Décidément le ridicule ne tue pas. La sale engeance composée de trois journalistes de la place et de deux candidats à la future présidentielle –le commanditaire et le bailleur de fonds d’ATT-cratie- tente dans le second tome de jeter l’opprobre sur votre fidèle serviteur, comme sur plusieurs autres dignes fils de ce pays. Elle nous accuse d’être payé par la SE à chaque fois que nous publions un de « ses » articles ; d’avoir reçu du matériel informatique- sans une autre précision- d’un financier du clan et surtout d’avoir reçu l’adresse en France de l’Hôtel où Soumeylou Boubèye Maïga a (aurait ?) séjourné selon nous du Directeur Général de SE !La tentative maladroite de blanchir Boubèye et IBK montre à suffisance le niveau de la panique de nos couillards. Lesquels font dans ce deuxième tome de la masturbation intellectuelle, tout en tombant dans l’injure et la menace.
Nous pouvons affirmer aujourd’hui que trois de nos excellents confrères qualifiés de « courageux » par « Le Sphinx encagoulé » dans ce tome II ne sont que de vulgaires poltrons parce qu’ils sont parmi les auteurs du mensonger tract ; deux autres ont été grassement payés pour se joindre à eux afin de faire la promotion et la vulgarisation de l’ouvrage maudit dans les colonnes de leur journal respectif. Nous laissons le soin au Procureur Général de la République- s’il le veut bien- d’ouvrir, enfin, une information afin de démanteler la racaille qui a planifié la basse œuvre. Basse œuvre n’est ni plus ni moins qu’un vulgaire acte de haute trahison contre notre peuple, une tentative de déstabilisation des fondements de la République, un complot contre la sécurité de l’Etat comme nous avons demandé à la greffière de l’acter au plumitif lors du procès en diffamation que Soumeylou Boubèye Maïga a intenté contre nous.
Procès qu’il a par perdu du reste.SBM, comme l’appellent ses affidés, a un mépris total envers ses confrères qu’il a transformés en véritables mouchards lors de son passage à la Direction Générale de Sécurité d’Etat. Il pense, dans son for intérieur, qu’aucun journaliste malien, sauf lui bien sûr, n’a un carnet d’adresses assez fourni pour découvrir ses basses besognes. Pour lui, le fait d’avoir été découvert, quelques jours, à peine, de la sortie du pamphlet, ne pouvait pas venir de nos investigations mais probablement des responsables de la SE qu’il continue pourtant de traiter d’incapables. Grand manipulateur devant l’Eternel, il pense que les autres n’ont rien dans le crâne. Boubèye qui séjournait à l’Hôtel Warwick, est effectivement passé à L’Harmattan pour déposer, non pas le manuscrit, comme nous l’avons dit – selon nos investigations le tout a été envoyé par courrier électronique, à partir du site, aujourd’hui fermé, d’un journal de la place- mais pour mettre la dernière main à la sordide et vile œuvre dont il est le principal instigateur.
On le soupçonne même d’en avoir écrit la conclusion. Le pamphlet avait pour objectif initial le rapprochement Boubèye et IBK pour la reconquête du pouvoir, c’est la raison pour laquelle deux de leurs proches, promotionnaires du reste, se sont investis, corps et âme, pour la rédaction et la vulgarisation du livre-tract.Nous pouvons dire fièrement à la nation toute entière que c’est nous qui avons informé la SE quand celle-ci, le plus normalement du monde, nous a convoqué, en tant que Directeur de publication du journal « Le Sphinx », édité à Bamako. Le choix du pseudonyme « Le Sphinx » par Boubèye et son clan n’est pas fortuit. Il a pour objectif de semer la confusion, salir et jeter le discrédit sur le Directeur de publication de votre journal préféré. Notre seul crime est d’avoir toujours refusé de collaborer avec lui pendant les six années qu’il a dirigé de main de fer la SE, mais aussi d’avoir eu le culot de parler dans nos « Confidences » ses déboires conjugaux. Il a juré d’avoir notre peau au lendemain de la publication dans nos colonnes de ses relations coupables avec M.O, sa Mata Hari, celle avec qui, il a détruit tant de foyers quand il était à la SE.
