Dans son allocution d’ouverture, le PDG Daffé, a passé au peigne fin plusieurs sujets importants ayant marqué la vie de la B.D.M en 2014 : vœux d’espoir pour l’année 2015, le poids de la douleur personnelle, la conjoncture économique défavorable, le résultat d’exploitation bénéficiaire, les banques de l’union qui ne sont plus du domaine du rêve, l’ouverture des guichets à Ouagadougou et Abidjan et les enjeux du futur, etc.
Malgré le poids de la douleur qui retentissait à chaque expression du fond de la gorge du PDG Abdoulaye DAFFE, le sourire lui succédait par moments. Signe très éloquent de bonheur, preuve du travail bien fait qui était gravé en noir et blanc dans une magnifique lettre que le boss de la boite adressait le 7 juin 2014 à l’ensemble du personnel de la BDM SA au regard de ses performances exceptionnelles et des succès engrangés.
En effet, à la BDM Sa, les années se suivent et se ressemblent lorsque nous regardons dans le panier des performances. Cette année encore, l’institution bancaire la plus importante de notre pays fait grimper le résultat d’exploitation net bénéficiaire.
Pour preuve l’exercice 2012 s’est soldé par un résultat d’exploitation de 10 milliards 304 millions de francs CFA tandis que celui de 2013 est de 11 milliards 463 millions de francs CFA. En 2014, l’exercice a été très utile pour une période de 9 mois d’activité, c’est-à-dire du 1er janvier au 30 septembre 2014.Selon le PDG de banque, « le résultat d’exploitation bénéficiaire est de 8 milliards 930 millions de francs CFA ».
Au cours de 49ème session du Conseil d’administration de la BDM, plusieurs points étaient inscrits à l’ordre du jour. Il s’agissait pour le PDG Abdoulaye Daffé de dresser le bilan de l’exercice de l’année écoulée, d’évoquer les projets de la banque, d’examiner tous les actes pour que la BDM continue sa grande marche et maintienne sa place de leader dans l’espace bancaire au Mali.
C’est pourquoi, il a indiqué dans son discours d’ouverture que « la BDM SA est une école ouverte à la jeunesse de notre pays, une école dans laquelle ses cadres enseignent notre culture d’entreprise faite d’humilité, d’engagement et de quête d’excellence ».
Il a aussi rappelé que l’Etat du Mali n’est pas l’actionnaire majoritaire de la BDM SA et qu’il ne détient que 19% du capital de l’Etablissement ». Avant d’ajouter que les Banques sont devenues une réalité en R.C.I et au Burkina Faso grâce au concours des partenaires. En effet, Messieurs Amidou Guindo et Idrissa Wélé Diallo sont respectivement DG et DG adjoint de la BDU CI. Messieurs Sanogo Abdoulaye et Mamadou Berthé sont respectivement DG et DG adjoint de la BDU BF, a dit le PDG de la BDM SA.
Il a également attiré l’attention des administrateurs et celle des journalistes sur l’ouverture prochaine des guichets Ouaga et à Abidjan dès les premiers jours ouvrables du mois de janvier 2015. Pour ce faire, les administrateurs ne badineront point. « Nous veillerons à ce que ceux-là que nous avons choisis comme dirigeants de ces banques de concert avec leurs frères du Burkina Faso, gèrent en bons pères de familles ces nouvelles institutions », a-t-il martelé.
Avant de terminer A. Daffé a remercié le personnel de la banque et a rendu un vibrant hommage aux frères du Maroc Mohamed AGOUMI et Benjelloun pour leur totale disponibilité. Il s’est appesanti sur les enjeux du futur qui, selon lui ne sont pas technologiques. Ils portent, dit-il, sur la qualité des ressources humaines, notre capacité à innover et à anticiper sur l’évolution du marché, a conclu le PDG Daffé.
Pour mémoire la Banque de Développement du Mali (BDM SA) est née le 22 mars 1968. « Vos ambitions n’ont pas de limites », c’est le slogan cher à ses administrateurs depuis sa création. Son Objectif essentiel est d’apporter un financement aux entreprises nationales. Aujourd’hui, le capital de la Banque est reparti entre la BMCE (27%), l’Etat du Mali qui détient 19%,la BOAD, plus de 15%,et la CCIM plus de 12%
Moussa Wélé Diallo
Luiz Antf4nio de Faria Fonseca disse:Pois e9, Edgard. Ogrigado por essa informae7e3o.O Mundo prsicea aprender a utilizar o que os cientistas colocaramm e0 nossa disposie7e3o. He1 25 anos a Unesco lane7ou um projeto de criae7e3o de uma cidade educativa para o mundo. Iafana, minha querida terra natal, foi escolhida juntamente com Itabira (terra de Drumond). Infelizmente, o projeto pouco avane7ou. Muito se prsicea fazer para que a hUMANIDADE APRENDA A CONVIVER EM PAZ CAMINHANDO PARA UMA EVOLUc7c3O CONSISTENTE. o OBJETIVO c9 ALCANc7AR O NOSSO ELO COM DEUS. Ne3o, o que alguns poucos ainda buscam : o elo com o macaco.Abrae7o.Luiz
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