Cercle de Dioïla : L’honorable Diarrassouba au cœur des actions de développement

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Conscient de sa mission de député, Mamadou Diarrassouba, élu RPM à Dioïla, est très proche de sa population et a le sens élevé de l’écoute. Ce qui lui permet de connaitre les préoccupations majeures des populations. Ainsi, en partenariat avec des ONG, telle qu’Al Farouk, il a su donner des réponses aux cris de cœur de sa base. La caravane de presse sur ses réalisations socioéconomiques a permis aux journalistes,  le week-end dernier, de découvrir la symbiose entre lui et les habitants de son cercle.

 La défense des intérêts de la population de Dioïla au plan éducatif, sanitaire, et même religieux par Mamadou Diarrassouba n’est plus à démontrer. Il a su donner une nouvelle image  à cette localité à travers de nombreuses réalisations. Il s’agit  des 100 logements sociaux de Fana, les Cscom de Togo, de Mansara, Séguéla, Bouya en passant par  les mosquées de Dioïla, Bouya, Mansara et plusieurs autres localités de des arrondissements de Béléco, Fana, Mena et Banco. S’y ajoutent les  kits solaires et de sonorisation offerts aux centres de santé et mosquées de la localité. On n’en finit pas de compter aujourd’hui toutes les infrastructures sociales réalisées dans le cercle  grâce à l’engagement  de l’honorable Mamadou Diarrassouba.

Le  week-end dernier a été mis à profit par plusieurs  organes de presse pour effectuer  une visite dans la localité pour constater de visu certaines de ces réalisations et recueillir les témoignages des bénéficiaires.

100 logements sociaux gratuits: une première dans histoire du Mali

L’un des temps forts de cette visité a été la visite des chantiers des 100 logements sociaux de Fana. Bâtis sur une superficie de 4 hectares, ces logements contribuent à la lutte contre la pauvreté et à l’essor de la ville.

Selon Sidi Mohamed Traoré, agent de la Cmdt, c’est une première dans notre pays que des logements soient construits et gratuitement distribués aux populations vulnérables.

Même sentiment de satisfaction chez Modibo Diallo, chauffeur de son état, qui trouve que l’honorable Diarrassouba est un bâtisseur. Selon M. Diallo, il doit sa popularité au fait qu’il dit la vérité sans démagogie.

«Nous avons entendu parler de ces genres de réalisations dans des pays comme la Libye. Mais c’est la première fois que cela se réalise au Mali. Je suis satisfait de tout ce qu’il fait en tant que député pour le cercle. Mais récemment, il a fallu son intervention pour que la question du poste de Fana soit définitivement réglée», a-t-il témoigné.  La réalisation de ces logements participe de la visibilité de la localité.

«Dès que Diarrassouba parle, les populations du Banico sont d’accord», a-t-il conclu.

Partout où les caravaniers se sont rendus, le constat et les témoignages prouvent que Mamadou Diarrassouba est un député en phase avec sa base sur toutes les questions importantes touchant  le développement de la localité.

L’intéressé lui-même estime qu’il doit ce respect au fait qu’il est véridique avec les siens.

«Je suis un fils du tiroir et je n’ai pas besoin d’être sollicité pour leur venir en aide », a-t-il martelé. Avant de terminer, il a tenu à saluer et remercier tous les partenaires qui l’ont accompagné dans la concrétisation de ces œuvres, notamment l’ONG Al Farouk et le gouvernement du Mali.

Au-delà de ses nombreuses réalisations dont il parle avec humilité, le député estime que la principale préoccupation des populations du cercle de Dioïla reste aujourd’hui le bitumage d’un certain nombre de voies, notamment l’axe Dioïla-Massigui-Koualé, long de 140 km. «Les études sont confiées au bureau Sira pour 500 millions de francs CFA. Mais, selon ce bureau, pour que les études soient bien faites, il faut attendre l’hivernage», a souligné l’élu. En tout cas, Mamadou Diarrassouba affirme ne ménager aucun effort pour la prise en charge des souffrances des populations de Dioïla, et celles du Mali de façon générale.

 A la découverte des œuvres d’un député adulé par les siens.   