Relations impures qui provoquèrent le départ de sa femme légitime.Quant aux prétendus articles commandités à partir de la SE, ils ne sont que des imaginations de Boubèye et ses complices. Ils pensent que les choses continuent comme au moment où leur mentor était à la SE. Ils avaient brui que le PC en question nous avait été offert par la SE. Cette dernière, non seulement nous informe, puis nous donne un PC. Plus prosaïquement : on a le beurre, l’argent du beurre et le sourire de la crémière ! Quel boniment ! Ils vont nous trouver sur leur chemin ceux qui ont choisi le pseudonyme « Le Sphinx » pour signer ATT-cratie Nous ferons tout pour relever le défi qu’ils nous ont lancé en tant que journaliste d’investigations.Oui, chers couillards, nous ne sommes pas de la même chapelle que certains de vos scribouillards. C’est la raison pour laquelle, nous sommes et demeurerons votre objecteur de conscience. Nous ne nous lasserons jamais de rappeler au vaillant peuple malien le vol organisé que vous avez perpétré sur nos deniers publics pendant la décennie où vous étiez au pouvoir, l’OPA que vous avez lancé sur nos sociétés et entreprises d’Etat. Pour résumer le tome II est un véritable « kotéba », c’est l’histoire du ventriloque, Pryen et de sa poupée. « Le Sphinx ».
Dans ce grossier mensonge, les premiers sont les derniers ; les bons : les méchants ! Comme nous l’avions annoncé fin 2006, le sordide pamphlet ATT-cratie s’inscrit dans une logique de démolition politique d’ATT et du dénigrement systématique du Mali démocratique lors de la campagne présidentielle. La sortie de son deuxième tome, à deux semaines du 1er tour de la présidentielle, vient, encore une fois, confirmer nos dires. Le sordide pamphlet est le couronnement d’un long cheminement entrepris par SBM et ses sous-fifres depuis au moins deux ans. C’est un travail de sape planifié mis en œuvre à travers des contributions anonymes dans certains grassement payés à l’occasion.
Les objectifs visés sont entre autres :- dénigrer systématiquement le Président ATT, sa famille, ses collaborateurs et ses compagnons d’armes ;- ternir son image de marque de démocrate et de républicain ;- minimiser, sinon réduire à néant la portée des acquis depuis le début de son magistère en juin 2002 ;- noircir le tableau d’évolution du Mali sous ATT ;- s’acharner en permanence sur son entourage civil et militaire et ses amis ;- exercer un terrorisme intellectuel sur tous ceux qui sont capables de défendre la gouvernance d’ATT. De tels desseins de haine sont le propre des gens rancuniers et aigris qui se croient investis d’une mission divine : diriger coûte que coûte le Mali.Le tome II, comme le précèdent est un pétard mouillé, il vient, lui aussi, d’échouer lamentablement. Car on n’y trouve aucune révélation sulfureuse comme l’avaient promis le ventriloque Pryen et sa poupée « Le Sphinx »Non la menterie, la délation, l’affabulation, la jalousie et l’égoïste ne mènent nulle part.Trouvez autre chose pour déstabiliser ce régime. Ce ne sont ni les enfants que vous avez jetés dans la rue en 91 en guise de chairs à canon, ni les pauvres citoyens qui n’aspirent qu’à vivre dans la paix qui vont vous suivre. Les Maliens ont compris les motivations égoïstes et sordides du livre-trac : « ATT-cratie ».
D’où son rejet et sa condamnation par une grande majorité d’entre eux qui ne cesse de crier leur indignation. Pour eux c’est l’ouvrage de la honte. Un intellectuel français l’a qualifié du livre le plus moyenâgeux qu’il n’ait jamais lu.Lunatiques revanchards, adeptes de Néron et de Machiavel, remettez vos phantasmes au placard. Le remake de Mars 91 ne se fera pas. Car comme le disait William Shakespeare. « Quand un drame se produit pour la première fois, on dit que c’est une tragédie, quand il se répète, cela devient de la comédie. » Arrêtez vos chars et trouvez-nous autre chose. Ce disque-là est trop rayé !rn
Adama Dramé
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