Prix feu Oumar Diallo : Boubacar Sangaré du sahelien.com lauréat de la 1ère édition

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Le jeune journaliste Oumar Diallo qui travaillait pour le site d’information « depechesdumali.com » a été arraché à l’affection de ses proches et du monde de la presse il y’ a de cela quelques mois. Pour lui rendre un hommage mérité, Binthily Communication a initié le prix feu Oumar Diallo afin de permettre aux jeunes journalistes de concourir à travers leurs plumes. Parmi les 11 postulants, c’est le journaliste Boubacar Sangaré du Sahelien.com qui a remporté cette 1ère édition.

La remise dudit prix a été faite, le samedi 25 février 2017, à l’espace culturel : « La GARE » en face de la gare ferroviaire de Bamako, en présence du directeur général de Binthily Communication, Birama Konaré, des parents et amis de feu Oumar Diallo et de nombreuses autres personnalités.  « Le rôle de la jeunesse dans le renouveau de l’Afrique », était le thème de cette première édition du Prix feu Oumar Diallo initié par Binthily Communication en collaboration avec depechesdumali.com, Les Echos et la Rentrée Littéraire du Mali.

Au total, il y a eu 11 jeunes journalistes de moins de 30 ans qui ont postulé. Parmi eux, c’est le journaliste Boubacar Sangaré du sahelien.com qui a impressionné, par sa plume, les membres du jury composés de Dramane Aliou Koné et de Alexy Kalembry de la Maison de la presse. Ainsi, Boubacar Sangaré, l’auteur du livre : « être étudiant au Mali »,  remporte cette 1ère édition et empoche du coup la somme de 500 000 FCFA. Très ému, le lauréat a expliqué le contenu de son article à l’assistance. Selon lui, c’est la mal gouvernance qui pousse les jeunes à l’immigration.

Avant d’ajouter que le changement passe par l’engagement citoyen. Auparavant, le directeur général de Binthily communication a tenu à faire les louanges de Feu Oumar Diallo. « Oumar Diallo était la voix des sans voix, c’est pour cette raison que ce prix a été organisé pour susciter l’esprit critique », a-t-il dit. Cette cérémonie de remise de prix fut marquée par des témoignages, une lecture  de poème et la chorégraphie.

Aguibou Sogodogo

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