A la différence de certains  élus accusés de tourner le dos à leur base une fois les élections terminées, Mamadou Diarrassouba  reste l’un des plus proches des électeurs. Comme le dirait l’autre, les faits sont sacrés, les commentaires sont libres. Depuis  son élection, il ne cesse de multiplier les initiatives pour attirer les partenaires au développement dans la localité en vue de changer le quotidien des siens.  La réussite étant au bout de l’effort, aujourd’hui, ses efforts ont porté fruit et de nombreuses infrastructures sociaux de base dont, entre autres des Cscom, des mosquées, des logements sociaux,  sont à mettre à  son actif. Pour la plupart, il s’agit d’infrastructures réalisées grâce à l’appui de certains partenaires, notamment l’ONG Al Farouk, qui a cru à son engagement auprès des populations dans une localité où tout reste à faire.

Grâce à ces réalisations, le secrétaire à l’organisation du Rassemblement  pour le Mali (RPM) jouit actuellement d’une popularité sans équivoque auprès des populations du Banico qui ne tarissent pas d’éloges pour ce digne fils du terroir.

Le week-end dernier, l’occasion a été donnée à la presse de visiter certaines de ces infrastructures réalisées à travers tout le cercle. Des différents témoignages recueillis, il ressort que  Diarrassouba est un député très proche de ses concitoyens qui n’hésitent pas en retour de lui accorder leur soutien indéfectible.

Bouya est un village situé à quelques 33 km de Dioïla, en direction de Massigui. Là-bas, grâce à l’appui de l’ONG Al Farouk, une mosquée a été rénovée et un Cscom construit.

Selon l’imam Abdoulaye Sékou Diarra, cette mosquée, bâtie en banco depuis 50 ans, s’est écroulée plusieurs fois avant d’être reconstruite en ciment grâce à l’apport du député Diarrassouba et ses partenaires.

«Quand nous avons reçu les émissaires de l’honorable Diarrassouba, ça nous a soulagé.  Il était très difficile de prier dans la mosquée, tellement qu’il faisait sombre à l’intérieur. Nous remercions l’honorable pour ce geste. Il nous aide beaucoup», a-t-il confié. Aujourd’hui, cette moquée est entièrement rénovée et équipée de kit solaire pour l’éclairage au grand bonheur des fidèles. En plus de la mosquée, le député et son partenaire (ONG Al Farouk) ont aussi construit un Cscom, recruté des enseignants, payé des kits scolaires pour les enfants. De même, il est prévu la construction de 3 salles de classe. Ce que retient  Broulaye Sanogo, représentant le chef de village, c’est que tout a été rapide et la contribution des populations locales se limite aux travaux de manœuvre, l’apport en sable et en gravier.

«Nous remercions infiniment l’honorable. Nous avons connu beaucoup de députés, mais aucun d’entre eux ne nous a aidés comme Diarrassouba», a félicité M. Sanogo.

A N’Golobougou, situé à quelques km plus loin, Diarrassouba et ses partenaires ont installé un kit solaire dans le Cscom, où les femmes accouchaient dans le noir depuis sa création en 1991. Ici, les problèmes ont pour noms: manque de salle d’hospitalisation, problème de prise en charge du salaire du médecin.

Dans son intervention, la porte-parole des femmes, Aminata Sanogo, a exprimé la reconnaissance de ses sœurs à l’honorable Diarrass.

Après ces deux localités, les caravaniers ont mis le cap sur le village de Togo, situé à 55 km de Dioïla. Dans ce village, le gouvernement a répondu à la sollicitation des populations, transmise par  Mamadou Diarrassouba, en réalisant un Cscom entièrement équipé et doté de personnel qualifié, et une adduction d’eau. «IBK et son gouvernement nous ont soulagés. Il y a plus de 20 ans, nous n’avons cessé de solliciter les autorités maliennes pour la réalisation d’un Cscom dans notre aire sanitaire qui compte plus de 5 000 habitants. On ne peut pas saluer Diarrassouba à hauteur de ses actions», s’est réjoui le président de l’Asaco, Daouda Sylla. Il a souligné que la réalisation de ce Cscom a permis de rapprocher les soins des populations. «Aucun député ne nous a jamais aidés comme lui», a-t-il dit. Avant de demander au gouvernement de s’engager à prendre en charge le salaire du personnel qui pèse sur les épaules des populations démunies.

