une grande importance au secteur agricole, mais il n’est jamais assez de faire la promotion du secteur agricole dans toute sa généralité. Le gouvernement malien doit d’avantage s’impliquer dans ce domaine.
Je pense que les acteurs du secteur agricole doivent se mettre ensemble et faire des propositions au gouvernement malien dans le plus de facilité l’accès aux intrants pour tous.
L’agriculture malienne tient malgré les difficultés du moment.Les engrais doivent être accessibles à tous afin de booster l’agriculture de notre pays.Je pense que les reformes entrepris par le gouvernement malien dans le secteur agricole vont surement contribuer à développer notre agriculture.
Je pense qu’il faut mécaniser l’agriculture maliens pour qu’elle soit à même de faire du Mali un pays auto suffisant en aliments.Je pense que pour qu’on y arrive il faut que les agriculteur s’inscrivent dans cette voie et que le gouvernement les accompagne.
ces intrants sont distribuer dans le but d’accroître le domaine agricole dans l’espace CEDEAO s’il s’avère qu’il comporte des insuffisance alors l’état est dans tout ses droit d’etre interpeller ça concerne un domaine sensible
tout ce qui touche a l’agriculture doit être au sérieux surtout c’est des engagements du gouvernement cet interpellation ne va pas tarder a se résoudre
L’améliorer la qualité de l’agriculture à travers l’amélioration de la capacité et du nombre des intrants agricoles est très important pour un pays principalement agricole comme le Mali. J’invite le gouvernement malien a vraiment encourager ce genre d’atelier et mettre en pratique les initiatives de cet atelier.
Les intrants agricoles sont distribués chaque années aux agriculteurs afin d’ accroitre le rendements.Cependant il faut dire que souvent les conditions climatiques ne favorisent pas une bonne récolte.
ce plaidoyer en direction du gouvernement est destiné à améliorer l’environnement politique et orienter les options stratégiques vers une révolution verte au Mali j'espère que le gouvernement tiendra compte de l'interpellation du plateforme
ce plaidoyer en direction du gouvernement est destiné à améliorer l’environnement politique et orienter les options stratégiques vers une révolution verte au Mali j'espère que le gouvernement tiendra compte de l'interpellation du plateforme
Cet atelier est vraiment salutaire ce sont ces types de d'atelier qui permet d'avancer le pays. J'invite les autorités malienne a accordé une grande importance à l'amélioration de la qualité de l’agriculture et l'accès aux intrants agricole des agriculteurs maliens.
Le président IBK a toujours accordé une grande importance au secteur agricole, mais il n’est jamais assez de faire la promotion du secteur agricole dans toute sa généralité. Le gouvernement malien doit d’avantage s’impliquer dans ce domaine.
L’Etat est entrain de mettre en place des politiques soutenant la Révolution agricole verte et des règlements favorisant l’accès aux intrants de qualité par les petits exploitants agricoles. Je pense que c’est une question.
Le gouvernement doit faire l’une de leurs priorités, l’amélioration de la qualité de l’agriculture et l’accès aux intrants agricoles des agriculteurs maliens. L’industrialisation du domaine à travers l’adoption de mesures propres doit être au rendez-vous. Nous saluons les initiateur de cet atelier.
L’Etat met tout en oeuvre pour que les agriculteurs puise avoir une bonne qualité d’intrant. Le gouvernement réalisera des investissements dans le secteur des intrants par la mise en œuvre de mesures comme les facilités fiscales.
Le président malien et toute son équipe doivent s’engager pour une bonne qualité de l”agriculture. Sans une bonne agriculture, le Mali étant un pays agricole, on ne saurait parler de développement.
Je pense que les pays de la CEDEAO doit d’avantage créer des espèce d’échange pour la promotion de l’agriculture dans l’espace de la CEDEAO. Tous les pays membres de la CEDEAO ont pour activités primordiale l’agriculture.
Les autorités maliennes doivent faire de l’une de leurs priorités, l’amélioration de la qualité de l’agriculture et l’accès aux intrants agricoles des agriculteurs maliens. L’industrialisation du domaine à travers l’adoption de mesures propres doit être au rendez-vous. Nous saluons les initiateur de cet atelier.
Je trouve plus que salutaire cet atelier sur l’amélioration des qualités des intrants agricoles dans le cadre de l’évolution de l’agriculture malienne. L’agriculture occupe une très grande importance dans l’évolution de notre pays.
Le président malien et toute son équipe doivent s’engager pour une bonne qualité de l”agriculture. Sans une bonne agriculture, le Mali étant un pays agricole, on ne saurait parler de développement.
Le Mali est un pays agricole qui doit organiser et améliorer la qualité de l’agriculture à travers l’amélioration de la capacité et du nombre des intrants agricoles.
L’Agriculture malienne est en train de connaître des avancées grâce à l’engagement des autorités maliennes pour l’industrialisation du domaine. Cet atelier a servi d’espace pour aborder certains problème de notre agriculture.
L’Etat met tout en oeuvre pour que les agriculteurs puise avoir une bonne qualité d’intrant. Le gouvernement réalisera des investissements dans le secteur des intrants par la mise en œuvre de mesures comme les facilités fiscales.
L’atelier sur l’amélioration des qualités des intrants agricoles est une bonne chose pour la qualité de l’agriculture malienne.Nous voulons des espaces d’échanges de ce genre.
L’Etat est entrain de mettre en place des politiques soutenant la Révolution agricole verte et des règlements favorisant l’accès aux intrants de qualité par les petits exploitants agricoles. Je pense que c’est une question.
Agriculture malienne est en train de connaître des avancées grâce à l’engagement des autorités maliennes pour l’industrialisation du domaine. Cet atelier a servi d’espace pour aborder certains problème de notre agriculture.
Je pense que l’Etat des dispositifs en place pour mettre fin au mauvais dysfonctionnement de la qualité des intrants. Le gouvernement harmonisera des politiques, lois et règlements dans l’espace CEDEAO.
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