Pour offrir un meilleur cadre de vie à la population du cercle de Dioïla : L’honorable Mamadou Diarrasouba donne le sourire à ses concitoyens de Banico

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Une caravane de presse composée de plusieurs organes de la place a sillonné le cercle de Dioïla, du samedi au lundi 15 janvier 2018, afin de visiter les différentes réalisations effectuées par le député élu dans la circonscription, l’honorable Mamadou Diarrassouba.

Bouya, située à quelques kilomètres de la ville de Dioïla a constitué la première étape de cette caravane de la presse. Sur place, les journalistes ont visité les projets réalisés par l’honorable Mamadou Diarrassouba. Il s’agit entre autres de la construction d’une mosquée et d’un centre de santé en collaboration avec l’ONG Al Farouk.

Selon l’imam de la mosquée, Abdoulaye Sékou Diarra c’est un exercice très pénible d’énumérer toutes les actions de bienfaisance de l’honorable Diarrassouba dans la localité. « La mosquée construite en banco existait depuis plus de 50 ans. Nous avons été confrontés au problème de dégradation de la mosquée. Raison pour laquelle, nous avons sollicité des bonnes volontés pour sa réhabilitation. Depuis que nous avons contacté Diarrassouba, il a accédé à notre demande. Ainsi, quelques jours après qu’il nous ait annoncé la nouvelle de la construction de notre mosquée, des matériaux de construction sont venus. La réalisation du centre de santé a suivi les travaux de la mosquée », a-t-il ajouté.

À le croire, l’honorable Mamadou Diarrassouba a participé à plusieurs actions de bienfaisances. À ses dires, le député s’est engagé à construire trois salles de classe dans le village.

Après, la délégation a mis le cap sur le village de N’ Golobougou, là également l’honorable Diarrassouba a électrifié le centre de santé de la localité. Le représentant du chef de village, Souleymane Sangaré dira que l’électrification du centre de santé est un acte salutaire. Cependant, il a évoqué le manque de salle de réunion et  de personnel qualifié pour la prise en charge des différentes pathologies. Il a ainsi émis le vœu de mettre à la disposition du centre de santé un médecin.

À sa suite, le président du Centre de santé communautaire (Cscom), Famolo Sidibé a déclaré qu’avant l’électrification, ses concitoyens vivaient dans une véritable incertitude. « Le centre est créé depuis 1991, depuis cette date le centre était confronté à un problème d’éclairage faute d’électricité. Souvent les accouchements se faisaient avec des torches. Depuis décembre 2017, le centre offre un nouveau visage, car l’honorable a fait installer des panneaux solaires de dernière génération dans le centre. Présentement, tous les appareils fonctionnent normalement 24 heures sur 24 », s’est-il réjoui.

Quant à la représentante des femmes, Aminata Sangaré, elle a rappelé les difficultés constatées lors des accouchements par manque d’électricité. Selon elle, l’installation des panneaux solaires a contribué à résoudre ces difficultés. Avant de rendre hommage à l’honorable Mamadou Diarrassouba pour avoir abrégé la souffrance des femmes de N’ Golobougou.

La troisième étape de la caravane était consacrée au village de Togo où le député RPM de Banico a contribué à la construction du centre de santé. Dans son intervention, le président de l’Association de santé communautaire (Asaco), Daouda Sylla s’est réjoui de la construction d’un centre de santé dans sa localité. Selon lui, cette infrastructure contribuera à assurer une meilleure prise en charge des cas de maladies. Il a saisi l’occasion pour saluer la démarche qui consiste à organiser une caravane de presse afin de visiter les réalisations de l’honorable Mamadou Diarrassouba. Selon lui, sans cette démarche, les bonnes œuvres du généreux donateur resteraient dans l’ombre. « Depuis plus de vingt ans, nous demandons la construction d’un centre de santé à Togo. Il a fallu l’avènement du régime de IBK pour que nos rêves se réalisent enfin. Car, les travaux de notre Cscom ont démarré peu de temps après l’investiture du président IBK. En plus du local construit en dur grâce à l’implication de l’honorable, nous avons pu avoir un médecin et quelques agents de santé ainsi des kits solaires », a-t-il martelé.

Pour sa part, le Directeur technique du centre, Ibrahim Traoré précisera qu’à la date d’aujourd’hui toutes les commodités répondant à toutes les normes requises existent dans le centre de santé de Togo. Et d’évoquer le besoin de recrutement d’autres agents de santé pour étoffer l’effectif du centre afin de permettre la prise en charge rapide des patients et réduire les cas de références vers la ville de Dioïla. Cependant, il a dénoncé les différents cas d’exercice illégal de la médecine dans son aire de santé. Selon lui, cette pratique menace dangereusement la santé des populations et de réduire par ricochet le taux de consultations dans le centre de santé, spécialisé en la matière.

Dans une autre localité en particulier le village de Seguela. Sur place, le chef de village Seydou Haïdara n’est pas passé par quatre chemins pour assener ses vérités. Il a renchéri qu’ils n’ont jamais connu l’existence d’État, car ils n’ont jamais bénéficié les avantages du gouvernement. Selon lui, la seule autorité à avoir pensé à la population de Séguéla c’est bien l’honorable Mamadou Diarrassouba à travers la construction d’un centre de santé.

Pour le représentant de la jeunesse, Seyni Haïdara, il a remercié l’honorable pour ses actions en faveur de ses concitoyens. Et d’émettre le vœu de la construction d’un système d’adduction d’eau. À le croire, le député a déjà donné l’assurance de la construction d’une école dans le village de Séguéla.

Au centre de santé de la ville de Massigui, l’honorable Mamadou Diarrasouba a également fait installer des kits solaires et la réalisation d’un laboratoire. Ainsi, la question de l’intégration des agents dans la fonction publique des collectivités territoriales a été évoquée par Dr Koné.

L’étape de Dioïla a consisté à la visite de la grande mosquée de la ville où l’imam Almoustapha Sangaré s’est réjoui de la construction de son établissement par les soins de l’honorable Diarrassouba. « Notre mosquée a été construite pour la première fois depuis 1930. Et elle s’est écroulée à plusieurs fois. C’est grâce à l’honorable Diarrassouba qu’elle a pu être construite en dur », a-t-il ajouté.

À Fana, la caravane a visité les travaux de construction de 100 logements sociaux destinés aux plus démunis de la ville en particulier les femmes veuves. Il convient de noter que lesdits logements sont financés en partenariat avec l’ONG Al Farouk pour un montant de près de neuf cent millions de nos francs.

Mama Paga

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