A Sanankoro-Kouloubadougou, situé à 62 km environs de Dioïla, Mamadou Diarrassouba et ses partenaires ont doté le Cscom d’un kit solaire pour l’éclairage des lieux. Ici, les populations réclament une école du niveau seconde cycle.

A Séribila, en plus d’une contribution financière, l’honorable a contribué à l’équipement de la mosquée en matériel de sonorisation et de kit solaire.

Dans cette localité, les populations, essentiellement des agriculteurs, réclament des salles de classe, des salles d’hospitalisation pour le Cscom, de même que la construction de la route qui relie leur village à Massigui, long de 30 km.

A Séguéla, les populations ont exprimé leur reconnaissance après la construction de leur centre de santé. Selon le chef de village, Seydou Haïdara, pour la première fois depuis l’indépendance du Mali, ses habitants ont su que l’Etat central pense à eux en apportant une solution à leurs problèmes de santé. Avant de s’engager à ne jamais abandonner leur député au profit de qui que ce soit.

«Nos femmes étaient souvent victimes de fausses couches avant qu’elles ne rallient Massigui, à 10 km de là. Ce centre de santé sera d’un apport inestimable, notamment dans le cadre de la santé maternelle et infantile», espère Zeyni Haïdara.

La ville natale de Mamadou Diarrassouba (Massigui) n’est pas aussi en marge des réalisations. Là-bas, les témoins oublient volontiers certaines réalisations à son actif.  Mais on peut tout de même souligner la dotation en laboratoire du Cscom, ainsi que le recrutement et la prise en charge du salaire de l’agent du labo. Ce qui permet  de sauver la vie de 500 enfants par an.  A cela s’ajoute la dotation du même Cscom en kit solaire pour l’éclairage et d’autres besoins énergétiques.

De son côté, le Directeur technique du Cscom (DTC), Seydou Koné, a souhaité voir certains agents intégrer la fonction publique des collectivités pour soulager le comité de gestion des charges lourdes du personnel.

Le Dr Koné de reconnaitre que  Diarrass est en train de faire de son mieux pour le bon fonctionnement de cette structure. «Pour les transfusions, c’était un problème, parce que nous sommes à 80 km de Dioïla. En 2015, nous avons approché Mamadou Diarrassouba qui nous a répondu favorablement pour qu’on puisse avoir un mini-labo. Il nous a ensuite appuyés pour le recrutement d’un laborantin qu’il a même payé pendant des mois avant que l’Association de santé communautaire (Asaco) ne prenne le relai.  En début 2018 également, il a amené un kit solaire qui a réglé tout le problème d’électricité à notre niveau », a reconnu le médecin.

A Mansara, un village situé à moins de 4 km de Massigui, les populations se réjouissent de la réalisation d’une mosquée et d’un Cscom qui attend d’être fonctionnel.

Le lundi 15 janvier 2018, retour de l’équipe de caravaniers à Dioïla. Avant de mettre le cap sur Fana, elle eu droit à la visite de la nouvelle mosquée de Dioïla-Bolibana. Cette mosquée, construite en 1930, a été  reconstruite.

L’imam Almoustapha Sangaré, rencontré sur place, a salué cette réalisation qui constituait une préoccupation majeure de la communauté musulmane de Dioïla. En plus du bâtiment principal, se félicite-t-il, nous avons eu un point d’eau. Toutefois, il a souhaité voir cette mosquée s’agrandir jusqu’au premier niveau pour permettre d’accueillir plus de monde.

Selon le président du comité de gestion de la mosquée, Abdoulaye Tounkara, cette mosquée existe depuis 1930 et était en état de délabrement avancé. Ainsi, sa réalisation contribue à l’épanouissement de l’islam dans la ville de Dioïla. C’est pourquoi, il a tenu à saluer et remercier le généreux donateur et son partenaire.

Au terme de la mission, l’initiateur de ces nombreuses réalisations, Mamadou Diarrassouba a souligné qu’étant un élu national en contact direct avec la population, il vit le quotidien et partage les préoccupations de cette dernière. Ainsi, dit-il, on n’a pas besoin de se faire prier pour la soutenir. D’où son engagement aux côtés des partenaires pour atténuer les souffrances des Maliens.

Oumar KONATE,  envoyé Spécial

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